D’humeur chagrine ces derniers jours de février, je décidais de passer un grand weekend de 3 jours à Montpellier pour me changer les idées. Etant venu régulièrement dans cette ville en été je connaissais assez bien le Rex Club gare, endroit dans lequel j’ai toujours vécu des moments très chaud, en travesti.
Cette année, j’avais lu sur google des commentaires pas très positifs sur ce club (sale, présence de SDF), et j’ai donc hésité à y aller, lui préférant a priori le « Rêves Video » , de l’autre côté du pâté de maison. Je savais aussi via des échanges sur le site, que ce dernier établissement était moins fréquenté que l’autre, et je me suis alors dit : et si je faisais les 2, au cas où le premier ne me donne pas entièrement satisfaction ?
Le moment était décidé depuis le début : dimanche après-midi dès que possible, ma location se terminant en fin de matinée. J’avais passé une bonne partie de la matinée à me préparer. Savez vous qu’il faut au moins une heure et plutôt une heure trente et plus pour la préparation d’un homme en travesti ? : nettoyage de la chatte anale, rasage de très très près, un peu de maquillage, faux seins et sous vêtements sexy .. j’étais fin prête à 13h dans ma voiture garée pas très loin, mais quand même besoin d’enlever mon jean et changer de chaussures dans l’établissement pour ne pas déambuler en travesti sous la pluie et dans ce quartier populaire de Montpellier.
Excellent accueil, par une dame élégante et distinguée (ça me changeait du Rex), dans la boutique de l’établissement, bien ouvert à 13h30 conformément aux informations. Je sens qu’il n’y a presque personne à l’ouverture mais je ne suis pas surpris. Elle me donne une cabine pour me changer, ce que je fais et je viens fièrement lui exhiber ma tenue et laisser mes affaires à l’entrée. Je sens son regard à la fois intéressé et respectueux… elle reste cependant professionnelle. Elle m’accompagne à l’arrière et m’explique comment marche la vidéo du salon collectif, me montre les toilettes, un grand espace bien propre… tout va bien. Je commence d’ailleurs par soulager ma vessie dans l’urinoir en laissant la porte ouverte, et le seul homme présent a pu jeter un coup d’oeil furtif … excitation !
Derrière le salon video collectif, il y a un espace sombre très bien aménagé pour les câlins. Le mec m’y rejoins, et ne tarde pas à m’inviter dans sa cabine personnelle. Bon, il est assez froid, demande à être sucé avec capote ce que je n‘aime pas…mais il faut bien « s’échauffer » … je me laisse faire, et au bout de 5 mn il crache son jus dans la capote, sans m‘avoir pénétré. C’est finalement pas plus mal car je ne sentais pas chez lui un gros potentiel.
Arrivent simultanément deux autres mecs, un jeune et un moins jeune. On commence doucement à se tripoter à trois, et je comprends vite que le jeune est archi passif, car il commence à se faire prendre par l’autre mec, qui doit être un pur gay (les travestis n’intéressent pas les gays). Mais assez rapidement l’excitation me vient aussi en caressant le cul du jeune … jamais vu un cul aussi beau : large, lisse, presque soyeux … un vrai cul de femme ! Mon clito, de belle taille, durcit, et je finis par la prendre moi aussi, cette petite salope mâle, en lui claquant son cul histoire de mettre un peu d’animation dans ce lieu trop silencieux à mon goût. Il kiffe bien, en redemande… je le baise pendant 5 ou 10 minutes alors qu’il sniffe son poppers, puis brutalement et avec un grand sourire il arrête net et me dit : « c’était vraiment super, je te remercie beaucoup, j’ai eu mon délire et c’est bon, je suis content comme ça ».
Bon, me voilà de plus en plus excitée, avec toutes ces sollicitations non abouties … Cela ne me gêne pas, je sens que je suis partie pour des heures.
Je n’attends pas longtemps : un nouveau type arrive, un maghrébin, pas jeune, du genre petit sec, mais avec une très belle queue bien épaisse comme j’aime … hummm !
Lui aussi veut faire cela dans sa cabine bien fermée … dommage mais bon, je ne serai pas déçue. Il m’a prise en mode dominateur macho, manifestement ravi de tomber sur une salope bien accueillante, soumise et bien propre comme moi. Il m’a besogné pendant au moins une demi heure je pense, dans cette cabine exiguë. Il n’hésitait pas à me traiter de salope, chienne, voire pute … Normalement j’aime pas trop mais je sentais que ça l’excitait tellement que je l’encourageai à continuer. C’était pas dans une position très confortable (essentiellement debout) et je comprends pourquoi le lendemain j’ai eu des courbatures dans les chevilles !
Après ce moment bien chaud où ma chatte s’est bien élargie, on n’avait toujours pas joui ni l’un ni l’autre mais besoin de faire une pause. Quelques autres mecs sont arrivés mais je ne sentais pas d’excitation de leur part. Je ne pourrais pas être leur salope comme je l’avais été avec ce mec, et je n’eus alors qu’une envie : partir pour aller de l’autre coté du pâté de maison, au Rex gare ! Il était 15h45 et j’étais là depuis plus de 2h, contente de découvrir cet établissement, mais impatiente de voir comment avait évolué mon club favori de l’époque, le Rex.
Je décidai d’y aller en restant en talons et en perruque, remettant tout de même mon jean. Il faisait froid et il pleuvait toujours à seaux, sinon j’y serais allé en petite tenue, sur une distance aussi courte je ne risquait pas grand chose. Sortir dans la rue en fille est toujours à la fois un risque et un facteur d’excitation considérable pour moi. J’ai croisé deux ou trois mecs, dont un à capuche… en me tenant droite les yeux baissés et marchant doucement comme une femme, je n’ai pas de réaction visible de leur part, ce qui s’appelle un bon « passing ».
Au Rex gare, accueil « habituel », assez laconique; je dois payer un euro de plus pour le vestiaire, mais rien d’abusif. Il sont maintenant même mieux organisés pour qu’on puisse se changer puisqu’un coin est aménagé au fond de la boutique avec un rideau (avant, l’accès à une cabine très noire en plus, était compliqué à tout point de vue).
Ca y est je suis de nouveau en tenue sexy avec mon petit sac à préservatifs et accessoires et je pousse la porte coulissante, comme si je descendais dans l’arène. Au niveau zéro, pas d’ambiance, au moins 3 travestis déjà, et très peu de mecs … passage aux toilettes qui ne sont pas si sales qu’on m’avait dit (et la douche est toujours là, sans rien pour s’essuyer comme avant), et je descends illico au sous sol, empruntant le fameux escalier très ancien.
Et là, c’est tout de suite très très chaud !
Le décor c’est une grande cave avec un écran vidéo et dans l’ang ...
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