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craquage inattendu...mais irréversible

Publié par : awop2p le 17/08/2021

Ce jeudi je montais les escaliers, pour retrouver Laurene dans mon appartement un dernier étage au milieu des poutres. Nous vivions ensemble avec ses enfants mais dans sa maison et petit à petit mon loft était devenu notre cocon, ou, loin du quotidien, la mère de famille s’effaçait, chaque fois un peu plus, derrière la femme délurée qui sommeillait en elle depuis trop longtemps. Laurene, 38 ans, grande, blonde, cheveux mi long, musclée, même athlétique des seins lourds et un fessier difficile à ignorer. Très classe à la ville et initialement sobre dans l’intimité elle avait ajouté ce majestueux postérieur comme dernier point de passage impératif à tous nos rapports. Ajoutez à cela sa maladresse « accidentelle » qui transformait toute pipe en faciale fièrement et longuement arborée et vous obtenez ce que l’on appelle ici…une fille bien !
J’étais donc excité mais pas tu tout préparer à ce qui allait suivre. En effet en ouvrant la porte j’entendis une autre voix que je reconnu instantanément, celle de Karine une ex avec qui j’avais vécu une passion courte mais intense quelques années auparavant. Plus petite que Laurene et de 7 ans plus jeune ses muscles dessinaient tout autant ses courbes et sa coupe courte soulignait un port de tête royal. C’était une passionnée, excessive qui m’avait promu « homme de sa vie » mais le besoin d’absolu qui l’habitait était certes grisant mais difficile à vivre. J’avais ainsi fini par la quitter mais sa manière de prendre des attitudes obscènes et humiliante pour elle dans des gestes empreints d’amours me fascinait encore.
Elles parlaient de Salsa, car elles s’étaient aperçu lors des cours de danse ou je les avais rencontrées, Laurene comme souvent avait déjà une peu trop bu elle avait simplement une jupe et un tee-shirt mais la sachant sans culotte j’étais troublé de la voir discuter naturellement avec Karine. D’autant que cette dernière arborait un short jean court, un débardeur jaune assez moulant pour souligner son corps mais juste assez lâche pour plaider l’innocence…typiquement Karine !
Bien qu’émoustillé je ne comprenais pas ce que Karine faisait là et je voyais bien que Laurene ignorait encore le lien qui nous avait uni. Sans surprise, ces quelques minutes de grâce prirent fin brutalement quand Laurene réalisa, et entre sa force sa jalousie et l’alcool j’ai eu vraiment peur que cela ne dégénère. Mais même si c’est devenu franchement inamical, à la limite des insultes, Karine à mon grand soulagement a ramassé son sac et s’est rapproché de la porte ajoutant dans le mouvement « je comprends que Richard t’ait choisi tu es une femme somptueuse ». Ce fut le déclencheur, j’entendit fuser « ça ne sert à rien de me lécher le cul je ne veux pas te revoir ici ! ». Karine s’arrêta net, resta immobile un instant qui me parut une éternité, se retourna lentement, regarda Laurene dans les yeux et dit très calmement « S’il faut ça pour que je passe du temps avec Richard alors soit » et ce faisant s’agenouilla tout aussi calmement pour que son visage se trouve à hauteur des hanches de Laurene si près que son souffle faisait onduler la jupe de Laurene.
Cette provocation ne m’étonnait pas vraiment de la part de Karine, elle était dans son registre, femme amoureuse prête à tout par amour, mais je craignais la réaction le Laurene. Mais à mon grand étonnement elle ne réagit pas, elle resta inerte, prostrée la bouche légèrement ouverte le souffle court, incapable du moindre mouvement.
Je ne compris que plus tard que cette occasion offerte d’humilier sexuellement Karine l’avait mise dans un état de désir et d’excitation pure qu’elle n’avait jamais connu, sa gorge s’était serrée elle ne pouvait plus déglutir elle avait oublié l’impudeur de la situation et tout ce qui était autour, moi y compris ! Elle ne souhaitait plus qu’une chose tendre le bras, attraper la tête de Karine et la forcer à venir éteindre le feu que cette garce venait de fait naitre dans son ventre. Mais ce nouveau désir était trop soudain trop immoral et surtout trop violent pour être écouter. Inconsciemment, elle percevait sans doute également qu’y céder serai sans retour, juste un premier pas vers une dépendance qui l’obligerai, elle la femme de vertu toujours exemplaire à se compromettre pour assouvir sa soif de vice et de domination. Le désir s’équilibrant ainsi parfaitement avec la peur et la morale, elle ne pouvait donc ni mettre un terme à cette tentation ni y succomber.
Je ne sais pas combien de temps elles restèrent ainsi, Laurene tremblait, Karine malgré sa détermination affichée tremblait aussi, plus légèrement, ces lèvres était à quelques centimètres de l’intimité de Laurene c’était tout à la fois excitant et inquiétant, de toute façon je ne me voyais pas intervenir j’avais la nette impression de ne pas faire partie de la scène.
L’inaction de Laurene ne fit que retarder Karine, avec un air de « je n’aime pas mais c’est nécessaire » elle posa ses mains sur les hanches de Laurene, l’incita à se retourner et s’incliner jusqu’à ce qu’elle puisse prendre appui sur la table, retourna sa Jupe avec maitrise et application, fixa quelques instants ce fessier rebondit et blanc qui lui faisait face avant de plonger son regarde bleu dans le mien. Et, abasourdi, je vis son nez, ses lèvres puis sa moue rebelle s’enficher dans la croupe de Laurene. Les bruits et le mouvement de sa nuque ne laissaient pas de place au doute, elle léchait l’anus de Laurene.
Après quelques langoureux coup de langue Karine, dont les genoux souffraient sans doute, sans arrêter sa tâche, se mis accroupis les jambes abusivement écartées, je vis ainsi une tâche sombre se former instantanément au centre de short. Elle mouillait, le mot est faible elle ruisselait et l’ouverture de ses cuisses avait plaqué son sexe sur la toile de jean qui bien qu’épaisse peinait absorber ce flux. Ce mouvement mis fin au combat intérieur de Laurene, son vice instinctif et refoulé envahi son cerveau pour, j’en ai peur, ne plus jamais le quitter. Elle déploya son bras puissant, sa main enveloppa la tête de Karine et l’écrasa sans merci sur son sillon tout en imprimant des mouvements désordonnés à la tête de cette dernière, elle se torchait littéralement avec le délicat visage de Karine.
Le côté « sexe » de la scène était phénoménalement excitant mais avoir assisté à la victoire soudaine et totale de l’instinct animal de Laurene sur presque 40 ans de conditionnement moral était simplement divin. Karine elle avait déjà pris ce chemin depuis longtemps, et ce n’était pour elle qu’une étape de plus. Bien qu’au paroxysme de l’excitation, comme devant mon premier porno à 18 ans dans une glauque salle de cinéma, je restai passif car je sentais que c’était leur trip. J’étais au mieux un accessoire et probablement un simple alibi…mais je n’allais pas le regretter.
Sans doute trop excitée Laurene fini par attraper le haut du débardeur de Karine, extraire cette dernière de son fessier avant d’ouvrir le clic clac et de jeter sa proie sans ménagement sur le canapé. Karine ainsi obscènement allongée regardait Laurene fixement dans les yeux. Un regard qui disait clairement que cette soumission n’était qu’apparente, qu’elle avait mené sur son terrain et que même le visage souillé par son immersion dans l’anus de Laurene c’est elle qui menait le Jeu. Effectivement Laurene ne soutint pas le regard, mais elle n’eut pas à le faire longtemps, elle s’agenouilla de part et d’autre ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Bisexuel, Sodomie, Première fois, Soumission/domination, A plusieurs