Fellations au jardin public

Après l’insupportable canicule d’août 2023, arrive un dimanche de mauvais temps, puis quelques jours ou nous étions enfin « bien » dans ma bonne ville de Grenoble. Ce mardi après-midi, avec un rayon de soleil je décide donc de faire une balade en bord de ville, au départ d’un jardin public.

Le début de mon itinéraire traverse ce jardin en montant, avec des méandres, et des bancs disposés de loin en loin, plus ou moins isolés du chemin. Il n’y a pas grand monde car il est 15h30, un horaire d’inactif … Tout à coup j’aperçois sur un des bancs à 25 mètres environ, une jeune femme voilée accroupie sur le sol face à un jeune homme noir assis sur le banc. La position est sans équivoque, et les gestes rapides également : une fellation en bonne et due forme, en plein espace public … incroyable aubaine pour le voyeur et obsédé sexuel que je suis !

Le couple me voit et s’arrête net, la fille commence à se relever. Pendant ce temps j’ai continué à avancer et suis à 15 mètres. Après un moment de stupeur, j’ai le réflexe de leur sourire et de leur faire un geste signifiant de continuer. Je regarde ensuite derrière moi et constate que personne ne vient. Je lève le pouce en souriant encore … A ma grande joie, elle se remet dans la même position.

Je continue à avancer très lentement dans leur direction. La fille a repris sa besogne sur la queue du mec en mode pacha. Je vois enfin cette dernière dont les dimensions sont considérables. Je suis maintenant à 2 m d’eux, positionné de manière à ce que les passants éventuels ne puissent pas voir la scène. Les aller-retours de la fille sont d'une très grande amplitude. Le fond de gorge ne semble pas lui poser le moindre problème. Le type me regarde maintenant d'un œil moins noir. Il me vient une idée. Je le regarde fixement en passant ma langue sur mes lèvres. Il esquisse un vague sourire, et me fait signe de m'approcher encore. Je finis par m'agenouiller à côté d’eux, toujours en masquant plus ou moins la scène.

La fille continue à pomper, regardant régulièrement et presque avec anxiété le visage de son mec, sans prêter la moindre attention à ma présence. En bon macho, le black dirige sa meuf, et commence à me diriger moi aussi.

« Arrête toi, dit-il à sa meuf. Laisse lui un peu la place, c'est une salope. »
Elle s'exécute, retirant sa tête et me laissant ainsi gober l'énorme pieu du black. Je me régale en déployant toute ma technique : léchage du frein, suce du gland en passant la langue autour, de temps en temps grande amplitude et gorge profonde jusqu’à l’étouffement… J’estimai la taille de sa queue à 20 cm par 5… il faut pouvoir supporter ce calibre !

« Tu vois, ce mec c'est une suceuse de bite professionnelle. Et il te fait une grosse concurrence, ma chérie. »

La fille commence à s’impatienter et se sentir frustrée, il lui redonne la main … ou plutôt la bouche.

« C’est bien ! Maintenant vous allez alterner plus rapidement, pas plus de 20 secondes chacune, mes salopes, je contrôle. Toi la tafiole (c’est à moi qu’il parle) je t’interdit de bécoter ma meuf. Chacune son tour, vos bouches ne doivent pas se mélanger. »

Je me repositionne debout, en masque vis à vis des passants. En fait malgré mon occupation, j’en ai vu un certain nombre passer, et le black garde de toute façon l’oeil sur la partie de sentier d’où l’on aperçoit le banc. Mais bon, même à l’heure des inactifs, il semble que personne sauf moi ne s’aperçoive de l’incongruité de la situation. Pourtant il suffirait que quelqu’un appelle les flics (ou juste qu’ils se promènent à cet endroit) pour que l’on se retrouve tous interpellés. Le risque n’est pas nul, nous le savons tous les trois mais c’est ce risque qui nous excite en fait …

La fille au hijab est ravie de retrouver la belle queue de son keum dans sa gorge… mais c’est déjà mon tour : les 20 secondes sont écoulées et le black donne ...

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