« Gloire au Glory-Hole !»

De temps en temps la météo n’est pas trop de la partie pour des plans « nature »…
c’est bien sûr le cas en hiver… Il m’arrive alors, seul ou accompagné d’un bon copain, de prendre la route pour tenter de trouver mon « bonheur » dans un club de la région…
Il en existe quelques uns, que je fréquente plus facilement sur Rennes ou Vannes, et dont vous trouverez facilement les coordonnées sur le site…

Ces endroits sont assez conviviaux, et présentent souvent des  spécialités ou programmes spéciaux de certains jours :
Réservé aux gays, ou bien couples acceptés, soirées travestis ou soirées « bulles »...etc...
La plupart sont équipés de cabines isolées, ou au contraire de salons « publics » ouverts à tous les excès et exhibitions devant tout le monde, de salons « BDSM » avec accessoires, les salons « Uro » de labyrinthes dans la pénombre ou encore des fameux « Glory Holes »...

Pour ma part, j’ai a peu près tout essayé, suivant l’humeur du jour…
Mais je dois quand même avouer une certaine préférence pour les « intimités » cachées des Labyrinthes et des Glory Holes »!
En effet, si j’apprécie de m’exhiber parfois totalement nu, offert en esclave, dans les salons publics, à 4 pattes sur un large et épais matelas, tête en arrière, bouche et cul offerts, prêt à tout « gang-bang ou bukkake », je reste quand même très excité par le côté « anonymat » de ces lieux le plus souvent dans la pénombre (ou parfois le noir total!)

Il existe aussi des lieux où l’on peut s’enfermer dans une cabine éclairée, où les cloisons sont percées d’ouvertures haute et basses, ce qui permet aux propriétaires des sexes qui se présentent de se faire pomper et de mater en simultané le pompeur qui lui ne les voit pas puisqu’ils sont dans l’obscurité…
Ces petits salons que j’occupe en priorité satisfont pleinement mon côté « exhibe »...

Un vrai délice que de croiser « incognito » la superbe verge d’un étranger, la suçoter, la lécher, s’en frapper les joues, la reprendre en bouche, téter le gland, puis la sentir gonfler, se raidir, et enfin la pomper généreusement à grands coups de tête jusqu’à ce que ma « récompense » débarque soudainement au fond de ma gorge !…Quel régal dont je me délecte toujours avec gourmandise… !

Combien de fois n’ai-je pas ainsi moi-même joui dans une bouche inconnue ?
Ou fait jouir de splendides queues de mâles qui me sont pourtant demeurés étrangers ?..
J’adore !
(même si parfois, certains m’ont suivi dans la pénom ...

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