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Dimwell, mon adolescence (suite 6)

Publié par : dimwell le 08/04/2018

Je venais donc de découvrir les plaisirs du sexe oral. Durant toute la journée je sentais encore les lèvres brulantes de l'infirmière lécher, sucer, engloutir mon sexe dans des vas et viens de plus en plus rapides. Je sentais ses doigts jouaient avec mon anus et le pénétrer lentement mais surement.
Je sentais encore la liqueur que son sexe avait déversé dans ma bouche lorsqu'elle avait jouit dans des râles de joie. Le soir je me couchais avec les collants que je portais avec elle et je me mis à me caresser lentement jusqu'à jouir dans celui-ci. Bien évidemment cela n'avait pas la même puissance que lorsque je m'étais vidé dans sa gorge chaude et accueillante.
J'avais hâte d'être à jeudi afin de poursuivre mon éducation sexuelle avec cette femme merveilleuse, tendre , et belle. Machinalement je me mis à penser qu'elle aurait put être ma mère, puisqu'elle avait sans doute à peu près le même âge (35-40 ans).
Le jeudi arriva enfin, j'avais prévenu ma mère que je ne rentrerais pas le midi déjeuner car je faisais un travail collectif chez un copain et je déjeuner chez lui, mais que je rentrerais vers 17 heures.
Alors que mes parents étaient partis travailler, je prenais ma douche, enfilais un collant chair et une petite culotte noire très échancrées (genre de Tanga d'aujourd'hui). Puis je me dirigeais vers la maison de l'infirmière qui m'avait laissé son adresse. Elle habitait d'ailleurs bizarrement pas loin de chez nous, à environ 1,2 km. Je sonnais à sa porte, elle m'ouvrit et je la découvris en Talons Hauts, Collant Noir en filet (elle me dit que c'était de la résille), pas de culotte, ni soutien gorge, et un chemisier blanc transparent, laissant apparaître sa merveilleuse poitrine et ses jolis seins bien galbés et fermes en forme de poire.
Dés que je fus rentré, elle ferma la porte à clé et me dit "déshabilles-toi, ne garde que ton collant et ta culotte, si tu en as une".
J'obéissais et me retrouvais donc de nouveau devant cette superbe femme en collant et petite culotte échancrée. Elle me dit " tu as très bon choix, cette culotte est ravissante et un peu coquine". Je lui dit qu'elle appartenait à ma mère, elle sourit et me dit "je t'achèterais de la belle et coquine lingerie, rien que pour nous deux".
Elle m'entraina dans sa chambre et m'allongea sur le lit en disant "Maintenant laisses moi faire, je vais te faire découvrir quelques positions de l'amour. Il y en a beaucoup, mais nous avons tout notre temps mon chéri. Je suis à toi tant que tu le voudras, mais surtout cela doit rester secret" Je lui ...

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