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DEUX SCOUTS DE PASSAGE 3

Publié par : pierre49590 le 30/07/2024

Salut ! Puisque tout le monde semble insister, je lance la suite avant le premier août ! Bien à vous... Les deux garçons sont montés se coucher dans leur chambre. Je n’ai pas voulu les embêter en leur demandant de m’aider à ranger. De toutes les façons, je suis trop maniaque et préfère ranger tout à ma façon. J’ai presque terminé maintenant.
Je reçois un appel WhatsApp de ma femme. Je m’installe alors au salon et commence à discuter avec elle.
Au bout de 10 minutes, j’entraperçois, par le palier intermédiaire à claire voie, les belles jambes oblongues de mon Normand pieds nus, descendant les marches gracieusement, pour découvrir tout à coup le bas de son bassin avec ce déhanchement si particulier dans une descente d’escalier, et, cerise sur le gâteau, son beau sexe dressé, en belle érection. Puis apparait son ventre, son torse avec ses bras tenant la rampe et enfin son incomparable visage, souriant avec ses cheveux en bataille. Visiblement il n’a aucun complexe et semble très à l’aise ! Tant mieux...
Immédiatement, je lui fais « Chuttt » du doigt pour plus de discrétion et lui montre mon téléphone. Il me répond par un signe interrogatif pour savoir si je les rejoins. Petit clin d’œil de ma part et geste pour lui faire comprendre que j’arrive... Tout en continuant à échanger avec ma femme, je ne peux m’empêcher de dévorer des yeux ces belles petites fesses bien fermes, ondulant si naturellement dans la remontée de l’escalier.
Mais j’avoue ne plus avoir l’esprit à la conversation avec mon épouse qui me tient pourtant le crachoir encore pendant au moins une demi-heure en me demandant des nouvelles sur tout et rien. Ouf, elle a terminé. Je ferme la porte, descends les stores. Je range rapidement mes dernières affaires, me déshabille en posant mes effets sur le canapé et monte à l’étage où tout semble silencieux. Aussi, je n’ose allumer la lumière de peur de les réveiller, si toutefois c’est le cas. J’arrive enfin dans leur chambre pour découvrir un spectacle de rêve ! Ils ont ouvert grand la fenêtre, compte tenu de la chaleur. La pleine lune éclaire de sa lueur argentée la chambre mais surtout le lit blanc avec ces deux jeunes corps enlacés, dormant déjà dans la beauté fracassante de leur jeunesse.
Ils sont collés en chien de fusil, sur leur côté droit, Hubert enserrant mon petit Normand contre lui dans ses bras, les petites fesses collées à son sexe que je ne peux donc discerner. Son bras droit est passé sous le torse d’Eudes et le gauche enserre encore sa queue apparemment apaisée. La superbe peau un peu cuivrée de mon Antillais semble reluire sous les tâches de lune et Eudes paraît encore plus blanc qu’à la piscine. Je suis stupéfait par ce magnifique spectacle dichotomique qui m’est offert, là, gratuitement, à mes yeux éblouis. J’ai dû rester au moins dix minutes à les contempler, à « manger » chaque détail de leurs anatomies : les biceps puissants d’Hubert, la peau rose pâle de ses plantes de pied, ses fesses charnues et rebondies, le creux de sa dorsale épousant une courbe des plus gracieuses. Son corps me rappelle étrangement toute la délicieuse et puissante plastique d’un bronze d’Emile Louis Picault, que j’avais découvert, il y avait longtemps, représentant un guerrier grec esclave.
Eudes, lui, tient de ses deux mains le bras de son compagnon, passés sous son torse avec la main posée sur son téton gauche, son ventre offrant un creux des plus suggestifs, ondulant sous sa respiration calme et profonde. Son sexe, maintenant rabougri, dépasse à peine de la main de son amant, qui a le visage enfoui dans le cou et la chevelure de son partenaire, semblant en respirer tous les effluves. Lui évoque, plutôt pour moi, les statues de jeunes éphèbes grecs, au corps gracile, et dont je me suis délecté à la galerie des Offices de Firenze !
Je n’arrive pas à me départir de ce spectacle. Souhaitant l’immortaliser pour moi, je passe discrètement dans ma chambre, récupère mon Nikon, le règle sur la plus haute sensibilité et reviens prendre une série de clichés sur tous les plans. J’ai un peu peur que le bruit du déclic ne les réveille et me gâche ma prise de vues. J’en prends au moins une cinquantaine, tout en profitant du spectacle et en m’approchant parfois à quelques centimètres d’eux pour mieux découvrir le moindre détail et en respirer toutes leurs effluves. Je remarque d’ailleurs qu’Hubert exhale une odeur de sudation plus forte que mon blondinet aux yeux bleus. Là-dessus surnage une indiscutable fragrance de sperme répandu. Ils ont dû jouir encore une fois avant de s’endormir ! Ah ! Jeunesse ! J’aime entendre leur respiration régulière et souris en découvrant parfois un rictus sur les lèvres de mon Antillais, titillé par la chevelure de son ami.
À un moment, Eudes semble vouloir bouger. Je me recule immédiatement, cachant mon appareil derrière moi. Lentement, il se retourne et bascule sur son dos, roulant sur le bras droit d’Hubert qui lui lâche, sans s’en rendre compte, le sexe. Ce dernier m’apparaît alors ; superbe et mou, posé sur le creux de son aine droite, avec sa belle toison blonde, hélas peu fournie, les couilles presque imberbes pendantes entre ses cuisses. J’admire néanmoins ce petit filet de poils courant de son pubis jusqu’à la base de son nombril. Effectivement, et cette fois encore de plus près, je découvre ce nombril non pas en creux mais vraiment comme un bouton rose apparent. J’en profite pour reprendre en photo tous ces détails qui m’excitent au plus haut point. Hubert est resté en chien de fusil. Je ne sais pas, à ce moment, s’il fait cela consciemment ou en rêve, mais je vois sa main gauche parcourir le ventre d’Eudes à la recherche de son sexe, pour finalement le trouver et l’enserrer à nouveau entre ses doigts. Ouf ! Quel spectacle ! Si je leur avais demandé de poser, jamais ils n’auraient su prendre une attitude aussi naturelle et si suggestive. Mon Antillais se retrouvant décollé de son ami par ce mouvement, j’entrevois son superbe sexe en pleine érection ! Je l’imagine dans ses rêves ? J’ai une envie folle de gober ce chibre à pleine bouche. Il est tendu à l’extrême et son prépuce à demi ouvert, contraint par son gland turgescent que je devine rosé. Mais je me calme et en profite pour prendre encore une série de clichés.
Puis je vais ranger mon appareil dans ma chambre et reviens m’allonger nu contre Hubert, profitant de sa position pour me coller, moi aussi, en chien de fusil, ma bite contre ses fesses chaudes. Je suis en érection de fou et parviens à glisser ma queue entre ses deux beaux lobes. Il bouge un peu, permettant de m’y insérer un peu plus. Je suis plus que chaud ! Brûlant même ! Avec ma main gauche, je m’empare délicatement de son chibre, toujours tendu. Je joue très lentement avec son prépuce, augmentant encore, autant que faire se peut, son érection. Je sens sous la peau de mes doigts ses contractions, involontaires je pense puisqu’il ne se réveille toujours pas...Mon nez enfoui dans sa nuque, contre sa belle chevelure jais toute frisée, je distille les senteurs de son cou, en légère sudation.
Je réalise que les deux compères sont certainement épuisés par la fatigue de la marche du jour, l’alcool, la piscine, toutes ses émotions et cette veille tard dans la nuit. Je décide de ne pas insister mais l’exercice est loin d’être aisé car je suis excité comme un fou et les images de la piscine défilent à toute vitesse dans ma tête. Puis, sans m’en rendre compte certainement, le sommeil me surprend et je m’endors dans cette position.

J’ai dû dormir profondément, en faisant de très beaux rêves certainement, puisque ce n’est qu’aux toutes premières lueurs de l’aube, transparaissant au travers de la fenêtre grande ouverte, que je suis réveillé par des mouvements du matelas. J’ouvre mes yeux un peu chassieux pour découvrir un bien beau spectacle, dont beaucoup doivent rêver à leur réveil. Mes deux voyous en train de pratiquer un 69 langoureux mais discret, certainement pour ne pas me réveiller. Mon Antillais est à côté de moi sur le dos en train de bouffer la magnifique petite queue bien raide et vaillante d’Eudes qui, lui, s’escrime à pomper ardemment le gros chibre d’Hubert tout en lui malaxant les couilles. Je bouge un peu pour me tourner afin de mieux les contempler. Mon Normand s’en rend compte, pivote un peu son visage vers moi, mais toujours la bouche pleine bien occupée, et me fait une œillade de connivence. Je continue à regarder cette scène super excitante. Hubert sur le dos est très détendu, mise à part sa bite. Mais Eudes a tous les muscles bandés dans cette position, reposant sur ces coudes afin de mieux pomper son partenaire. Il est superbe, tel un vrai athlète grec de l’Antiquité ! Je goûte toutes ces minutes que je ne risque pas de retrouver de sitôt. J’en profite tout de même pour laisser courir ma main ...

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