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Entretien d'embauche

Publié par : cestremoi le 26/12/2019

Cela faisait un mois que j’étais sans travail. Mon dernier employeur avait dû me licencier suite à la faillite de son entreprise. Malgré tout je ne m’en faisais pas trop, car il m’avait quand même octroyé une prime très substantielle.
J’avais donc envoyé un certain nombre de CV afin de retrouver rapidement une activité.

Suite à cela, une entreprise m’avait convoqué pour un entretien.
J’avais été reçu par le DRH qui m’avait posé un certain nombre de questions. L’homme était non seulement très sympathique, mais de plus il était très séduisant. J’avais beaucoup de mal à me concentrer. En un mot j’étais sous le charme.
-Bien, vos compétences me conviennent parfaitement et je suis sûr que vous serez un parfait comptable.
-Vous allez me lire ce contrat et le signer. Bien entendu lisez-le complètement et n’hésitez pas à me poser des questions si quelque chose vous interpelle.
J’étais en train de lire, quand l’homme se leva et vint se placer derrière moi. C’était un peu surprenant, il s’approcha encore un peu plus. Il se pencha vers moi, m’envoyant un flot de parfum agréable, mais envoûtant. Alors que je ne m’y attendais pas il posa une main sur mon épaule.
-Ça va ? me dit-il les termes vous conviennent ?
- Oui , mais je n’ai pas encore tout lu.
-Continuez
Je continuai ma lecture, quand sa main se mit à descendre jusqu'à l’échancrure de ma chemise.
Troublé par son geste et envoûte par son odeur, je laissais faire. Sa main continua à descendre, puis deux de ses doigts emprisonnèrent mon téton. Il se mit à les rouler en les pinçant légèrement.
- Qu’est-ce que vous faites ?
- N’ai pas peur, je te trouve très mignon et je suis sûr que je te plais. Laisse-toi faire.
- Difficile de refuser, mon avenir se jouait et il faut bien le dire je n’étais pas insensible à ses caresses. Dès que l’on me travaille mes bouts de seins cela me met dans tous mes états.
- Oui c’est bien, je suis sûr que tu es une bonne petite fiotte qui aime se faire tripoter. Pas vrai, allez dis-le
- Oh oui
- Dis-le que tu es une petite fiotte.
- Oui je suis une petite fiotte.
- Bien. Nous allons passer à des choses plus sérieuses.

Il alla jusqu’à la porte et la ferma à double tour.
- Comme cela nous ne serons pas dérangés.
Il se rapprocha à nouveau. Son entrejambes était juste en face de mon visage.
- Allez mon petit chat caresse moi.
Subjugué, je fis ce qu’il m’ordonnait. Son sexe formait une grosse bosse. Sous ma main je sentais la queue du mâle déjà bien dure.
- Sors-moi la bite mon mignon
Je m’exécutai rapidement, d’autant plus que la situation commençait vraiment à m’exciter. Ce n’était pas la première fois qu’un mâle me faisait des avances. Bien qu’ayant eu plusieurs relations sexuelles avec des filles je n’en aimais pas moins les garçons.
Mon look androgyne attirait souvent les hommes.
Je venais d’extirper son sexe et bien qu’il fût encore mou, il n’en avait pas moins des dimensions généreuses. Je tirai sur le prépuce et dégageait le gland. Sa queue était superbe, le gland plutôt gros surmontant une belle hampe légèrement courbée vers le haut. Elle avait aussi une petite odeur aigrelette comme j’aime.

-C’est bien mon chou continue branle moi bien la bite, je suis sûr que ce n’est pas la première fois n’est-ce pas ?
-Non Monsieur.
-Eh bien tu ne vas pas être déçu, tu embauches dès demain et tu feras équipe avec ma secrétaire ainsi tu pourras te consacrer à ma bite quand j’en aurai envie. Tu vas être ma petite pute toute à moi, bien docile.
-Je me mis à lécher le gland, il était superbe et une petite goutte de liquide pré spermatique sourdait du méat. D’un coup de langue je la fis disparaître. Je léchai tout autour du gland, m’attardant sur le filet. Ma salive se déposait partout humidifiant abondamment le gland.
-Oh oui ! Continue, fais-moi une bonne turlute bien baveuse. Putain ce que t’es bonne !
-Encouragé, je me mis à gober le gland puis ouvrant toute grande ma bouche j’avalais lentement sa queue. Centimètre par centimètre la tige disparaissait dans ma bouche. Brutalement l’homme mis sa main derrière ma tête et s’enfonça à fond dans ma gorge.
-Tu la voulais en entier ma bite, connasse alors bouffe la !
Il me maintint un petit moment, puis relâcha la pression sur ma tête.
Je recrachai sa bite devenue énorme, elle dégoulinait de bave.

A nouveau je la pris en bouche. Cette fois le mâle attrapa mes cheveux et se mit à me pistonner. Cette façon de faire me convenait parfaitement. Ma bouche était tellement humide qu’elle produisait des bruits de succion qui emplissaient la pièce. J’étais quasiment sûr que la secrétaire dont le bureau jouxtait la pièce ou nous étions n’en perdait pas une miette.
Peu importe j’avais une folle envie de bite et ce mâle le savait. L’homme continua ses va et vient sans se préoccuper de moi. Pour lui, ce qui importait, c’était de fourrer sa verge dans un trou bien onctueux. Quand à moi il me suffisait de le laisser faire à sa guise, mes lèvres bien arrondies coulissaient sur la tige noueuse. Autant dire que je me régalai. Il pouvait me traiter comme la dernière des putes, peu importe j’aimai. Il m’appréciait tellement ma bouche, qu’il me lima au moins un bon quart d’heure.

-Il va être temps de passer aux choses sérieuses. Tu t’es déjà fait enculer ?
-Oui Monsieur.
-Bien, allez retire ton fute que je vois ton petit cul de pédale.
Relâchant sa bite je baissai mon pantalon. J’avais un peu honte, car suivant mon habitude je portai un petit string de femme.
-Eh mais c’est mignon tout ça, ce joli petit cul bien rond avec une culotte de pute. Tu vas voir mon mignon tu ne vas pas être déçu.
L’homme me courba sur le bureau et écarta mes cuisses. Pour l’exciter je cambrai mes reins pour faire ressortir mes fesses.

-Et ben ma salope quel cul, un vrai cul de gonzesse. Je sens que je vais bien te mettre. Il cracha sur mon trou du cul, puis étala la salive avec ses doigts. Ma pastille bien salivée, fût rapidement pénétrée par un, puis deux et enfin 3 doigts. Il me travailla le cul un bon moment, enfonçant ses doigts dans mon cul, puis il me les donner à sucer, avant de me les remettre, enfin satisfait du résultat il approcha son gland de mon anneau puis il fit aller venir son sexe dans ma raie. Il cracha à nouveau sur mon cul et frotta son sexe sur mon petit trou. Je n’en pouvais plus j’étais tellement excité, que je reculai brusquement et m’empalai sur une bonne partie de sa verge. Il m’avait si bien ouvert avec ses doigts que je ressentis à peine la douleur de l’enculage.
- Et ben ma salope t’aime vraiment ça, putain quelle est bonne ta chatte. Je vais te la mettre toute entière. T’es une vraie chienne, tu prends la bite comme une pro. Bonne à mettre au tapin.
Joignant le geste à la parole il s’enfonça brutalement au fond de mes reins. Cette fois il me fit crier.
-Ouais, gueule bien ma salope, je vais te faire couiner comme une truie. Agrippé au bureau je subissais les violents coups de queue du mâle. J’avais rarement été baisée aussi fort. J’étais comme une poupée de son, mon corps cognait sur le rebord ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay, Fellation, Sodomie, Au travail