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DEUX SCOUTS DE PASSAGE 6

Publié par : pierre49590 le 03/08/2024

Nous nous retrouvons alors gentiment assis sur la marche immergée, moi au milieu de mes deux éphèbes, à discuter. Intrigués, ils me demandent des tas de renseignements sur la sodomie, ses effets, ses techniques, ses variantes, son hygiène, ses plaisirs, ses dangers...
- Bon, je veux bien vous parler de tout ça mais je ramène une bouteille de champagne ? Après l’amour, je ne connais que ça !
A mon retour, avec une Ruinard et des flûtes, je les découvre en train de discuter. Je sers tout le monde et, devant l’air un peu dans la lune d’Hubert, leur demande :
- On peut savoir de quoi vous parliez ?
-Hubert me disait à quel point s’était génial de se faire pénétrer, comme ça, dans la piscine...
- Je ne te l’avais pas dit, mon Tarzan, que ce serait bon ? En plus, tu as un sphincter très souple. Tu t’es déjà enfoncé des godes dans le cul ?
- Non mais ça va pas, non ?
- Te vexe pas beau mâle, il n’y a pas de mal à se faire plaisir...Il faut tout essayer, la preuve...
- Hubert me dit que je devrais essayer, moi aussi... Mais j’avoue que j’ai peur.
- C’est normal, la première fois n’est pas toujours facile. En plus j’ai remarqué que tu te dilates moins facilement que Tarzan !
-Pourquoi tu m’appelles Tarzan, maintenant ?
- Mais parce que tu es aussi bien fait que lui, et... disons que cela m’excite un peu plus...Allez, buvons !
- Il veut à tout prix que j’essaie avec lui ! Mais avec mon engin...
- Je ferai bien ça pour lui faire plaisir, mais j’ai vraiment peur...
- Je te proposerai bien de le remplacer mais mon engin est encore plus gros, et si tu as peur... Mais tu sais, tout est histoire de conditionnement et de préparation.
- Mouais.
Tout en parlant, nous avons fini la bouteille. Quelle descente ! Je repars et en ramène une autre. En m’asseyant et les servant j’aborde la distorsion presque anormale de la queue de mon Normand.
Inquiet, il me demande :
-C’est quoi Lapeyronie ? C’est grave ?
Je le rassure en lui disant que ce n’est peut-être pas ça mais une courbure naturelle de son sexe qui n’évoluera plus.
- Tu as toujours bandé comme ça ?
- Oui, je crois, enfin depuis que je me branle.
- Il faudra simplement voir si cela s’accentue, et dans ce cas alors voir un spécialiste. Mais cela peut très bien rester comme ça... Il faudrait que tu demandes à ton père...
- T’es fou, mon père n’en parlera pas, c’est un cul béni ! Et il s’esclaffe.
- Alors disons que tu fais l’équilibre, car je vois que le sexe ne te rebute pas.
- Il faudra que je demande à mon frère.
- Ben voilà la solution ! Il est plus grand que toi ?
- Deux ans, c’est lui qui m’a montré comment il fallait se branler.
- Et tu as fait ça en pelotant ton frère ?
-- Mais tu as vraiment de drôles idées, toi ? On se branle pas entre frères !
- Et pourquoi pas ?
- Ben... parce que ça ne se fait pas !
Je rigole et lui lance :
Ah ! Là, c’est un petit côté paternel qui ressort...
Il boude un peu en plongeant son nez dans une flute qu’il avale tout d’un trait.
-Mais avec ton engin courbé comme cela, tu vas faire de tas d’heureux ! Ton gland va tout de suite frotter leur prostate !
- Je veux pas baiser que des mecs, ça va très bien avec Hubert. Et puis je veux me marier et avoir des enfants ; lui aussi d’ailleurs ?
-Et alors ? Quel rapport ?
- j’veux pas finir PD !
- PD ! PD ! Tout de suite les grands mots ! Et qu’est-ce que tu en sais ? La sexualité entre mec est un complexe mélange d’amour, de pure satisfaction sexuelle, de don de soi ou d’égoïsme, d’esthétisme même dans l’amour d’un corps parfait. Cela ne se résume pas à être PD ou pas. Je suis marié, j’aime ma femme sexuellement, j’ai deux garçons et pourtant j’adore aussi les mecs ! Ça commence souvent, mais pas pour tout le monde, c’est vrai, quoique... dans la préadolescence, vers la 6ème ou 5ème, avec un très bon copain. Cela débute par des jeux anodins, des bousculades, des mains qui courent, des pincements pour plaisanter là où l’on ne s’y attend pas. Puis, avec un bon voisin de classe, ça continue par une main qui passe sous le bureau pour chercher ce que finalement elle connait déjà, puis les rendez-vous avec le même dans une arrière-cour, les premiers baisers maladroits, les tripotages de sexe dans les chiottes jusqu’à ce que, un jour, on se rende compte qu’on arrive à jouir et l’autre remarque, dans sa main, la première giclée de sperme de l’autre. Jusque-là, rien de très grave pour la suite, rien d’irréversible. On ne bascule pas automatiquement dans l’homosexualité, enfin pour la plus grande part. Vont arriver les filles qui vont très vite et bien plus monopoliser notre énergie sexuelle...
Pour d’autres, comme moi, la découverte de la femme les emballe immédiatement. Sexuellement, ils s’éclatent, oubliant un peu, mais seulement un peu, leurs amours masculines passées. Le temps s’écoule, on se rend compte qu’on reste tout de même toujours attiré par un beau corps d’homme sur la plage ou à la piscine. On se surprend un jour, en faisant l’amour à sa femme en levrette, à repenser à un bon ami d’antan lorsqu’il était dans la même position. Puis, un jour, difficile à déterminer, on refranchit le pas. Et on ne le regrette pas, tout comme moi. Je puis vous assurer que je vais conserver dans ma tête des années encore notre rencontre ! Cela ne m’empêchera pas de faire encore trois ou quatre fois l’amour à ma femme par semaine. Mais toujours tenté, on commence alors une vie parallèle avec des virées dans les saunas ou des lieux de rencontre, parfois sordides... alors vous imaginez que dans mon cas, notre rencontre est pour moi un vrai paradis !
Et puis il y a les autres, les PD comme tu les appelles, même si je n’aime pas cette appellation... Eux ne basculent pas vers la femme, ou alors très mal et demeurent viscéralement tournés vers les hommes, se sentant très femmes, vers la virilité exacerbée, vers le côté mâle. La plupart du temps, c’est des passifs, pas systématiquement c’est vrai, mais souvent. D’autres restent actifs et passifs.
-Alors tu crois que je serai un passif, me demande Hubert, parce que j’ai aimé drôlement.
- Pas forcément, mon beau Tarzan. On peut aimer se faire mettre et mettre. Tout cela est tellement propre à chacun... Moi, par exemple, j’adore baiser les mecs, mais me faire mettre ne me procure aucun plaisir, j’ai déjà essayé, et le plus souvent uniquement pour faire plaisir à l’autre...
Hubert, reste sur son dos, pensif maintenant. Puis au bout d’un long silence
- Merde, qu’est-ce qu’on a bu ! reconnaît-il La tête me tourne un peu...
-Si tu restes allongé, c’est pas étonnant, affirme judicieusement mon petit Normand. Allez, on va se pieuter !
Se faisant, il s’extirpe maladroitement de l’escalier immergé pour venir s’étaler de tout son long sur le sol.
- Putain, j’en tiens une bonne !
Hubert se redresse et l’aide, chancelant un peu lui aussi, à se redresser.
- Allez, on va pieuter. Tu viens Pierre.
- Ok, j’arrive. je laisse ça là, personne viendra boire des bouteilles et de coupes vides cette nuit.
Sur le grand matelas, Hubert s’affale à nouveau sur le dos, sans même un coussin. Il a les bras légèrement écartés, tout comme ses jambes. Quel canon ! Eudes vient se lover contre son côté gauche, tendrement collé à lui, son bras droit en guise d’oreiller et sa main gauche enserrant le chibre de son amant, qui bien que ramolli, dépasse encore bien de toute ses doigts. Je les contemple quelques instants. Ils sont magnifiques ! Quel spectacle ! Puis je viens m’allonger également sur le côté de mon Normand, collé en chien de fusil à lui, ma bite contre ses petites fesses musclées. L’alcool a dû faire son effet, ils s’endorment dans la foulée. Pour ma part, j ...

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