Petites réticences lorsque pour la première fois il ressortit de mon anus et l’autre de ma bouche. Mais ils ne faisaient que changer de place.
Et me voilà reparti de plus belle dans le monde du plaisir total.
Je ne sais combien de fois ils ont changés de place, ni combien de temps cela a duré, mais quand le premier à joui sur mon visage, j’en voulais encore et ne lâchais pas cette bite qui venait de jouir.
Puis la seconde sorti de mon cul, je dis : « Non !!! encore !!!! » et il vint se mettre dans ma bouche. Il jouit au fond de ma bouche, j’avalais tout et constatais que c’était le sperme du chauffeur.
Mais qui était l’autre homme ? Après 2 à 3 minutes, ils me détachèrent des arbres sans m’enlever la ceinture, ni le collier, ni les chaînes à mes chevilles, ils tirèrent et me mirent dans le coffre de la voiture.
Ils partirent, ce n’est pas confortable, mais ce n’est rien pour le plaisir que je venais d’avoir.
Après un long moment, la voiture s’arrêta, et redémarra, encore un long moment et s’arrêta à nouveau.
Le coffre s’ouvrit, le chauffeur détacha les chaînes de mes chevilles et enleva le collier.
Je regardais au tour de nous, nous étions dans une sorte de ruelle entre des dépôts, personne.
Je me suis jeté sur son pantalon pour l’ouvrir et le sucer encore, j’en voulais encore, c’est trop.
Il me laissa faire, et me demanda : « Que vas-tu faire maintenant petite bite ?».
Sans lâcher sa bite, je le regardais et dit « Je veux devenir votre petite bite lors de mes passages en ville, je peux venir 2 ou 3 fois par mois, j’habite à un peu plus de 80 Km, mais plutôt en journée, le soir 1 fois par mois, et vous avez raison, je serais docile, obéissant et maniable, je ne dirais rien et surtout pas non à tout ce que vous voudrez sexuellement, je veux des bites, des bites et des bites »
Il me dit : « Et tu es prêt à prendre combien de bites en même temps ou en suivant ? »
Et je lui ai répondu : « Autant que je pourrais en satisfaire pendant le temps que je peux vous consacrer »
Et il dit : « A quelle heure je dois te libérer ? ».
Je regardais ma montre, il était 04h10, nous étions dimanche matin, alors je lui dit : « A ...

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