22H09 J’envoyais un petit mot à Phil…Juste un Bonsoir, c’est Cédric. Au cas où ils ne soient pas prêts à recevoir le message.
Quelques minutes plus tard, mon téléphone retentit et je recevais leur réponse : Bonsoir, on peut discuter librement ? Ce à quoi je leur répondis : Oui, pas de souci.
Eux : Ton offre d’un moment tranquille a ton bungalow tient toujours ?
Moi : Oui oui, je suis toujours OK si vous l’êtes aussi…
Eux : Parfait, on va aller à la plage plus tôt, vers 14h00 et laisser nos loulous côté textile. Faire semblant d’aller à la plage natu mais revenir au camping. On devrait être de retour pour 14h30. Ca te va ?
Moi : C’est parfait, demain c’est vendredi, dernier jour de plage, je vais faire pareil avec mes ados en précisant qu’il faut en profiter car c’est la dernière aprem plage. Je serai de retour pour 14h30 aussi. Le premier de retour au camping contacte l’autre…
Nous nous quittons en nous souhaitant bonne soirée.
Le lendemain, on applique notre plan comme prévu. Je reçois leur message à 14h29 : on est rentré, on t’attend. J’étais encore sur le chemin. Je leur répondis quelques minutes plus tard, une fois arrivé : je suis au 129, je vous attends.
Je les vois arrivé, je les fais entrer et je referme porte et rideau de porte derrière eux. Une chance pour nous, mon bungalow est climatisé, cela nous permet de garder portes et fenêtres fermées pour la discrétion.
Je leur propose un verre à boire et de s’installer sur la banquette. Il est encore tôt, une boisson fraiche s’impose plus qu’un verre d’alcool. Je les sens légèrement tendu et leur propose de se mettre nu comme à la plage…Isolé au calme dans le bungalow, ces derniers sont curieux de ma peau lisse et je leur explique mon besoin d’épilation car je n’aime pas trop mon « côté velu ».
Je leur explique avoir galérer pour en arriver là et trouver du personnel qui veuille s’occuper d’un homme « en entier » mais surtout de trouver un salon qui faisait l’épilation du maillot pour homme.
Grâce à ma femme, j’avais à côté de chez moi dans notre ville, un salon qui me faisait l’épilation du corps et je profitais de mon passage à Toulouse pour faire faire le maillot. Un jour, au hasard d’une épilation du corps juste après une épil du maillot, je demandais à mon esthéticienne de bien vouloir descendre sur le haut de la zone pubienne pour faire le raccord et éviter d’avoir une ligne de poil entre bas du ventre et maillot. Après discussion tous les 2, voyant qu’il n’y avait aucune ambiguïté sur ma présence à l’institut et connaissant ma femme, elle accepta de ma faire le maillot. Ce qui me simplifia considérablement les choses.
Debout face à eux, leur tendant leur verre à boire, ils avaient une vue parfaite sur mon maillot lisse…surtout que j’avais pris soin de me faire épiler juste avant de venir….
Phil proposa à Isa de me toucher mais cette dernière n’était pas à l’aise…je lui fis comprendre que ce n’était pas grave….Je ne voulais surtout pas lui mettre la pression et qu’il n’y avait rien d’obliger.
Je leur proposais de rentrer dans le vif du sujet et souhaitais savoir de quoi ils avaient envie. Isa repris la main et m’indiqua leurs envies. Phil avait envie de gouter à nouveau au plaisir de la sodomie…Sodomie que je lui prodiguerais devant Isa qui voulait juste regarder.
Je m’absentais quelques instants et revenais avec des capotes et du Poppers. Isa resta intrigué face à la fiole de Poppers. Je lui expliquais comment son usage pouvait être un plus…Elle sembla curieuse d’essayer mais avait peur des effets. Je repartais et revenais avec une seconde fiole destinée à ma femme quand on joue tous les 2. Une formule moins forte et plus adapté à une novice. Je lui demandais de me faire confiance, qu’il n’y avait pas de risque et que son mari était juste à côté et qu’elle n’avait rien à craindre….
Elle se laissa tenter. Je m’installais à ses côtés, lui présentait la fiole sous le nez et lui faisait inhaler « ce nectar de jouissance » comme le prénomme ma femme. Elle prit son temps, inspira doucement, bloqua sa respiration une fraction de seconde (comme je lui avais expliquais) et souffla dans un mouvement de détente qui me fit comprendre que cela lui avait fait de l’effet.
Arborant un sourire d’extase, elle s’approcha et me roula une pelle qui eut pour effet de me faire bander. Phil décida d’y gouter à nouveau mais dans ma fiole à moi connaissant déjà le produit et ces vertus. Après un bon snif et un soupir, lui aussi s’approcha et m’embrassant à pleine bouche.
Désinhibé, Phil me demanda si la capote était obligatoire. Etant un couple sérieux et moi, juste un Bi qui a eut que peu d’histoire dont la plupart avec capote, je leur dis qu’on pouvait s’en passer s’ils le souhaitaient. Ce moment et ce tracas passé, je sentais Phil beaucoup plus serein.
C’est lui qui proposa de passer dans la chambre. Il s’installa sur le bord du lit, assis à côté d’Isa. A mon passage, il m’attrapa par la hanche et mis directement ma bite dans sa bouche. Il s’appliquait à me pomper pour la faire grossir. En tournant la tête, je vis Isa prendre un nouveau snif de Poppers, se lever, me caresser les couilles tout en poussant sur la tête de Phil pour me sucer plus profond.
Les yeux planant à cause du Poppers, elle m’indiqua ce qu’elle, ce qu’ils voulaient : Une fois qu’il t’aura fait bien bander, tu va le mettre à 4 pattes et le sodomisait devant moi.
Elle ajouta : ne t’en fais pas, il s’est fait un lavement et s’est déjà un peu lubrifié l’anus en se mettant des doigts avec mon lubrifiant intime. Une fois en position, laisse-le sniffer du poppers puisqu’il a l’air d’aimer ça et prend le…
Tout en continuant de sa fellation, je m’approchais d’Isa pour tenter de l’embrasser...elle accepta en se rapprochant de moi elle aussi. Puis elle me repoussa délicatement et dis à Phil : il est temps, vas-y mets-toi à 4 pattes…Et il s’exécuta aussitôt en attrapant le Poppers au passage.
Je présentais ma queue devant sa rondelle tout luisante de lubrifiant. Je l’entendis prendre son snif et j’en profitais pour pousser sur son anus tout en douceur et en délicatesse. Je prenais mon temps et m’insinuait en lui vraiment tout doucement. La situation très très excitante me faisait bien bander…donc pour le moment, je n’avais pas à me presser pour m’enfoncer et le dilater. Isa ne perdait rien de ce qui se passait et regardait avec une grande curiosité ma bite rentrait dans le cul de son mari. Je continuais à m’insinuer tout en effectuant de petit mouvement de retour par moment…Histoire de le préparer au va et vient.
Je le sentis se tendre un peu et le trouver assez serré. Je demandais à Isa d’ouvrir la table de nuit et elle me tendit mon lubrifiant qui nous sert à ma femme et moi. Je ressortais doucement ma queue et lui lubrifier la rondelle et ma queue avec mon lubrifiant qui glissait mieux que le sien. Je repris la sodomie en douceur et autant lui que moi, on sentit la différence de glissement. Il reprit un snif et j’en profitais pour bien m’enfoncer en lui pendant qu’il se détendait sous l’effet du poppers.
J’avais quasiment enfoncé toute ma queue et j’entrepris à ce moment-là, un va et vient doux et ample. Le lubrifiant avait fait son office, ça glissait et j’étais plus à l’aise dans son cul. J’accélérai le rythme devant Isa qui repris elle aussi un snif et se place devant la tête de Phil pour se faire lécher. Je me sentais bien et attrapa Phil un peu plus fermement par les hanches. L’excitation de la vision de la sodomie associé à ce petit cunni, Isa, ne tarda pas à gémir. Je continuais mes va et vient, ce qui fait qu’à chaque coup de butoirs, la langue de Phil venait taper la chatte d’Isa qui avait l’air d’apprécier ce cunni sous cette forme.
Quelques minutes plus tard, on entendit Isa rendre son pied et se tordre de plaisir. Après un moment de plénitude sans bouger, elle se leva, s’approcha de moi, m’embrassa à nouveau avec envie et excitation. Elle me demanda de jouir et de remplir son mari….
Je lui expliquais alors que si certains jouissent assez vite, débande et rebande assez vite, ce n’était pas mon cas…En ce qui me concerne, je lui indiquais que j’étais plus long à venir mais qu’une fois que j’aurais joui, il me faudra un peu de temps avec de bander à nouveau.
A peine avais-je fini ma phrase que Phil intervenait : « Non, non, ne jouis pas encore, je sens que je vais jouir… ». Se rattachant à d’anciens souvenirs de sa vie Bi, il sentait que ma bite tapait assez bien là où il fallait pour stimuler sa prostate. Isa semblait interrogative des s ...

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