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DEUX SCOUTS DE PASSAGE 4

Publié par : pierre49590 le 01/08/2024

- D’accord ; mais tu y vas mollo et progressivement, hein ?
-T’inquiète, tu verras, ça passera tout seul. Hubert va s’occuper de ta jolie bite et moi de ton petit cul adorable...
Il se place alors à quatre pattes sur Hubert, encore sur son dos, et lui enfourne sa queue bien raide dans la bouche. Elle offre une courbe peu commune et très accentuée vers le haut ! Il ferait le bonheur de certains à les ramoner avec ce bel engin... Je me place derrière et entame, très progressivement, vraiment par petites touches afin de le détendre, un lapage des couilles, pour remonter par son périnée rose où je découvre la protubérance bien caractéristique de la base d’une queue en érection, pour arriver enfin à sa rondelle dont la couleur brune tranche étrangement sur ses fesses plutôt blanches. Il a vraiment un petit cul magnifique. Toujours très délicatement, ma langue s’active et avec mon pouce humide, par des mouvements circulaires, je commence à dilater adroitement son sphincter. J’alterne coups de langue et massage par le pouce. Assurément, il se relâche et ma langue pénètre de plus en plus profondément. Je suis aux anges ! Mais j’ai besoin de temps et je vois qu’Hubert très excité, pompe un peu trop ardemment mon bonhomme.
-Va pas si vite Hubert, il va jouir trop rapidement !
Il arrête alors sa succion et la reprend simplement de temps à autre, sans trop insister. Je sens mon gars bien préparé et après avoir inondé mon doigt de salive, je le pénètre très lentement. Il se crispe.
-Si tu bloques, moi, je ne pourrais plus rien faire ! Détends-toi, tu n’auras pas mal.
Je constate qu’il se relâche. J’accentue alors mon « tétage » du périnée et de son scrotum. J’enfonce vraiment très, très lentement mon doigt qu’il semble ne plus refuser. Un fois à fond, je vais chercher la bonne zone et commence le massage de sa prostate, que j’ai tout de même du mal à trouver, contrairement à celle d’Hubert. Mes mouvements circulaires du doigt et le travail de ma langue semblent faire effet. Je le sens maintenant totalement détendu. Je pourrais certainement y mettre un deuxième doigt, peut-être même un troisième. Mais je ne veux pas lui faire peur et m’active alors avec mon seul doigt. Très rapidement il commence à couiner de plaisir. Hubert s’en rendant compte, s’active alors comme un fou sur le pompage de son gland. Ne voulant pas lui faire rater le plaisir de l’éjaculation, renforcé par l’excitation de sa prostate, j’accélère moi aussi, avec un doigt maintenant très à son aise dans un rectum complètement dilaté naturellement. Stimulé au maximum, il entame une succession de coup de reins violents tout en gémissant de plaisir, obligeant son pompeur perdre sa bite des lèvres de temps à autre. Puis vient rapidement le dernier coup de rein avec la jouissance attendue, accompagnée, là aussi, d’une belle gueulante de plaisir. Son anus se bloque sous cette délectation violente, emprisonnant fortement mon doigt. Mais j’ai l’habitude. J’attends à peine quelques secondes et peux le retirer. Je constate, déçu, qu’Hubert, lui, a avalé tout son sperme.
-Tu aimes le sperme Hubert ?
-Le sien, oui.
-Tu en as bu déjà d’autres ?
- Non jamais, mais lui c’est lui.
Je comprends alors que quelque chose de très fort les réunit et pas simplement les parties de cul partagées.
Eudes s’effondre aussi sur le dos, à côte d’Hubert. J’en profite alors pour les contempler et venir récupérer avec délice les dernières petites gouttelettes de sperme encore restées sous leurs prépuces. Mon Dieu que tout cela est délicieux !

Mais un téléphone sonne. Eudes bondit, récupère l’appareil.
- Merde ! Déjà sept heures. On a le débriefing du camp à 8h30 ! Il faut qu’on se magne ! On peut déjeuner ?
- Pas de souci, j’ai tout ce qu’il faut. On reste à poil et on s’installe sur la terrasse, le soleil est déjà levé.
- Ok, réponds Hubert, en s’éjectant du sommier et en me laissant apprécier le jeu de ses fesses musclées et de son dos qui se redresse virilement...

Quelques instants plus tard, nous voici installé sur ma terrasse, les garçons dévorant un petit déjeuner copieux. Eudes s’est mis du coté ombre car il m’a avoué avoir une peau sensible et qui rougit trop rapidement au soleil.
- Tu dois être encore plus craquant, à poil, couleur écrevisse ?
- Peut-être, mais ça arrange pas ma peau.
N’ayant pas très faim, je grignote en me délectant du spectacle de mes deux petits dieux. C’est marrant comme les hommes ont toujours tendance à s’affaler un peu sur leur siège. Mais vêtus, on ne peut en profiter. Là, je me réjouis dans la contemplation de leur queue, de leur pubis que se caresse d’ailleurs machinalement Hubert tout en mangeant. Je remarque que son gland est décalotté. Je lui fais remarquer.
- Je fais toujours ça la journée. J’aime bien avoir le gland à nu frottant sur mon caleçon toute la journée. Ça m’excite terrible.
Je lui rétorque :
-Tiens, il faudra que j’essaie...
– Moi, j’ai essayé mais je trouve pas ça terrible...lui assène Eudes. Bon, je fais prendre un petit bain juste avant. Tu viens Hubert.
- Non, je vais te regarder. Tu viens Pierre ?
-Non, je vais rester assis, moi aussi à vous regarder...

Mon petit Normand courre et plonge d’un coup dans l’eau, dans une gerbe d’écume. Je ne le vois plus. En revanche je me m’excite à la vue de la silhouette de mon Antillais, nu, marchant de l’avant, dans un déhanchement et une ondulation de ses deltoïdes augurant sa future puissance d’homme. Il s’arrête devant la piscine et discute avec Eudes, dans un déhanchement le plus suggestif, que les peintres italiens ont su si bien mettre en exergue dans leur « contraposto ». Il est magnifique, un David de Michel Ange de dos. Une érection subite s’empare de moi, je ne peux m’empêcher de me caresser le sexe...
Trop près de la margelle, il se fait attraper un pied par Eudes qui le tire brusquement jusqu’à le faire chuter dans l’eau. Souhaitant garder mon sperme pour plus tard, (je n’ai plus leur âge), je cours et plonge dans la foulée dans l’eau fraîche pour les rejoindre. Nous restons quelques instants, mais l’heure passant, ils sortent et vont s’habiller. Je m’extirpe également, mais plus lentement, et vais rejoindre la terrasse.
Ils redescendent cinq minutes plus tard, et m’apparaissent dans leur tenue traditionnelle de scouts unitaires. Je les trouve terriblement sexy dans cette uniforme qui fait monter en mon esprit une foultitude d’images fantasmées de jeunes scouts et de films pornos les mettant en scène. Terriblement émoustillé, je m’approche de mon Antillais et lui demande :
-Je peux voir ?
Fausse demande car dans la foulée, je glisse ma main sous sa ceinture pour m’emparer de sa queue qui est effectivement bien décalottée.
-Ah oui, c’est vrai, tu n’as pas menti.
- Et pourquoi voudrais-tu que je te mente ?
Eudes rajoute :
- Bon, c’est pas le moment pour des papouilles et on va être en retard. Je crois que tu as prévu de nous inviter pour le déjeuner ?
-- Et comment ! Mes n’veux !
Ils s’esclaffent tous les deux et disparaissent dans la légèreté et la spontanéité de leur jeunesse

La journée fut longue, très longue pour moi, d’autant qu’ils passèrent rapidement déjeuner, en deux coups de cuillère à pot, pour repartir pour la préparation de la cérémonie de clôture. Ils m’annoncent en outre qu’ils ne rentreront pas dîner, ce dernier étant prévu sur place pour eux, juste avant la cérémonie, cérémonie à laquelle je suis invité d’ailleurs...à 21h30 !!!!

Je débarque bien avant les réjouissances, ayant vite avalé mon dîner. J’avoue avoir grande hâte à revoir mes de ...

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