Aujourd'hui samedi, de repos, tranquillement en train de m'épiler entièrement, je décidais de m'occuper du bien être de mon corps et d'essayer quelques nouveaux maquillages,
Soudain mon portable sonna, la voix imposante de Martial retentit et je n'ai eu nul besoin de coller l'appareil aux oreilles, Martial est un antillais sportif, pas un gramme de trop, travaillant dans la région comme transporteur, je l'ai rencontré sur Paris, et il m'a tout de suite dressée aux plaisirs de la soumission dans les cinémas et les clubs pornos de la capitale,
Le hasard voulut que l'on se retrouve dans notre belle région du Nord,
Martial impatient et un peu pressant, m'ordonna de me rendre sans plus attendre au centre routier habituel où il devait stationner pour la nuit avant de repartir le lendemain matin,
- "Tu t'actives vite fait, petite salope, je veux que tu sois dans une tenue sexy exemplaire, et que tu sois très féminine comme la dernière fois, Grouilles-toi !"
Mon maquillage était déjà fait et soigné,
Je me préparais donc avec soins: bas résilles avec large dentelle auto-fixant, string transparent et dentelles rouges, talons hauts de 13 cm, et robe noire courte et moulante à franges, cheveux blonds mi-longs et boucles d'oreilles, un collier muni d'un anneau finissait ma préparation, En général, je m'habille chez moi car je trouve très excitant de me promener ainsi vêtue, Voilà comment me voulait Martial, "Sa petite chienne qui accoure quant il claque des mains",
J'arrive dans la zone indiquée par celui-ci que je peux considérer comme mon maître,
A ce moment là, la chaleur envahit mon corps, de nombreuses pulsions témoignent de mon émotion à la pensée de ce qui allait m'arriver, J'aime cette sensation,
Martial me rejoint en m'observant minutieusement, me caressa doucement, m'embrassa à pleine bouche insistant et me disant:
- "Je te possède, tu obéis, tu es soumise, et tu acceptes tout comme on faisait à Paris,"
Il m'attacha une laisse à l'anneau de mon collier et me tira vers l'arrière d'un des camions stationnés, Il me fit monter dans la remorque, Deux de ces collègues m'attendaient dans le fond,

Cette remorque était spacieuse, et donc conforme pour la scène qui allait ci-passer,
Mon étonnement fut autre lorsque j'aperçu au milieu, une palette montée sur des roulettes, les planches de chaque bord de cette palette était garnie de bracelets de cuir,

Tous trois commençèrent à m'entourer, me peloter, me caresser l'entre-jambes, s'attarder sur la dentelle du haut de mes bas, me passer plusieurs doigts dans la naissance de ce qui allait être leur conduit de jouissance, voire même essayer de trouver mon sexe et mes testicules minuscules,

- "Ah, tu es vraiment une petite salope, tu en profites bien de faire la petite femelle avec de minuscules attributs comme ça",
C'est vrai, la nature ne m'a pas gâté de ce côté là et Martial le savait, mais il se gardait bien de leur dire pour leur plus grande surprise,
L'un deux me chuchote à l'oreille en manipulant ma boucle d'oreille scintillante: - "Attends un peu, nous allons t'humilier et profiter de toi, tu vas t'occuper correctement de nous",
Mes inconnus étaient aussi typés des DOM TOM, ça ne me gênait pas du tout et cela augmentait mon excitation, Je voulais essayer tôt ou tard être baisée par des blacks,
L'un d'entre eux, un peu plus aventureux me saisit par les épaules et me forçat pour m'accroupir au milieu des trois lascars, tirant sur la laisse pour me dominer d'avantage,
Ils commençèrent à sortir leur bite à moitié bandée,
- "Aller petite pute, continue de mettre nos engins en forme et applique-toi",
Je me sentis vraiment soumise,
Je sentais chacune de leur bite grossir et se tendre dans ma bouche humide et chaude, à chaque mouvement de succion que je leur prodiguait, Lorsqu'une queue m'emplissait la bouche, les deux autres gigotaient aux niveau de mes mains et attendaient une masturbation lente, douce et experte en attendant leur tour dans ma bouche,
- "Tu aimes ça, hein salope" ?, intervint Martial,
Ne se satisfaisant pas de mon silence, l'autre, le plus nerveux répliqua en me mettant un coup de bite sur le nez comme un coup de fouet:
- "Tu réponds blondasse ou tu veux encore être fouettée, D'abord, tu nous regardes dans les yeux quand tu nous suce",
A ces mots si insistants, je m'exécutais, les regardant en continuant mes caresses et en r ...

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