La journée avait pourtant mal commencé puisque j'allais chuter sur la chaussée à peine sorti de mon impasse. Une femme à pied m'ayant coupé la route sur le trottoir. Je me relevais rapidement pour repartir de plus belle. Oh ça n'aura été que le vernis qui était parti sur mon genou droit comme aiment à dire les cyclistes. J'allais donc partir en vélo pour rejoindre mon actif coquin habituel que je n'avais pas vu depuis plus de six mois. Donc je sais que des moments très chauds allaient m'être offerts. 18 kms à faire à contre sens de la circulation intense à cette heure ci car il n'était que 7H15, juste au lever du soleil. Par contre, j'avais droit à un vent violent de face, qui allait me ralentir quelque peu. Donc à 8H j'étais chez mon ami qui venait à peine de se mettre en éveil pour une activité très chaude comme je savais qu'il allait me promettre. Il avait zappé ma venue en définitif. Je rentrais mon vélo chez lui pour garder la discrétion vis à vis de sa voisine. Toujours ce problème des cancans qui s'activent. Nous allions discuter quelque peu de sa vie actuelle et prendre un petit café pour bien se réveiller. Mais moi j'étais déjà très chaud après m'avoir agité sur mon vélo.

Après cet intermède d'accueil habituel entre nous et après aussi m'être mis un peu à l'aise, nous allions rejoindre la chambre pour des coquins que nous sommes. J'allais l'aider à préparer le lit pour que nos activités sexuelles s'opèrent dans le confort, c'est à dire une grande serviette qui allait pouvoir éponger nos émotions. Et très vite, nous nous retrouvions tout nus, ce qui est toujours plus confortable. Et comme nous nous connaissons depuis longtemps, aucune pudeur n'est entretenue. Et en pareil cas, je suis toujours le premier à rejoindre notre couche. Et nos corps allaient se rejoindre très vite pour un rapport très chaleureux. L'envie de l'un pour l'autre nous avait rejoint sans difficulté. On s'enlaçait pour sentir très vite la chaleur de nos corps , plaçant nos bras sous chacune de nos têtes. Et ma bouche allait gouter à la douceur de sa peau, poussant déjà quelques soupirs de désir. Lui faisait de même me claquant les fesses comme il fait souvent pour raffermir les chairs et provoquer l'envie. Et encore , il ne me dit pas des mots crus. Mais je ne suis pas friand de tout cela.

Et nos bouches allaient se rejoindre après ces premières caresses habituelles, pour s'offrir les bonnes pelles de famille où nos langues se chevauchent d'une bouche sur l'autre. Mais en pareil cas, je me laisse un peu dominer. Après ces instants plus que chaleureux, j'allais descendre quelque peu sur son corps pour atteindre la pointe de ses seins , bien fermes que je suçais goulûment lui faisant dire : oh oui! Oh que c'est bon. Comment rester insensible, à ces émotions, mais j'en voulais plus malgré que nos queues au début de notre étreinte s'était déjà frottées l'une contre l'autre, et y ayant glissé ma main pour mieux les sentir et les branler quelque peu. Donc j'arrivais à ce membre érigé déjà au petit matin que j'allais engloutir quelque peu , en évitant d'y frotter mes dents et me comporter comme un poisson qui suce une queue épaisse et bien dure. Là encore, j'avais droit à ses soupirs de plaisir. La communion de nos deux corps était bien engagée. Et après cette tendresse, j'allais lui faire lever ses fesses pour que ma langue aille rejoindre sa chatte toute tendre qui allait s'offrir avec bonheur . Et elle se glissait avec volupté dans l'ouverture qui se donnait à moi. Et comme de plus en plus, il poussait des soupirs qui me faisait encore plus savourer ce moment, j'allais poursuivre cette étreinte. Il faut dire que ça faisait partie des fantasmes qu'il a toujours dans un rapport sexuel mais il ne voulait pas que je le pénètre autrement. Il voulait peut-être conserver son statut d'actif, pourtant sa chatte dans le passé avait dû connaître. Mais comme je le savais , je n'allais pas m'y attarder. Et j'allais regagner sa bouche toujours aussi gourmande où sa langue épaisse m'offrait de bonnes pelles.

Chauds nous étions et les étreintes aller se faire de plus en plus intenses passant ...

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