- C’est toujours aussi bon, Eudes ?
- Oui, c’est vraiment le pied. Et toi, Hubert, je te suce bien !
- Super, Eudes, mais tire encore plus fort sur mon prépuce.
J’en profite pour intervenir :
-Dis donc, Eudes, hier soir dans la piscine, tu n’as pas dit à Hubert que tu voudrais bien essayer avec lui ?
- Essayer quoi ?
- Ben, te faire prendre !
- Oui, mais j’ai peur qu’il me fasse mal ! Tu as vu la taille de son engin maintenant ?
Effectivement, « l’engin » est très gros et doit avoisiner les 22 ou 23 centimètres., avec un gland énorme, très protubérant et gonflé à l’extrême (et pour cause !).
- Moi, je te sens parfaitement prêt. Tu es bien dilaté car je t’ai bien préparé, et tout en douceur tu remarqueras. On mettra du gel si tu veux...
- Hubert, je veux bien essayer mais si j’ai mal tu arrêtes tout de suite ! Parole ?
- Mais oui, Eudes, t’inquiète !
-Mais oui ne t’inquiète pas, je vais demander à Tarzan de continuer à te préparer bien progressivement... Mets-toi à quatre pattes.
Probablement peu tranquilisé, il s’exécute. Hubert me rejoint. Je lui montre comment faire, avec la langue, un doigt, puis deux, le massage du périnée et des couilles, bref tout le travail de préparation. Il s’y attelle et me surprend par son action et surtout par la grande tendresse prodiguée. On passe au gel, puis lui confirme qu’il peut se positionner. Pour ma part, je passe en face et présente ma queue sur tendue aux lèvres de mon Normand qui ne la refuse pas et entame un pompage délicieux. J’en profite pour regarder Hubert qui commence lentement à s’immiscer. Son plaisir est évident, je le mesure à la brillance de son regard et à sa langue courant sur ses lèvres, comme pour mieux y goûter. J’entends Eudes, détendu, qui semble aussi apprécier. Ces garçons ont un sacré avenir en la matière ! Quel savoir-faire inné, et sans expérience pourtant ! Aux légers coups de boutoirs, je comprends qu’Hubert est à fond maintenant. Il a les yeux presque révulsés. Il active sa cadence par des coups de reins réguliers mais plus puissants, contraignant ainsi son ami à engloutir involontairement ma queue jusqu’à sa base ! Il en profite pour bien maintenir la position tout en cherchant à pousser encore plus loin. Quel pied !
De temps à autre, Eudes me la lâche pour mieux manifester son plaisir et la reprend ensuite en bouche, pas toujours adroitement d’ailleurs, complètement focalisé par son cul qui doit être en feu. Je suis terriblement émoustillé tant par le plaisir de cette jeune bouche qui me bouffe avec délice que par la vue de ce magnifique torse noir, tout luisant, déjà de transpiration, et par ces abdominaux se contractant en cadence avec ses coups de reins presque combatifs. Il est si émoustillé, avec un regard à demi fou, j’ai même l’impression qu’il bave un peu, qu’il donne maintenant de coups de reins d’une puissance surprenante, faisant presque chuter son amant à mes genoux.
- Ca va Eudes, j’te fais pas mal, souffle-t-il ?
- Non, c’est le pied, continue, vas-y, mets-la moi bien profond ! Défonce-moi le cul bien à fond, mon amour !
- Quelle belle déclaration d’amour ! L’iceberg semble se retourner et les verrous s’ouvrir tout d’un coup !
La cadence qu’impose mon Tarzan devient dingue, maintenant. Eudes, visiblement au Nirvana, me pompe encore plus vigoureusement, tout en me massant presque trop virilement les couilles, à tel point que tant par son action efficace que par la vue super excitante de ce beau mâle noir en train de le pilonner, ma jouissance arrive rapidement, inondant la bouche de mon petit jeune qui ne recrache rien. L’embrasement, certainement...
Puis vient un coup de rein phénoménal de mon étalon qui projette Eudes en avant pour venir finalement s’écrouler sur lui, à même le drap, tout en continuant à lui donner des derniers mais épisodiques coups de bassin. Moi, encore à genoux, je l’entends souffler comme une forge. Il reste là, collé à son ami, reprenant peu à peu son souffle. Eudes ne bouge pas, semblant apprécier ce contact et cette chaleur après avoir eu le fondement en feu.
Je les contemple, un peu ému, me souvenant de mes jeunes années...
Puis, ils se retournent, se bécotent tendrement et Eudes vient récupérer avec la langue les dernières gouttes de sperme sur le gland d’Hubert, encore décalotté et paradoxalement bien gonflé encore.
-Tu as aimé mon amour !
-Oh putain que c’était bon de te sentir en moi ! Je sais pas si c’est la prostate mais tu m’as mis le cul en feu. J’aimerai bien essayer...
- Ouf, je suis crevé. Peut-être un peu plus tard, mon amour, non ?
Décidément, ça y va « les amours » maintenant !
J’ose un :
- Tu peux essayer avec moi, si tu veux ?
- Mais tu m’as dit que tu avais déjà essayé avec d’autres et que cela ne t’avait rien fait ?
-Oui, mais peut-être qu’avec toi ce sera différent, surtout avec ta bite courbée comme ça ! Je profite pour la caresser et lui palper les couilles.
- Ok. Si tu veux...
Je me retourne, me mets en position.
- Pas la peine de mettre de gel avec toi, mais prépare moi bien quand même ! Viens Tarzan !
Je le prends face à moi, m’accroche à ses hanches et avale voracement sa belle queue, encore à demi gonflée et ayant toujours un peu le goût de son sperme... Hum !!!! Je sens la langue de mon Normand s’activer, tout en me caressant le périnée et en me pelotant le scrotum. Il a visiblement bien intégré mes leçons. Si le bouffage de mon cul m’a toujours apporté un grand plaisir, même avec les femmes, la sodomie par elle-même ne m’a jamais fait monter au plafond, comme j’ai pu le constater pour beaucoup. Il fait tout comme j’ai fait, m’embrasse la nuque, le dos, les reins, me titille les tétons... Tout cela est bien bon. Je me sens parfaitement détendu et pas très inquiet car son vit doit faire à peine 15 cm en pleine érection.
Pendant que je m’active sur le chibre de mon tarzan, qui a déjà repris toute sa vigueur (que ...

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