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Dans les toilettes d’un centre commercial

Publié par : jeanalin le 16/05/2017

J’aime bien allez dans les toilettes des centres commerciaux modernes, elles sont en général très propres, grandes et tranquilles pour s’exhiber ou faire le voyeur en matant les pisseurs à côté de soi. Des fois ça marche, ils se prennent au jeu et ce peut être le début d’une relation mais souvent ce n‘est que fugace, quelques attouchements tout au plus. D’autres fois, par contre, cela peut tourner mal, on peut se faire injurier ou molester… Une fois un gars outré m’a giflé et voulait appeler la sécurité … qu’importe c’est le risque et c’est ce qui rend la situation excitante.
Cet après-midi-là, je suis en costume trois pièce bleu sombre et cravate. Le costume est bien ajusté et en laine soyeuse, assez chic car j’ai eu un rendez-vous le matin avec une cliente importante. Comme j’ai un peu grossi, la chemise, en coton satiné et le gilet me serrent un peu, le satin du gilet est bien tendu au dos et sur les côtés. En fait j’aime bien ça. Le pantalon aussi est serré et me moule le paquet d’autant que j’ai mis un string en soie qui le met en valeur. Je porte de souliers à talonnettes, un peu hauts qui claquent quand je marche… En gros je prends un peu un look et une démarche de tapette pour m’amuser, en tortillant du cul. J’ai envie de décompresser, envie juste faire une petite escapade pour me changer les idées et rien de mieux qu’une petite turlute sans conséquence pour cela ! Je me sens en chaleur, bien dans ma peu et rien qu’à cette idée je sens durcir ma bite en marchant.
Quand je rentre dans mes toilettes, à gauche il y a une rangée de cabines WC et à droite une rangée d’urinoirs. Il y a juste un gars qui est en train de pisser. Un black assez balaise, le crâne rasé. Il porte un jogging en nylon rouge, très léger, le pantalon lui rentre dans les fesses et dessine ces jambes musclées, c’est un bon signe. Je me mets à côté de lui, nonchalamment je déboutonne entièrement ma braguette, sors ma bite pour pisser et, en même temps, je sors et dégage bien mes couilles, c’est facile avec mon string. Je me tiens assez loin du mur pour lui faciliter la vision et qu’il puisse mieux me mater s’il en a envie. Et c’est le cas. Il me regarde ostensiblement, penchant même un peu la tête dans ma direction et pour mieux me montrer son intention, il fait comme moi et me montre ses couilles en baissant un plus son jogging et son caleçon. Je le mate à mon tour avec satisfaction. Il a une belle queue, quoiqu’assez banale pour un black (j’en ai vu de tellement grosses). Il est imberbe du pubis ou bien il s’est rasé. On devine son ventre musclé aux abdos bien dessinés. Il se caresse doucement les couilles en me regardant, il a une demie molle et je m‘excite à mon tour en commençant à me masturber devant lui. Je durci rapidement et je vois que lui aussi.
Comme il n’y a personne aux urinoirs et qu’il me plait, je suis en confianc. J’approche ma main vers sa queue pour la caresser. Une petit séance de touche pipi dans un premier temps me convient. On verra par la suite. Il se laisse faire un petit moment mais d’un coup, il remet tout son matériel dans le jogging me dit « Suis moi ». Il passe devant moi en me rendant une caresse appuyée sur la bite. Il rentre dans une des cabines de toilettes située de l’autre côté de la pièce. Il me fait un signe de la main, très clair et autoritaire, pour que je vienne le rejoindre. Je suis maintenant très excité, j’ai le cœur qui bat, je n’ose refuser. Sans même refermer ma braguette et rentrer ma bite bandée, je le rejoins dans la cabine. Il ferme la porte immédiatement derrière moi et met le verrou.
Il murmure à mon oreille : « On sera mieux ici, non ? » mais aussitôt il mets son doigt sur ma bouche car l’on entend quelqu’un entrer dans les toilettes. Le gars essaye d’ouvrir la porte sans succès aussi il rentre dans la cabine à côté. On l’entend immédiatement pisser, nous pouvons nous concentrer à nouveau à nos affaires.
Son pantalon de jogging en nylon me plait beaucoup et je me mets à lui caresser le sexe et les fesses à travers. J’adore ce genre de tissus lisse. Mais il est pressé et rapide semble-t-il. Sans préliminaires il baisse entièrement son jogging et me présente sa queue maintenant bien bandée. Dressée et conquérante, elle me semble plus grosse que tout l’heure. Sans hésitation, je la prends en main aussitôt, elle est chaude et douce, c’est très agréable, je me mets à la caresser instinctivement, je la prends dans ma main droite et commence à faire des mouvements de va et vient le long de sa tige pour le branler. Avec mon autre main je lui caresse les fesses qu’il a fermes et dodues, et bien douces…
Nous n’échangeons pas un mot, il y a des hommes qui entrent et sortent dans la pièces des urinoirs. Des bruits d’eau, de pas, régulièrement quelqu’un essaye de rentrer. On ne doit pas nous entendre
Au bout de quelques temps de caresses réciproques (j’ai toujours ma braguette ouverte et la bite à l’air et il s’en occupe fermement) il se penche vers moi et me dit à l’oreille d’une voix très basse : «Suce moi». Je prends cela comme un ordre bien que dit doucement et sans autorité mais j’ai décidé d’être sous sa domination, de faire tout ce qu’il va me demander et pour bien le lui faire comprendre je m’accroupi aussi sec pour être à la hauteur de sa queue et pouvoir la prendre dans la bouche. Il a bon gout. Je passe ma langue autour de son gland, sur sa tige et je pompe autant que je peux, je lèche et je gobe ses couilles . Il fait chaud je me relève deux secondes pour enlever ma veste, il me la prend et la suspend à la patère de la porte en face de lui. Je reprends ma pipe et le suce de plus belle. Je commence à le branler plus fermement. Je sens qu’il réagit bien et a de petits gémissements. J’ai peur que l’on ne nous entende… je lui met un doigt sur la bouche pour lui signifier « chut » , il en profite pour le lécher. Je reprends ma tâche, il est bien dur et je le pompe vigoureusement. Il est plaqué contre le mur des toilettes et donne des coups de reins dans ma direction pour mieux pénétrer ma bouche. Il est en train de vraiment s’exciter tant et si bien qu’il finit par sortir et me donne un coup de bite en pleine figure sans le faire exprès. Nous sommes en train de faire trop de bruit. Il ne s’excuse pas mais me relève et me chuchote : « je vais te baiser le cul ». J’hoche la tête pour lui signifier mon accord, et lui murmure : « vas-y ». Docile et soumis je lui signifie que c’est à lui de prendre la direction des opérations.
Il défait ma ceinture et dégrafe mon pantalon qui tombe sur mes chevilles. Je lui roule une pelle, il se laisse faire. Il a de belles lèvres charnues que je prends plaisir à baiser et une langue étroite et dure qu’il s’amuse à faire rentrer et sortir rapidement dans ma bouche, comme le ferait un serpent, c’est inattendu et troublant. Je suis bien bandé moi aussi, malgré la chaleur qui me mets un peu mal à l’aise mais lorsque je fais mine de dénouer ma cravate et déboutonner ma chemise, il me fait non de la main : « J’ai envie de te baiser habillé comme tu es.» .
Il n’a pas de préservatif mais je ne veux pas me faire enculer sans. J’en cherche un dans la poche de ma veste, j’en ai toujours sur moi au cas où. Je le trouve, l’ouvre et le lui enfile prestement. Un joli bâton rose de latex luisant et glissant que je vais prendre dans le cul !
L’espace est petit. Nous inversons nos positions et je me retrouve accroupi sur la cuvette des WC pendant qu’il prend position derrière moi. Je n’ai pas de lubrifiant, il mouille ses doigts de salive et me met un doigt, puis deux dans le cul pour l’ouvrir. Il s’y prend très bien, on voit qu’il a l’habitude. Je suis très serré dans mon gilet avec ma cravate mais je ne dis rien, je n’ose pas le contredire. Je sais que ça lui fait plaisir. L’image d’un col blanc qu’on encule et qui pourrait être son patron. Moi, c’est mon côté maso qui prévaut, j’aime être contraint et si ce n’était la chaleur, c’est très agréable et à mon gout. Je fantasme toujours sur le fait de me faire enculer en gilet de costume comme aujourd’hui et ce n’est pas si souvent que cela arrive, je ne vais pas bouder mon plaisir.
Jugeant que la préparation a été suffisante, il introduit son gland dans mon trou du cul et pousse doucement pour le faire entrer. En fait elle n’est pas si petite que ça cette queue ! et j’ai un peu mal au début mais rapidement, au fur et à mesure de la progression, c’est mieux et je me remet à prendre du plaisir d’autant qu’avec une de ses mains il me serre les couilles et tire sur ma tige tandis qu’avec l’autre il m’appui sur le dos pour mieux me faire cambrer et me pénétrer plus profond. Il me caresse sur le dos de sa main qui glisse sur le satin de mon gilet, c’est à la fois très doux et très dominateur. On peut dire que je suis pris en main ! Ca y est, je sens ses couilles qui heurtent mon cul, il m’a complètement pénétré et maintenant me ramone lentement en continuant de serrer fortement ma bite et mes couilles. Ses mouvements sont réguliers, précis, puissants, il me défonce vigoureusement mais avec beaucoup de tact. Je sens bien sa queue en moi. Il profite pleinement de cet instant et le fait durer le plus longtemps possible. Il me défonce sans la moindre pose mais sans le moindre à-coup non plus.
Je suis trempé de sueur et extrêmement excité, au bout de plusieurs longues minutes, je ne mesure plus ...

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