EN CE TEMPS LA J’ÉTAIS TRAVESTI
J’aime être soumise, je ne m’en cache pas. Je me suis même inscrite sur un site de BDSM en tant que telle, mais sans succès jusqu’à aujourd’hui. Aussi lorsqu’un homme me contacte et m’explique qu’il a vu mon profil et qu’il accepterait que je sois sa pute à bites. Pas de doute possible, j’ai affaire à un dominant, le ton est donné et après quelques mises au point, j’accepte avec empressement un RDV.
Ce 1er RDV a lieu dans mon camping car. Pour la circonstance, j’ai mis ma mini robe, bas résilles, haut talons, collier de chienne et string; le tout en noir. Comme convenu,il entre direct.
Je l’accueille à genoux bouche ouverte, attendant ses ordres.
Sans un mot il sort sa bite à moitié bandée et la glisse dans ma bouche. Aussitôt je me mets en devoir de la faire grossir en la suçant avec application. Au bout de quelques minutes, enfin mon maître laisse échapper un soupir de satisfaction.
« Très bien, tu suces bien, lève toi »
En disant cela il me pousse vers le lit puis me dit
« à 4 pattes »
Et sans attendre, relevant ma robe sur mes hanches et m’écartant juste le string, il me pénètre sans douceur sans même ôter son pantalon.
Surprise et sous l’effet de la douleur, je laisse échapper un petit cri. Conséquence immédiate ; 2 méga claques sur mes fesses !
Puis, il se remet à me labourer le cul avec ardeur.
Très vite, il se raidit et jouit.
L’instant d’après il se reboutonne, me regarde satisfait et me dit, toujours sans le moindre sourire ou signe de gentillesse
« ouais pas mal, maintenant que je me suis vidé les couilles dans ton cul de pute à bites, tu vas me suivre avec ta camionnette »
Et sans autre mot il sort et regagne sa voiture.
Interloquée, j’hésite un instant, puis me précipite derrière le volant et dès que la voiture de mon maître démarre je le suis.
Heureusement je suis assez loin de chez moi et je peux le suivre sans trop de risque d’être reconnu habillée comme une pute derrière mon volant.
Après quelques kilomètres à vitesse réduite, nous sommes enfin arrivés et nous nous garons dans la cour d’une belle maison entourée de haies.
Sans plus attendre il me fait signe de le suivre et se dirige vers l’arrière de la maison.
Je dois presque courir pour le suivre, ce qui ne l’empêche pas de m’engueuler pour ma lenteur lorsque je le rejoins.
« Alors vieille salope t’es essoufflée ! ».
Je baisse la tête sans rien dire. Enfin un sourire.
« Enlèves ta robe pute à bites et mets tes mains dans ton dos »
Je m’exécute et rapidement il me les attache et me tire sans délicatesse vers la terrasse. Il me fait mettre à genoux pendant qu’il se déshabille et pose ses vêtements sur la table. Une fois entièrement nu, il se dirige vers moi.
« Ouvre grande ta bouche de salope ».
De nouveau je m’exécute et ouvre en grand ma bouche pensant recevoir sa bite dans celle-ci mais surprise, il se penche sur moi et c’est son crachat que je reçois.
« Remercie-moi »
« Merci maître » ai-je du mal à répondre.
Mon dressage commence. Je recevrai en alternance crachats, doigts et bite dans ma bouche. A un moment, il se retourne et met son cul tout contre mon visage, élargissant son trou avec ses mains.
« Lèche-moi le cul salope ...plus profondément chienne »
Soumise j’accepte cette humiliation silencieusement, faisant de mon mieux pour le combler, insérant ma langue le plus intimement possible étouffant presque ; le nez appliqué contre son cul.
Satisfait de ma soumission, il me prend alors la tête entre ses mains et me donne le rythme, me baisant ainsi la bouche sans douceur. Il est prêt à jouir mais il se retient et me fait lever, me courbe, se positionne derrière moi, me tenant aux hanches la bite contre mon anus et de nouveau m’encule sans douceur, me fessant de concert.
Enfin il s’arrête et se retire de mon petit cul endolori pour présenter sa bite face à mon visage. Il appuie sur mes épaules et jouit sur mon visage et dans ma bouche.
« T’es une bonne pute à bites, restes là à genoux, chienne »
Et il va s’allumer tranquillement une cigarette pendant que j’attends toujours à genoux et les mains attachées. L’excédant de sperme coule lentement le long de mon menton et tombe en un fin filet gluant vers le sol. Une fois sa cigarette fini, il revient vers moi
« t’as aimé ? »
« Oui maître »
« Bien la prochaine fois, je vais t’offrir à plusieurs hommes, tu seras une bonne pute, t’as compris »
« je suis à vos ordres maître, je ferai tout ce que vous voudrez »
Je n’aurai pas dû en rajouter car il se penche tout près de moi et murmure presque avec un sourire vicieux
« tout ? On va voir »
Il s’absente un cours instant et revient en buvant une cannette de bière.
Il en profite pour laisser s’échapper de sa bouche un surplus de bière qui atterrit au fond de ma gorge. Il pose alors la cannette sur le sol
« assieds-toi dessus salope ! ...

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