Ça fait maintenant 5 jours que je me retrouve isolé dans mon appartement. Dehors, quelques passants de temps en temps, une ou deux voitures. Bref un calme inhabituel et surtout un sentiment de stress dès que j’allume la télé avec ces chaînes d’infos qui ne font rien pour rassurer la population.
L’annonce du président est tombée quand ma femme était en vacances chez sa mère avec les enfants. Du coup elle a préféré rester là bas et je me retrouve tout seul. Heureusement j’ai quelques réserves, des conserves et le congélateur bien rempli.
Après 5 jours d’abstinence, je craque et m’accorde une cigarette que je vais griller sur le balcon. Ça fait du bien. Je m’apprête à rentrer quand j’entends la porte du balcon d’à côté s’ouvrir. Mon voisin, une sorte de colosse, montre le bout de son nez un arrosoir à la main.
J’ai du le croiser à peine une fois ou deux depuis 5 ans que j’habite ici. Je crois qu’il vit seul.
Je m’adresse à lui. Bonjour ! Ça fait du bien de voir quelqu’un par cette belle journée de soleil. Vous allez bien ?
Bonjour. Ben oui, je vais parfaitement bien. Vous aussi on dirait. Vous vous faites bronzer ?
En fait, tellement habitué à rester en slip seul dans l’appart. J’ai gardé cette même tenue sur le balcon.
Excusez-moi. Je ne pensais pas croiser quelqu’un.
Mais ça ne me dérange pas du tout. Au contraire, j’apprécie de voire de belles jambes.
Je rêve ou bien il vient de me complimenter...
Vous avez assez de ravitaillement me demande t-il ?
Oui, mais pas très varié. Et vous, ça va ?
J’ai tout ce qu’il faut pour tenir au moins un mois sans sortir. D’ailleurs j’hésitais à m’ouvrir une boîte de confits de canard. C’est pour 4 et comme je suis seul. Vous voulez venir partager mon repas avec votre dame ? Je serais content d’avoir de la compagnie.
Bonne idée, par contre je viendrais tout seul. Ma femme est chez sa mère. Et elle va y être tant qu’on ne peut pas sortir.
Ah ben c’est bien embêtant ça mon pauvre. Allez, venez donc. On va consoler comme on peut.
D’accord, j’enfile un pantalon et j’arrive.
Je prépare l’apéro en attendant.
Je sonne à la porte de mon voisin, qui m’ouvre aussitôt.
Entrez, bienvenue dans ma modeste demeure. Moi c’est Paul, et vous ?
Marc.
On peut se tutoyer ?
Bien sûr.
Quelle histoire tout ça quand même. Assieds-toi donc. Je t’ai servi un whisky.
Parfait, merci Paul. Toi aussi tu es tout seul ?
Et oui. Ma femme est morte il y a trois ans. D’une longue maladie comme on dit.
Désolé, je savais pas.
Pas de souci. Je me suis fait une raison même si elle me manque beaucoup. On s’est marié à 20 ans et on a vécu 40 années de bonheur. On en a fait des parties de jambes en l’air. C’était une sacrée coquine ma Brigitte. Elle aimait ça.
J’étais un peu gêné que Paul me parle de ses souvenirs là et je me contentais de vider mon verre.
T’as déjà fini. On s’en ressert un autre. Allez on trinque.
A ce rhyme on va vite finir par terre dis-je.
Tu tiens pas l’alcool ? C’est vrai que t’es plutôt gringalet. D’ailleurs tu as presque la même taille que ma femme.
Tu sais quoi, j’ai gardé ses vêtements. Viens voir dans la chambre.
Je le suis dans le couloir. Arrivés dans la chambre il ouvre un placard duquel il sort une robe noire.
Ça c’était sa robe la plus sexy, elle mettait ses bas et porte jarretelles. Je bandais rien qu’en la voyant.
Tu sais ce qui me ferait plaisir ? C’est que tu la mettes. Je suis sûr que ça t’irait à toi. Tu veux dit ?
La situation devenait gênante. Je ne voulais pas lui dire que m’habiller en femme faisait partie d’un de mes fantasmes.
Vraiment ? Tu veux que je mettes ces vêtements ?
Oui, s’il te plaît. Ça me ferait tellement plaisir. Et avec les dessous aussi.
Je te laisse faire. Je vais t’attendre dans le salon. Je vais me reprendre un pur malt.
Bon, finalement. Comme c’est pour lui faire plaisir... en cherchant dans les tiroirs j’ai trouvé un string noir avec porte jarretelle assorti, les bas, le soutien gorges. Avec un peu de mal, faute d’habitude, j’ai enfilé tout ça en terminant par la robe sexy. En me regardant dans le miroir, j’ai eu du mal à me reconnaître. Je me sentais femme. Dernier détail, j’ai mis mes chaussettes en boules pour remplir le soutif.
Je suis alors parti rejoindre Paul qui en me voyant n’en croyait pas ses yeux.
Ah putain, ça te va trop bien. Je t’assure on dirait vraiment Brigitte.
Approche que je te mate avec les mains.
T’as mis les dessous aussi ? Tournes toi et lève ta robe pour que je vois tes fesses.
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