Le lendemain matin, je m'étais levée de bonne heure afin de faire la cuisine pour nos parents, parce qu'ils nous ont appris qu'ils allaient rentrer ce midi afin qu'on puisse manger tous ensemble. Je m'étais habillée d'un legging et d'un simple t-shirt sans sous-vêtements. Parce que tant que les parents ne sont pas à la maison, je ne voyais pas de raisons d'en mettre. Je coupais les patates dans la cuisine, il me restait encore deux ou trois petites choses à faire pour le repas, et j'aurais fini. Je me mis à repenser à mon frère qui était en train de prendre sa douche. Je m'étais donnée à lui, je m'étais comportée comme une salope, mais aussi étrange que ça puisse paraitre, j'étais fière de nous. C'est lui qui m'a poussée à obéir à mes pulsions primaires, et j'avais l'impression de sourire aussi bêtement qu'une potiche de jeux télévisé quand je revoyais tout ce qu'on a fait. La prochaine fois, j'aimerais tant boire son sperme, je voudrais tant qu'il éjacule dans ma bouche gourmande. D'ailleurs, il fit son entrée dans la cuisine, simplement vêtu d'un caleçon et d'un t-shirt.

-Salut toi. Me fit il en m'embrassant tendrement, sa langue caressant longuement et amoureusement la mienne.
-Salut. Répondais je avec un sourire béat.
-Bien dormi, ma chérie ? Me demandait il en m'enlaçant tendrement après avoir posé son téléphone portable devant nous, sur le plan de travail.
-Oh oui, et toi ?
-Impec ! Tu fais la cuisine pour nous, ce midi ? Dis donc, on a de la chance, tu prépares quoi ?
-Ben je vais faire un petit rôti avec des pommes de terre pour tout le monde, mais rien que pour toi, je te promets un petit dessert très spécial.
-Génial, j'en salive déjà. Tu veux que je t'aide à quelque chose ? Me demandait il en me couvrant le cou de baisers.

Je n'eus pas la moindre seconde pour répondre, parce que son portable se mit tout à coup à sonner. Je regardais qui pouvait l'appeler, et je voyais qu'il s'agissait de Sophie, son épouse et future mère de son enfant. Je voulu lui tendre son téléphone, mais il le refusa.

-Oh, surtout, dis lui que je ne suis pas là, que j'ai oublié mon portable, mais que je rentre dans pas longtemps. Me murmurait il en souriant de façon perverse tout en passant ses mains sous mon t-shirt pour me caresser les seins du bout de ses doigts, pendant que ses baisers se faisaient plus discrêts, certes, mais toujours insistants.

J'aurais dû me douter d'un coup pareil. Quel beau salaud, il me caresse pendant que je suis au téléphone avec sa femme ! Je décrochais, pendant qu'il me pétrissait les seins et jouait doucement avec mes tétons, les pinçant, les griffant, ou carrément, les faisant rouler entre son pouce et son index. Je sentais une forte excitation me gagner peu à peu, et je commençais doucement à haleter.

-Allô, Soso, ça va ?
-Hein ? Cécile ? S'étonnait elle. C'est toi ? Je suis surprise, je ne m'attendais pas à ce que ce soit toi qui décroches.
-Oui, j'imagine, mais je suis navrée, si tu veux parler à Jeff, visiblement, il a oublié son portable, mais j'ai cru comprendre... Enfin d'après ce qu'il a dit, qu'il doit revenir assez rapidement. Y a un souci ? Le bébé arrive ?
-Non, non, rassure toi, tout baigne, le bébé va bien et devrait arriver dans un peu moins de quinze jours, me rassurait elle. Mais si mon cher et tendre n'est pas là, tu pourras lui demander de me rappeler dès qu'il rentre ? Faudrait que je lui parle d'un truc important..
-Ca... Ca va de soi, bien sur ! Lui dis je. Tu as besoin d'autre chose ?
-Ben si ça t'ennuie pas, j'aurais bien voulu bavarder trente secondes avec toi, ça fait longtemps qu'on a pas parlé ou passé un peu de temps ensemble, toutes les deux.
-Ben écoute, ça aurait été avec plaisir, mais je...

Je commenças à être sérieusement excitée par les caresses dont j'étais la cible, et le fait de devoir me contenir n'arrangeait rien. J'écartais les cuisses, et me cambrais, puis une des mains de Jeff quittait mes seins pour plonger sous mon legging, à la rencontre de ma chatte trempée. Je le regardais d'un air suppliant pour qu'il arrête ce qu'il était en train de faire, parce que sinon, Sophie va se douter de quelque chose, c'était sûr et certain. Et si elle découvre le pot aux roses, ce sera une catastrophe sans nom. Seulement, si je n'avais pas voulu qu'il me caresse, je ne me serais pas cambrée comme je viens de le faire. Non seulement, il n'arrêtait pas, mais en plus, il me caressait à la fois le clito et les seins. Il ne se contentait plus de m'embrasser, mais de me lécher le cou, le lobe de mes oreilles. J'eus toutes les peines du monde à étouffer un cri de surprise en sentant ses doigts sur mon clito tout dur.

-Cécile, qu'est ce qui se passe ? Est ce que tout va bien ? Me demanda t elle, apparement inquiète que je n'ai pas pu finir ma phrase.
-Ou... Oui, tout... Tout va bien ! Dis je en me raclant la gorge.
-T'es sûre ? Ta voix est devenue bizarre tout à coup.
-Je... Je t'assure que ça va, j'ai dû choper un coup de froid. Dis je rapidement en tentant de reprendre une voix normale.
-Bon, je suis rassurée, si tu me dis que tout va bien. M'informa t elle.
-Oui... Je... Je t'assure que t'as pas de mouron à te faire... Balbutiais je, la voix toujours tremblante.
-A moins que tu sois en train de...
-De... ? Demandais je haletante.

Mon dieu, qu'est ce que je vais faire ? Mon frère me caresse si bien que je suis en train de tremper ses doigts experts comme une vraie petite fontaine, et j'étais sur le point de perdre les pédales en ce moment même. Mes jambes flageollaient, le plaisir m'envahissait, je transpirais, haletais, je devais être écarlate, mais il fallait à tout prix que je reste maitresse de moi-même, ce qui se révèlait impossible. Je regardais Jeff les yeux humides, me laissant presque tomber sur les coudes sur le plan de travail de la cuisine, et je vis qu'il m'invitait à continuer ma conversation téléphonique d'un hochement de la tête tout en continuant ses caresses de manière soutenue. J'étais dans un état second, et je sentais que Jeff bandait comme un malade. Bon sang, si elle savait ce qui se passe...

-Tu sais, Cécile, je vais te faire une petite confidence, vu qu'on a l'habitude de tout se dire. En fait, une des spécialités de ton cher frère est de me peloter pendant que je suis au téléphone, que ce soit avec de la famille ou même des collègues de boulot. Et plus je tente de rester naturelle, plus je suis excitée, et les sensations sont décuplées, mais lorsque je sens que je viens, je pense que tu comprends que je dois raccrocher en quatrième vitesse. M'expliquait elle.
-Je t'assure... Hmmm... Soso... Hooo... Que... Que c'est pas... Ce que tu crois... Dis je la voix tremblante, ayant de plus en plus de mal à me retenir de lui gémir dans les oreilles.
-Ah bon ? Et qu'est ce que j'entends alors ? C'était quoi ces petits gémissements, hein ? Demanda t elle amusée. Tu sais ce que je crois ? C'est que t'as trouvé un bon coup au plumard, et qu'en ce moment même, il te fait exactement ce qu'aime faire Jeff. Alors, est ce que j'ai raison ou j'ai pas raison ?
-T'as vu juste, Sophie, p... Pardon.. Ca... Ca doit t'exciter de m'entendre ai ...

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