L’ascenseur s’immobilise au rez-de-chaussée, alors que je suis toujours en train de ramasser des déchets échappés de mon sac poubelle. M. Lamaulle pousse la porte, laissant s’échapper Misty.
En sortant de la cabine pour rattraper son chien , M. Lamaulle se heurte aux Bracard !
M. Lamaulle « Oh ! Pardon Misty m’a échappé »
M. Bracard « Bonsoir Jacques »
Mme Bracard : « C’est à cette heure-ci que tu sors Mysti ? Pauvre petite bête »
M. Lamaulle : « Et vous, d’où venez-vous en grande tenue ? »
Les Bracard sont sur leur trente et un, elle, dans une petite robe noire et lui, en costume sombre. Je remarque que les grands pieds de monsieur Bracard sont moulés dans des mocassins d'un cuir très souple qui laisse apparaître le relief des orteils.
M. Bracard « Une soirée avec des collègues, juste avant le grand départ pour les vacances. C’était sympathique »
Les Bracard sont dans la quarantaine, tous les deux d’allure sportive et distinguée. Arrivés depuis peu dans l’immeuble, ils ont sympathisé avec les Lamaulle.
M. Lamaulle « Bon, et bien bonsoir »
Mme Bracard remarque ma présence « Mais que fais-tu là Marco ? »
Moi : « Je descends la poubelle Mme Bracard »
Mme Bracard, en entrant dans l’ascenseur « A cette heure-ci ? » Puis s’adressant à son mari « Encore un noctambule! »
M. Bracard s’esclaffe « Hé! Pierre tu t’es vu dans ta robe de chambre ? »
Mme Bracard rit de plus belle.
M. Lamaulle ignore le sarcasme « Je vais promener Mysti »
Mais M. Bracard le retient par le coude « Et notre petit projet ça avance ? » Il me jette un coup d’œil et prend un air entendu « j’ai comme l’impression que oui ».
M. Lamaulle : « Oui Jacques. Au top ! »
M. Bracard : « Au top ? qu’est-ce que je t’avais dit ? »
Mme Bracard s’impatiente « Ca suffit vos mystères ! J’ai horriblement sommeil»
M Bracard « Monte ma chérie je te rejoins. Juste deux mots à dire à Pierre »
La porte de l’ascenseur se referme sur Mme Bracard. Tandis que la cabine démarre, son mari lui crie « Laisse la porte ouverte je ne tarderai pas »
Je traverse le hall pour gagner la cour en serrant les fesses. J’espère que M. Bracard qui s’est lancé dans un conciliabule avec M. Lamaulle, ne remarquera pas les coulées visqueuses tracées sur mes cuissespar le sperme de M. Lamaulle.
Je traverse la cour pour aller au local des poubelles. Je viens d’ouvrir la porte du local quand je suis rejoint par M. Bracard « Bonsoir Marco »
Je lui réponds sans me retourner « Re-bonsoir M. Bracard »
Je sens une main sur mes fesses. Une main qui s’introduit dans mon short et se plaque sur ma raie.
Je suis paralysé de honte et de colère.
« Hum ta raie est toute gluante ! C’est quoi ça Marco ? »
« Ça ne vous regarde pas » J’essaie de me dégager sans y parvenir. La main s’insinue diaboliquement vers mon anus »
Soudain, je sens un doigt me pénétrer sans ménagement et la voix de M. Bracard qui murmure à mon oreille « C’est la jute de Pierre, il m’a raconté. Il dit que tu es au top. C’était un pari entre nous et je l’ai gagné ! »
J’essaie à nouveau de me libérer du doigte enfoncé dans mon cul, mais sans plus de succès, coincé que je suis par les containers.
« Maintenant c’est à mon tour Marco. Tu vas me sucer et puis tu me donneras ton cul, comme pour Pierre »
« D’accord M. Bracard . Mais d’abord je veux sentir vos pieds »
Je me surprends moi-même. Les pieds m’excitent follement mais jamais je n’ose demander.
M. Bracard rit « Sentir mes pieds ? Tu te fous de moi ? »
« Non M. Bracard, vous n’avez qu’à ôter vos chaussures »
« Dans le local poubelle ? C’est dégueulasse ! Tu te moques de moi ! »
« Non M. Bracard »
M. Bracard est furieux mais je ne cède pas. Je propose l’ascenseur ou un palier de l’immeuble, mais M. Bracard a peur d’être surpris.
Finalement il m’entraine chez lui « Ma femme sera couchée »
Leur appart ressemble à un loft. Quand on ouvre la porte palière, on a à droite, la cuisine américaine, seulement séparée du salon par un haut comptoir entouré de tabourets de bistrot.
Face à la fenêtre et tournant le dos au comptoir, un canapé. A droite de la fenêtre, un petit meuble bas avec l’écran de télévision.
M. Bracard ouvre la porte palière avec précaution. Surprise ! La télé est allumée. De derrière le dossier du canapé surgit la tête de Mme Bracard. J’ai juste le temps de m’accroupir et de me dissimuler derrière le comptoir de la cuisine.
M. Bracard « Chérie tu n'es pas au lit ? »
Mme Bracard « Finalement non. J’ai la migraine, j’ai pris une aspirine. Tu viens regarder la télévision avec moi ? C’est intéressant, c’est sur les kangourous. Ou tu préfères te coucher ? »
M. Bracard « Non je vais en profiter pour m’avancer dans le travail » Et il ouvre l’ordinateur portable posé sur le comptoir de la cuisine.
Mme Bracard « Tu travailles trop ! A moins que ce ne soit encore un de tes jeux .. »
M . Bracard « Non je t’assure chérie, des trucs à finaliser avant les vacances. »
Mme Bracard « Bon courage mon chéri »
Toujours accroupi, je me dirige vers la porte d’entrée pour quitter l’appartement. Mais M. Bracard me fait signe que non, il se juche sur un des tabourets hauts et me désigne sa braguette.
Comment résister ? M’approchant du tabouret, je m’empare d’un de ses pieds. M. Bracard essaie de me le retirer et je me retrouve avec son mocassin entre les mains. Je le porte à mon nez. Une odeur suave de cuir chauffé et de transpiration me monte à la tête. Je suis excité. Je me précipite sur le pied déchaussé et y frotte mon visage. Ce grand pied est chaud, moite, la chaussette noire transparente embaume, sous la chaussette on dev ...
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