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DEUX SCOUTS DE PASSAGE. 1

Publié par : pierre49590 le 26/07/2024

Mon ami René est venu me voir pour me demander un service.
Il est ancien scout comme moi, et la fédération lui a demandé de trouver des hôtes pour la fin du camp d’été d’une troupe de scouts unitaires de France. Il s’agit de répartir leur groupe d’une quinzaine de jeunes par binômes dans notre village pour une fin d’après-midi et une nuit. Bien évidemment, aucun problème pour ma part, même si ma femme sera chez notre fille en vacances.

Le jour J, nous voilà regroupés sur la place du village, près de la fontaine. Le responsable nous présente les jeunes et les binômes formés. J’opte tout de suite pour les deux plus grands, ils doivent avoir 17-18 ans : a priori un bel antillais ou guyanais et un magnifique blond type nordique. Je les trouve déjà super excitants, avec leurs shorts laissant apparaitre d’admirables cuisses bronzées et musclées. Je me doute bien que je n’en ferai pas de folies, réputation oblige dans ce tout petit village. Mais si je peux me rincer l’œil, au moins...

Présentations faites : l’Antillais (s’en est bien un) se prénomme Hubert et le beau nordique Eudes (en fait il est Normand).
Une fois arrivés chez moi, un soleil accablant règne sur ma villa et mon jardin. Je leur offre un verre de rafraîchissement sur la terrasse, à l’ombre, où ils déposent leurs sacs.
Ils semblent s’extasier devant ma belle piscine (c’est vrai j’en suis assez fier...).
-Vous voulez en profiter pour vous baigner ?
-Oh, oui !
-Et bien la piscine est à vous...

Vite dit, vite fait, après une douche, ne disposant pas apparemment de caleçons de bain, je vois mes deux jeunes s’immerger dans les eaux en caleçons DIM et ATHENA en lycra.
Dans la piscine aux eaux bleutées, le jeune scout Antillais évolue avec grâce. J’admire ses épaules puissantes et sa silhouette athlétique qui se devinent parfaitement sous la surface de l'eau, témoignant d'une pratique régulière du sport.
Son camarade, Eudes, nage à côté de lui. Il a des épaules moins larges mais pourtant bien dessinées, et sa silhouette élancée, que je qualifierai de type « danseur », émerge de temps à autre de l’onde, notamment son magnifique petit cul, témoignant d'une forme physique entretenue. Un bon bronzage lui ferait le plus grand bien pour effacer les marques de sa chemise et du short sur une peau très blanche...
Puis, au bout d’un certain temps, en atteignant le bord, l’Antillais émerge lentement par l’échelle de bain, l'eau ruisselant sur sa peau d'ébène. Ses muscles bien dessinés sous la tension, se révèlent progressivement : d'abord le torse sculpté, puis les abdominaux fermes. Visiblement pas encore un corps d’homme, mais un vrai corps en devenir...
Une fois debout, et d'un geste nonchalant, il ajuste son DIM qui laisse apparaître une forme plus que suggestive, en tirant gauchement dessus et en le replaçant sur ses hanches plutôt larges. Il a beau ne pas ménager ses efforts, le lycra traître reste inexorablement moulant. Y renonçant en fin de compte (je souris intérieurement), il se redresse et secoue sa tête toute frisée dans un geste élégant, projetant une myriade de gouttelettes scintillantes qui brillent un instant dans la lumière du soleil. Un sourire éclatant irradie son beau visage aux traits déjà virils, mettant en valeur sa mâchoire carrée et ses pommettes hautes. Je ne peux m’empêcher maintenant de le dévorer des yeux. Puis, il va s’allonger sur la margelle, son corps athlétique s'étirant de tout son long, mettant encore plus en avant ces formes désirées... Les yeux fermés, il semble savourer la chaleur sur sa peau encore humide, son torse se soulevant doucement au rythme de sa respiration apaisée, son ventre naturellement rentré, guidant ostensiblement mon regard plus bas Ses cuisses sont magnifiques ! Les traits détendus et son attitude décontractée reflètent un moment de pure sérénité
Eudes sort à son tour. Je ne veux en aucun cas rater ce spectacle ! Il grimpe gracieusement les barreaux d’inox, l'eau s’égouttant sur sa peau très claire. Ses cheveux blonds, légèrement ondulés et plutôt longs, collent pour moitié à son visage et à son cou, ajoutant une indéniable touche de charme désinvolte, presque comme une pointe de féminité. Mes yeux découvrent d'abord son torse mince mais tonique, parfaitement dessiné et aux tétons bien apparents ; puis ses abdominaux plutôt marqués. Tout comme pour Hubert, une fois debout, il entame le même processus sur son caleçon ATHENA. Mais apparemment moins bien monté, il parvient plus aisément à en cacher les formes sur un bassin plus étroit. Puis, de même, il secoue sa chevelure dans un geste de grâce, puis comme un jeune chien qui s’ébroue, et il presse ensuite sa chevelure dans ses mains comme pour l’essorer. Lui aussi affiche un immense sourire, montrant ainsi sa joie de vivre au soleil, et mettant en exergue son visage aux traits fins, ses yeux bleu clair et ses pommettes hautes. Puis il va s’allonger tête bêche sur le rebord, crâne contre crâne de son camarade, comme un jeune chat se dorant au soleil, son torse se soulevant également au rythme d’une respiration un peu plus haletante, peut-être.

Les sentant détendus, j’ose leur faire remarquer que, ne connaissant pas l’ampleur de leurs effets entassés dans leurs petits sacs, et leurs caleçons risquant de déteindre au contact du chlore, ils feraient mieux se baigner à poil et de les rincer rapidement à l’eau douce... Ils se regardent, l’air interrogatif, comme un peu gênés. Pour les mettre à l’aise, je leur annonce que, pour ma part, je me baigne toujours à poil. Aussitôt dit, aussitôt fait, j’enlève mes vêtements et plonge nu dans l’eau fraîche.
Tout en nageant, je les regarde assis tous deux sur la margelle, les jambes baignant dans l’eau.
- Vous ne vous êtes jamais baigné à poil ?
-Non !
-Vous devriez essayer vous verrez, c’est génial.
Ils semblent hésiter... Puis le beau blond se décide, ôte son caleçon, laissant apparaître une bite tout à fait honnête, quoique sans prétention, et plonge me rejoindre ! Une fois dans l’eau, il semble plus qu’heureux et balance à Hubert :
-Putain, Hubert, c’est génial d’avoir les balloches à l’air ! Allez viens !
Je vois qu’il hésite, peut-être mal à l’aise ? Je lui lance :
-Tu es timide ? Tu veux que je me retourne ?
-Non, non, c’est pas ça. Mais j’ai pas l’habitude !
-Allez, Hubert, fais pas ta chochotte, viens !
Il tergiverse encore un peu, puis se décide. Les yeux braqués sur lui, je le découvre ôtant son DIM progressivement, faisant encore plus monter mon excitation, pour découvrir finalement un bien beau chibre ! A peine nu, il plonge.
-Alors Hubert, c’est pas agréable ?
-Géniaaallllll !

Et à partir de là, ils ne s’occupent plus de moi et jouent, nagent, ressortent pour replonger sans cesse. Pour ma part, je n’ai qu’une peur, c’est qu’ils découvrent ma forte érection. Reflexe amplifié par ma vision, lorsque je plonge en apnée, de ces magnifiques jeunes corps nus, par leurs fesses différentes, certes, mais superbes, par leur anus même que j’entrevois dans leurs amples mouvements de brasse, par leur sexe libéré dans cette eau fraîche... Quel bonheur !
Nous passons un bon moment ensemble, faisant des concours de longueurs, d’apnée (où je me régale...). On joue au ballon, on se bouscule. J’ose quelques mains, pouvant toujours paraître maladroites si besoin... Je ne peux aller plus loin. Pas de scandale dans mon petit village, et puis il y a ma femme, tout de même ! Ici tout se sait si vite.
La tête dans l’eau je remarque néanmoins que ces petites bagarres dans l’eau ont provoqué tout de même un début de réaction. Leurs bites ne bandent pas, mais elles ne sont plus du tout molles comme au début... Je ne sais qu’en penser. Ne pouvant plus longtemps supporter ce supplice de Tantale, je sors, non par l échelle (trop voyant), mais par un rétablissement sur la margelle.
-Bon, les gars, je vous laisse, il faut que j’aille faire des courses pour ce soir. Profitez bien de la piscine, j’en ai au moins pour une heure, on est à la campagne ici et dans un coin paumé !
Je m’habille, les laisse barboter et récupère ma voiture garée dehors.
Une fois parti, je découvre que la petite superette à 4 km est fermée. La grande surface la plus proche est à 75 km... Trop loin. Bon, au retour je passe par le bar du village et commande trois diners pour le soir même. Désirant rentrer ma voiture pour la nuit, je pénètre cette fois-ci par l’autre côté de ma propriété (trois hectares). Je me suis absenté à peine un quart d’heure.
J’arrive donc par le côté opposé de l’entrée habituelle, mais vraiment sans arrière-pensée. Je les découvre, de loin, langoureusement enlacés au sol dans une des grandes serviettes de bain que j’avais mises à leur disposition, se dévorant de baisers tout en se caressant. J’avoue que ce spectacle m’échauffe au plus haut point !
L’air de rien et leur tournant le dos comme si je ne les avais pas vus, je me dirige vers le local technique en faisant du bruit. J’entends et comprends tout de suite leur réaction de surprise. Je me retourne pour les découvrir côte à côte, debout, l’air de rien, mais leur bite plus qu’en bataille. Je m’esclaffe :
- Et bien dites donc, ma piscine à l’air de vous faire un sacré effet !
L’air plus que désorientés, ils courent dans l’herbe vers le fil étendoir pour récupérer le ...

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