LE DON DE SOI
Eleanor, sœur de la Perpetual Grace, au couvent Sainte-Bérénice à Holy-Desert en Californie, était de retour après un voyage spirituel à Katmandou.
Elle était rayonnante de joie, et le Père Matthew s’en était aperçu. Il frappa à la porte de la cellule de la sœur. Une petite chambrette avec un lit, une chaise, une table et un tableau représentant Marie-Madeleine en train de nettoyer les pieds du Christ avec ses cheveux, selon la légende.
Sœur Eleanor lui ouvrit, et en entrant, la première chose qu’il vit, ce fut ce tableau, soudainement éclairé par un rayon de soleil. Malgré le fait qu’ils se connaissaient déjà depuis si longtemps, il n’était jamais venu ici.
Elle se jeta à ses épaules et l’embrassa à pleine bouche.
— Oh Matthew, que tu m’as manqué.
Il était heureux de retrouver son Eleanor après tant de semaines.
— Ma belle pucelle, je te retrouve enfin, si rayonnante.
Ils étaient enlacés, éperdus de désirs.
Bien des minutes plus tard, se décollant l’un l’autre doucement, Matthew osa.
— Pourquoi ce tableau, ma douce amie ?
Elle tourna son visage souriant vers le tableau que lui regardait déjà, comme hypnotisé.
— Parce que cette pécheresse s’est abaissée à offrir au Christ la plus belle partie de son corps. En toute humiliation de ses fautes.
Les yeux de Matthew s’illuminèrent.
— Veux-tu t’humilier pour moi, Eleanor ?
Elle fut d’abord surprise de cette demande, mais elle aurait fait n’importe quoi pour son amant secret.
— Oui, dit-elle dans un humble souffle.
— Mets-toi nue devant moi, et présente-moi ta gorge si gonflée.
Les seins d’Eleanor étaient si fort bellement ronds, d’une douceur et d’un galbe dont Matthew était raffolé.
— Ils sont tout à toi... rien qu’à toi.
Elle lui sourit avec grâce et après avoir fermé la porte, elle se mit à demi-nue.
— Ils sont à moi, mais si je veux t’offrir à d’autres que moi, tu obéiras et te laissera peloter, comme une bonne catin. Mais maintenant, j’exige que tu sois nue... entièrement.
Il commençait pourtant déjà à saisir cette poitrine généreuse, les prenants de ses deux mains. Pinçant de deux doigts les bouts charnus.
Eleanor eut un peu de mal à se déshabiller, elle était sous l’emprise de son Maître d’amour. Elle haletait, mais fini par être devant lui, comme le jour de sa naissance, dans la belle pureté de son corps fait pour l’amour.
Matthew se mit à genoux devant elle, pressant les fesses de sa concubine, il avait le nez juste au-dessus de la vulve gonflée d’envies. Il lécha doucement le joli morceau, mordillant délicatement les chairs rosées.
Elle reçut cet hommage avec tant de bonheur. Elle s’abandonnait, prenant la tête de son adorateur, la serrant contre elle.
— Ô oui mon cœur, je suis tout à toi, et je t’obéirai en tout.
Ils n’entendirent pas le bruit de la porte s’ouvrant. Ils étaient là, figés dans leur extase. Monseigneur Karl, évêque du diocèse, était à l’entrée et les regardait. Il entra et ferma la porte... à clef.
— En effet, père Matthew, je vois que sœur Eleanor ne donne pas son amour qu’à Jésus, dit-il les yeux fixés sur le corps de satin.
— Je vous l’avais promis, Monseigneur.
Le père Matthew, à genoux, b ...
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