Je vais bien m’occuper de toi. C’est sûr ces mots et avec un large sourire que l’infirmier me fit entrer à nouveau dans son local.
Je ne penses pas que tu aies encore mal au ventre. Je pense plutôt que tu as envie d’un nouvel examen de ma part, n’est-ce pas ?
N’osant pas répondre, je baissai la tête en rougissant ce qui signifiait clairement mon aveux. Je souhaitais qu’il recommence à s’occuper de moi comme il l’avait fait avec tant de douceur.
Tu ne dis rien. Hum. Je pense que tu y a pris goût. Ne t’en fait pas. Ça restera notre petit secret. Tu as l’air d’être très sensible du cul et c’est pas pour me déplaire, tu es vraiment très mignon comme garçon.
Bien, tu sais comment faire maintenant. Déshabilles-toi et va t’allonger sur la table d’examen.
Mais si tu es d’accord, ce qui me ferait encore plus plaisir c’est que tu enfiles ça.
Sortis d’un tiroir, il me tends des bas et une guêpière.
Mince alors. Comment avait-il pu deviner que secrètement je piquais les dessous de ma mère pour m’en servir tout seul en me regardant dans la glace. Non il ne pouvait pas savoir ça.
En un rien de temps me voici donc transformé en petite pute prête à accueillir les caresses coquines de mon bel infirmier.
Allongé, j’avais les jambes bien écartées. Mon sexe était encore au repos et cette fois ci je ne le cachais plus, laissant mes mains de chaque côté.
Tu es très belle comme ça. Tu m’excites beaucoup.
Voyons voir ce petit trou qui me réclame.
Dès que ces doigts me touchèrent l’anus, mon sexe se durcit.
Toi aussi t’es excitée. Je vais bien te lubrifier. Tu sais que la salive est un excellent lubrifiant ? Je vais te montrer comment on fait.
Il approcha alors son visage entre mes jambes et plongeant soudainement plaquant sa bouche sur mon petit orifice.
Quel caresse délicieuse. Je pouvais sentir sa langue qui doucement tournait et forçait l’ouverture.
Je m’abandonnais complètement. A ce moment là il pouvait faire de moi tout ce qu’il voulait. Je ne pouvais retenir de petits gémissements de plaisir.
Retirant sa tête d’entre mes jambes, ses doigts reviennent prendre leur place pour titiller mon petit trou. D’emblée il y introduit deux doigts et de son autre main il me caressa le sexe.
Dis-donc. Ça rentre tout seul maintenant. T’es super bandante. Regardes comme tu me fais de l’effet.
Sans que je ne m’en rende compte, il avait baissé son pantalon me laissant admirer un membre magnifiquement dressé. Son gland était bien rouge.
Je pense que tu aimerais quelque chose de plus gros que me doigts. Regarde comme ma queue est bien dure. De façon très directive il me prit la main et la plaça sur son sexe.
Jamais je n’en avais touché un autre que le mien. Le sien était beaucoup plus imposant. Il était très doux surtout.
Comme je viens de te le dire, la salive est un excellent lubrifiant. Tu vas donc me lubrifier comme il faut.
Disant cela, il approcha son gland près de ma bouche que j’ouvris instinctivement. Lent ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite