. - L'homme en Jaune -

Après la visite délicieusement animé de mon appartement, mon après midi en salope allait continuer. Dès la sortie de la petite ville, je m’engage dans un petit sentier en voie sans issue, je vois au bout, ce qui semble être une autoroute, en fait l’A89. Je tourne et m’engouffre dans le sous bois, tout en longeant la voie rapide dissimulée derrière la végétation.
Je choisie de m’arrêter, la voiture à l’abri, mais sur une portion largement dégagée de toute verdure. Une aubaine pour l’exhib !!
le temps de me débarrasser de mon pantalon et mon tee-shirt, et me voilà en jupette, bas résille noir et bustier blanc. Cette fois, je prend le temps d’enfiler des escarpins, ma perruque blonde, mes mitaines résille, et des lunettes noire. Mon téléphone mis sur trépied, me voilà m’exhibant devant l’objectif, à la vue des automobilistes et des routiers, prenant des poses érotique, lascives, et surtout vulgaire aussi, tant sur le petit sentier à découvert, que contre le gros grillage qui borde les autoroutes.
Après une bonne vingtaines de minutes, et de nombreuses photos, je décide de déambuler sur le sentier, en toute liberté, m’éloignant ainsi, de manière déraisonnable de la voiture. Au moment de faire demi tour mon cœur s’est emballé, quand j’ai vu un fourgon des services d’autoroutes ralentir et s’arrêter près du grillage. Impossible de courir en escarpins, je me suis sentie piégée. Un homme bedonnant, en gilet jaune s’approche du grillage et m’interpelle :

« …Viens par ici, n’ai pas peur… ! » je n’ai pas le choix. La peur, la honte et l’excitation se mélange. Je m’approche :

« …WOUAH ! mais t’es une lopette, mignonne avec ça! quelqu’un a signalé un exhibitionniste, je suis là pour vérifier avant d’appeler les autorités, c’est dommage…je suis qu’on peut s’arranger si tu veux ?!... »

Seul un « d’accord !! » arrive à sortir de ma bouche. Il m’invite à le suivre plus loin, en longeant le grillage et se met à l’abri de toute visibilité de la route, derrière la végétation, baise son pantalon de travail et agite un sexe assez fin et long encore mou, et le passe a travers le large grillage :

« …Allez suce pédale, applique toi, tu dois te faire pardonner, c’est à moi que tu vas montrer ton cul… ! »

Me voilà accroupie, me faisant chatouiller le cul par les herbes hautes, avec une bite au goût musqué par une journée de travail et quelques gouttes de pisse oubliées, dans la bouche. L’homme passe sa main pour imprimer à ma tête le rythme qu’il désire. Il ne faut pas longtemps, pour que son chibre prenne sa longueur maximale d’excitation. Je me caresse en même temps et me régale de cette situation, et surtout de cette queue d’une bonne vingtaine de cm, qui me baise le fond de la gorge.

« …oui bébé, c’est bon ça, continue, tu pompe bien salope, mmmmh, t’es douée dis-moi ! ça t’excite de montrer ton cul à tout le monde hein ?? attends, je vais te faire voir comment je punis les vilaines comme toi… ! »

Il se retire de ma bouche, se retourne, se penche en avant en écartant ses grosses fesses qu’il appuie sur le grillage :

« …bouffe moi le cul bébé, j’adore ça, lèche bien, passe ta langue tout le long, je suis sûr que t’aime ça hein, petite pute … ! »

Ce salop a raison, j’adore ça bouffer les culs, même si le sien gardait des marques douteuses et naturelles. Je me délectais à titiller la rosette, en essayant de m’y enfouir au plus profond, en alternant un léchage méticuleux de cette splendide raie culière dans toute sa longueur.
Reprenant sa position de face, il me demande de me relever, et de me retourner en me rapprochant contre le grillage. Je me penche en avant, en ne pariant pas sur la tournure des évènements.
Il m’écarte les fesses, et je sent à mon tour sa langue m’exciter la rosette. Il s’arrête rapidement et m’envoie un gros crachat bien au centre, et se met à m’introduire un doigt sans ménagement, qu’il fait tournoyer et me faisant grimacer, puis un deuxième, m’arrachant un petit cri de douleur.

« …je vais te faire couiner bébé, je vais t’apprendre à faire la pute au bord de la route…passe tes mains par le grillage, ne bouge pas… ! »

A ...

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