C’est bientôt la fin de mes vacances, la fin de ce voyage en terre inconnue, une parenthèse qui s’apprête à se refermer sur cette exploration de ma sexualité.
Les trois jours qui viennent de passer ont été d’une intensité rare. C’est la dernière occasion aujourd'hui de repartir à l’aventure. J’hésite. Tout a été assez parfait jusque-là. Et si je faisais la fois de trop, celle qui se passera mal ? Je me connecte vite fait au site, j’ai bien ce message d’un bear qui reçoit potentiellement chez lui… Bon, je lui réponds, ce serait dommage de louper une occasion pareille ! Mais la conversation et mon envie tournent court. Trop frontal, trop cochon, je n’ai pas envie de ça, je laisse le bear seul avec son godemiché. Mais ça a quand même allumé la mèche pour de bon !
Alors je décide de retourner à Frangy. Douche, lavement et c’est parti !
Sur place, personne. Il est 17 heures, j’attends pas loin d’une demi-heure, une voiture arrive. Je reconnais un mec déjà vu lundi, timide et en retrait. Il reste dans sa voiture. Quelques instants plus tard, une autre connaissance de lundi. Un cinquantenaire vraiment sexy qui avait alors fait un arrêt éclair sans possibilité de l’approcher. Mais aujourd'hui, il a l’intention de rester et cette fois, je sais comment l’aborder. Dans la foulée, arrive un motard, pantalon, blouson en cuir, il enlève son casque : chauve, barbe de trois jours. “Wuiiiii ! Wuiiiii !” (C’est l’alarme de mon radar à poilu).
Je les suis. Le cinquantenaire a déjà disparu dans la forêt, le motard est à l’entrée, je le regarde et le dépasse, me retourne vers lui quelques mètres plus loin. Il répond à l’appel et me suit, me rattrapant rapidement. On arrive vers le cinquantenaire qui s’est posté sous le rocher. Je m’avance directement vers lui avec assurance.
Il sort son sexe, long et large, soulève son t-shirt et révèle une poitrine recouverte de poils. C’est le gros lot ! Le motard et moi-même sortons nos bites respectives. Il me branle, j’en prends un dans chaque main. Ça promet pour la suite ! Le motard enlève son t-shirt. Sa poitrine poilue est de toute beauté, il a une tête vraiment charmante. Le fantasme incarné !
Il se colle d’un coup contre moi et m’avale la bouche, me pénètre avec sa langue qui vient chercher la mienne en tournoyant. C’est fougueux et viril. J’en oublie de tripoter le cinquantenaire qui, contrarié, commence à remballer le matos. Hop, hop, hop, pas si vite ! Je le reprends en main mais le motard resserre son étreinte et m'embrasse avec encore plus de vigueur. Il me veut et marque son territoire. Le cinquantenaire remonte son short et quitte la scène.
L’étreinte continue de plus belle, je caresse son torse, mes doigts fouillant sa toison, je vis un rêve éveillé. Il m'enlève mon t-shirt, nous sommes nus, les pantalons sur les chevilles et nos corps qui fusionnent dans l’excitation et le plaisir.
Je descend vers son sexe et le suce longuement, un doigt dans son anus, l’autre main caressant chaque parcelle de son corps parfait. Il me fait remonter vers sa bouche, on s’embrasse longuement, il adore ça. On alterne comme ça un moment. On prend notre temps, c’est long, c’est bon, on en profite à fond.
Il me demande comment je m’appelle, lui s’appelle Fred. Enchanté ! C’est à son tour de prendre mon sexe turgescent dans sa bouche experte. Il me suce aussi les testicules, nouvelle sensation intense que j’adore.
A quelques mètres, le timide nous mate. Je lui fais signe de venir. Fred me pompe divinement, je suis prêt à jouir, l’en informe, il se relève et m’embrasse encore, il est insatiable. L’autre n’a malheureusement pas osé venir et a disparu.
Sa bite entre mes cuisses, il me demande s’il peut me bouffer le cul. Mais bien sûr, Fred, fais comme chez toi, mets toi à l’aise ! Je me penche et l’un de mes fantasmes les plus brûlant prend vie. C’est indéniablement très bon mais finalement pas aussi dingue que je le rêvais.
On s’embrasse à nouveau. Cette fois, il me propose du poppers. Je décline, je n’en ai jamais pris et n’en ressens pas le besoin. Il me susurre alors “Je peux te baiser ?”. C’est un “oui” franc et direct. Mais avec une capote. “Je vais pas jouir à l’intérieur”. Non Fred, même ça, c’est non. C’est ma limite qu’il est hors de question de faire tomber, j’ai encore de la lucidité malgré l’excitation incroyable du moment. On s’embrasse un moment et il me dit qu’il a une capote. Eh ben voilà Fred, on est d’accord !
Il va chercher dans son sac à dos une capote qu’il me tend et une fiole de poppers. J’en profite pour le mater, putain, qu’il est beau ! Il me met le poppers sous le nez. Bon, ok, après tout, ça a l’air cool ! Je renifle et ne ressent pas grand chose pour l’instant.
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