Je ne sais pas ce qui m’a pris ce jour là, mais après la cantine, avant d’aller en cours, je me suis gavé de sucreries. Un plein paquet de mars et de bounty.
Ce qui devait arriver arriva. En plein cours de mécanique j’ai été pris d’un mal de ventre atroce m’obligeant à demander au prof de me rendre à l’infirmerie.
Je vois que tu n’as pas l’air d’aller très bien David. Je vais t’y accompagner.
- Patrice, mets-toi à mon bureau et surveille la classe en mon absence.
Une fois arrivés à l’infirmerie, j’explique à l’infirmier ce qui m’amène chez lui. Le professeur me laisse là en me disant que j’étais entre de bonnes mains.
- Alors qu’est-ce qui t’a pris de te gaver de sucreries. T’es en manque de sucres ?
- Je sais pas. Mais j’ai mal au ventre là.
- Sans doute ton foie. Je vais te donner un médicament et ça devrait te calmer rapidement. Tiens avale ça. Mais pour être bien certain que tu n’as rien d’autre, je vais quand même t’examiner. Passe dans la pièce d’à côté. Tu te déshabilles et tu t’allonges sur la table d’examen.
J’obéis sagement en enlevant mes vêtements ne gardant que mon slip.
L’infirmier qui avait enfilé des gants commence à m’ausculter en me palpant le ventre. Il faisait ça de façon très délicate. Il prenait bien son temps et ses palpations ressemblaient beaucoup plus à des caresses.
- Apparemment tout va bien. Mais je serai plus tranquille en vérifiant plus bas. Tu n’as jamais été opéré de l’appendice à ce que je vois. Je vais te faire un touché rectal. Enlève ton slip s’il te plaît.
Je retire donc mon dernier vêtements et m’allonge de nouveau sur la table en masquant par pudeur mon sexe avec mes deux mains.
L’infirmier revient avec un tube de crème à la main.
- Plies t’es jambes s’il te plaît et garde les pieds de chaque côté. Écarte bien les jambes. Voilà c’est parfait. Ne t’inquiète pas je vais y aller doucement. J’utilise un gel spécial, ça ne te fera pas mal.
J’avoue que j’étais pas très à l’aise. Personne ne m’avait fait ce genre d’examen jusqu’à présent. J’étais à la fois inquiet d’avoir peut-être un truc grave mais aussi gêné de me retrouver dans cette position.
L’infirmier, en silence, commence par m’appliquer du gel en faisant des gestes circulaires autour de mon trou. Puis j’ai senti son doigt qui rentrait à l’intérieur. Une fois dedans il le fît tourner à plusieurs reprises.
- ça va ? Je ne te fais pas mal ?
- Non ça va
- Bien. Tant mieux. Pour être sûr que tout va bien, je vais utiliser deux doigts.
Il retire alors son doigt et recommence à me pénétrer délicatement avec deux doigts cette fois.
- ça va toujours ? Je peux continuer ?
- Oui, ça va.
Étrangement, je ne sais pas si c’est l’effet du médicament ou bien de ce doigtage de cul, mais mon mal de ventre avait disparu. A la place je ressentais comme une sorte d’excitation. Il paraît que l’anus est une zone érogène. Sans doute que de me le faire tripoter ainsi y était pour quelque chose.
Ses deux doigts bien au fond, au lieu de les faire tourner, cette fois-ci il les retirait doucement mais pas entièrement puis il les enfonce à nouveau. Il continue ainsi plusieurs fois. Avec le gel, ça glissait tout seul. Mes mains sur mon sexe, je m’aperçois que celui ci était en train de prendre du volume. Ce salaud était en train de me faire bander.
- c’est bon ? T’as pas mal ?
Disant cela il accélère le rythme de ces doigts.
Je ne sais pas ce qu’il m’arrivait mais je dois avouer que ce qu’il était en train de me ...

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