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DEUX SCOUTS DE PASSAGE 5

Publié par : pierre49590 le 03/08/2024

Puis, je rentre chez moi, avec mes deux beaux éphèbes, mais tout de même avec dans ma tête l’image du mystérieux Arslan qui m’obsède un peu, je dois le reconnaître : j’imagine son corps nu dans la piscine, ses fesses apparemment très musclés se mouvant dans l’eau électriquement bleue, sa pilosité qui doit être abondante au vu de l’échancrure de sa chemise et certainement une bien belle bite de bonne dimension qui ferait les plaisirs de ma bouche. Je dois être tellement absent par l’esprit qu’Hubert, tout en marchant, me demande :
- Tu penses encore à notre cérémonie ?
J’élude en lui répondant :
- Oui, elle était magnifique ! Et en frottant amicalement à chacun leur tignasse : et vous étiez bien beaux tous les deux et m’avaient beaucoup excité ! Et puis ce galon passepoil est du plus bel effet ! Alors, bien sûr, je pense déjà à nos retrouvailles dans le lit !
Ils semblent satisfaits de ma réponse. Accélérant leurs pas, ils se retrouvent devant moi à un ou deux mètres à peine. je ne peux m’empêcher deux goûter à sa pleine valeur l’image, dans ce tiède clair-obscur de fin d’été, de ces deux corps jeunes et pleins de vie, particulièrement bien faits de surcroit, si bien « pris » dans leurs uniformes, même si je connais déjà presque par cœur leurs corps. Leurs nuques bien lisses, sans une seule ride me fascine, nuque s’insérant dans des épaules bien développées, à l’arrondi encore parfait. Je fixe avec delices le jeu de leurs fesses respectives jouant au gré de leur marche. Bref, vous l’avez compris, je distille en esthète chaque seconde.
Ils ont l’air particulièrement heureux, l’air les environnant en devenant palpable. Mais heureux de quoi ? Du plein succès de leur cérémonie ? De leur échelon dans leur hiérarchie scout enfin décroché ? De cette délicieuse soirée qu’ils pressentent passer autour de ma piscine ou de leurs futures étreintes ? Car, lucide, je ne me fais aucune illusion et comprends bien qu’à mon âge je ne représente qu’un « passage obligé » même s’ils semblent en avoir apprécié certains aspects.
Une fois chez moi, je leur propose de déboucher du champagne pour fêter cela ! Leurs yeux s’illuminent ; Nus passons une délicieuse soirée dans les canapés à discute de tout. Je les interroge tout de même sur leurs expériences sexuelles. Je découvre surpris qu’elles ne se limitent qu’à leur couple. Je souris en pensant à mes expériences d’adolescents où j’avais déjà accumulé moult aventures avec mes camarades de lycée. Oui car j’ai très vite compris que, souvent, il suffisait d’essayer. Et à défaut de trouver des partenaires enthousiasmés, beaucoup ont été, disons, coopératifs. En fait, c’est tout ce que je leur demandais... Les baisers langoureux n’étaient pas toujours acceptés, mais les branlettes souvent les bienvenues et appréciées, tout comme les pipes que parfois je leur taillais !
L’ambiance est plus que festive puisque nous alignons rapidement deux bouteilles de Ruinard ! Dommage qu’ils n’en n’apprécient pas la qualité.
Devant la chaleur ambiante, Hubert propose :
- On va se baigner ? »
- Oui, mais à poil, répond mon Normand.
Pendant que je range un peu le bordel des bouteilles et des verres, ils en profitent pour courir vers la piscine. Je ne les rejoins que quelques minutes plus tard., pour les retrouver déjà enlacer, se couvrant de caresses et de baisers. Je sais maintenant à quoi ils pensaient sur le chemin du retour, tout à l’heure !
- Et, mais vous auriez pu m’attendre pour les papouilles !
Ils me regardent et rigolent. Eudes me lance :
- Et bien viens nous rejoindre !
Chose faite. Je me retrouve collé à eux. Ils sont visiblement trop occupés à se couvrir de caresses et de baisers langoureux. Alors, je me colle à eux sur leur coté pour en profiter pour les dévorer égoïstement : titillement et léchage profond de l’intérieur de leurs oreilles, ce qui semble avoir un effet immédiat, léchage du creux de leur cou, caresses sur leurs petits ventres si fermes et déjà bien tendus, grattage des poils de leur pubis (j’adore ça surtout sur les poils très frisés de mon Antillais). Leurs sexes sont inatteignables, fortement enserrés et caressés par leurs mains respectives qui semblent s’affoler. La taille de celui d’Hubert m’autorise, en m’immergeant, à gober son gland, déjà bien tendu. Par le jeu de ma langue, qui se glisse en tournant entre son prépuce et son gland, je le sens se gonfler et se durcir encore plus. Puis, je remonte pour léchouiller leurs nombrils respectifs et viens téter les mamelons de mon petit Normand, tout en pelotant leurs fesses respectives. Quel bonheur ! Bien sûr, mes doigts vont leur titiller leurs rondelles, action à laquelle ils ne se bloquent plus. Je vois Hubert plonger son visage dans l’eau et avaler le chibre de son compagnon. Il s’active activement mais est contraint de remonter pour reprendre sa respiration.
- Putain, j’ai trop bu ! Je n’arrive pas à rester plus longtemps sous l’eau.
Nous nous trouvons sur la partie immergée de mon bassin mais avec des marches.
Je lui conseille :
- Eudes n’a qu’à s’asseoir sur une marche, tu pourras ainsi lui prodiguer tes gâteries plus à l’aise. Chose dite, chose faite. Mon Normand pose ses fesses sur une marche, il se penche bien en arrière, offrant son sexe bien tendu et toujours bizarrement courbé à son compagnon, qui vient tout de suite l’avaler et le pomper.
Je pense qu’il va falloir que je lui conseille de consulter un spécialiste car c’est peut-être un début d’effet de Lapeyronie, car sa bite est vraiment très courbée.
Pendant que mon Antillais s’active, je passe derrière lui pour lui caresser le dos (que des deltoïdes magnifiques !), lui peloter puis masser énergiquement les fesses puisqu’il semble avoir apprécier cela tout à l’heure. Je peux ainsi mieux les détailler : musclées, parfaitement rondes, une peau un peu plus claire que son dos, avec sur le dos une toute petite touffe de poils frisés naissante. Je distingue de temps à autre et sur certains endroits, une peau craquelée, comme avec des petites vergetures claires.
Très excité, bien sûr je descends rapidement dans sa raie et commence à lui bouffer le cul ! Je l’entends miauler tout de suite de plaisir. Je pense au fond de moi-même : ce garçon a des dispositions... Ma langue pénètre vraiment sans aucun problème, et même assez profondément. Bien sûr mon doigt entre dans la danse rapidement pour venir lui titiller la prostate. Immédiatement, je le vois tortiller du cul sous le plaisir, un peu comme une danseuse du ventre orientale. Tout cela m’échauffe au plus haut point ! J’essaie un deuxième doigt qui passe sans trop de problème, semblant renforcer son plaisir ;
Je lui susurre dans l’oreille tout en la mordillant et en pensant que ce garçon dans son avenir fera un excellent passif :
- Tu aimes, mon salaud ? »
Sans lâcher la queue du beau blond, il m’avoue :
- Putain que c’est bon ! J’adore ! C’est bon pour toi aussi , Eudes ?
- Oui, mais ne va pas si vite, je veux que ça dure. Caresse-moi les couilles en même temps et essaie, toi aussi, de me mettre un doigt dans le cul, comme a fait Pierre ce matin. C’était très jouissif pour moi.
- Tu veux que je te mette mon doigt ?
- Ben oui quoi !
- Bon ok. Et, Pierre, ne m’appelle pas ton salaud. J’aime pas ça.
Je viens lui mordiller l’oreille et lui souffle :
- Comme tu voudras mon Tarzan ! Je pense en moi-même : si ça peut te rassurer sur ta virilité...
Je continue à lui astiquer la rondelle. Son sphincter est complètement d ...

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