Cette histoire s'est passé, il y a quelques années.

Je m'étais arrêté sur une aire dans le sens Vannes Rennes, pour satisfaire un besoin pressant.

Je terminais et m'essuyais le sexe avec une lingette, lorsque je fus interpellé par un homme d'une soixantaine d'année, qui me dit: pardonnez moi de vous importuner, mais vous prenez grandement soin de votre sexe. Un peu intimidé, je lui réponds: oui c'est important j'aime avoir le sexe propre, il me dit: je trouve votre sexe beau, je peux le toucher, pris au dépourvu, je murmure oui, il me touche du bout des doigts et m'invite à boire un café dans son camping-car, cela me fait réagir, j'ai le temps, je le suis avec un peu d'appréhension tout de même.

Qu'elle ne fut pas ma surprise en rentrant dans le camping-car, d'être accueilli par une femme voluptueuse, des seins lourds avec beaucoup de charme. Elle m'invite à m'asseoir près d'elle et nous parlons de choses et d'autres pendant que le mari nous préparait le café.

A un moment elle me caressait le haut des cuisses l'air de rien, puis sans que je m'y attende m'embrasse sur les lèvres, l'envie vint vite et je lui rendis ses caresses, son sexe était tout humide, elle me dit nous sommes un couple libertin, et j'ai envie de faire l'amour, je commençais à la déshabiller, l'embrassant sur les seins.
Soudain elle se leva, me prit la main et m'entraina dans la chambre au fond du véhicule.

Nous nous mimes en soixante neuf, quel délice de gouter à sa chatte toute humide, et elle me suçait divinement, j'avais oublié le mari.
En fait celui-ci aussi me suçait avec sa femme et lorsque je m'en rendis compte je bandais encore plus.
Lorsqu'elle eut estimé que je pouvais la satisfaire elle monta sur moi, et commença à me chevaucher, c'était par instant violent, son orgasme arriva très vite et elle éjacula sur moi, j'étais au ange, car je raffole des femmes fontaines. Nous avons pratiqué plusieurs positions, et elle prit son pied plusieurs fois.

Moi j'ai la chance de pouvoir jouir sans éjaculer, j'ai donc prit un plaisir énorme. Après ce moment de débauche, vint celui du réconfort, nous avons repris un café, quelques gâteaux secs.

Mais madame n'était pas rassasiée pour autant, nous retournâmes sur le lit, ...

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