Me voilà partie pour la cabane abandonnée…
en blonde platine, vêtue d’un bustier blanc, d’une mini jupe à ras les fesses, un string à frou-frou, une paire de bas blancs, talons hauts et lunettes de soleil. J’étais toute excitée de conduire ainsi accoutrée durant une vingtaine de kilomètres.
Une fois arrivée sur mon lieu de drague habituel, l’excitation est montée d’un cran, quand j’ai vu qu’il y avait deux véhicules déjà garés. C’est là que je me suis rendue compte que je m’étais mise en mode salope, en me garant volontairement bien plus loin, afin de pouvoir déambuler le long de la petite route qui mène à la cabane. Plusieurs véhicules sont passés et comme prévue, j’ai eu droit aux coups de klaxon…
Une fois dans les bois, un homme se tenait debout, et se faisait pomper un magnifique dard bien tendu, en tenant la tête d’un vieux pervers que je connais bien, adorable de surcroit. Une fois l’effet de surprise de l’homme passé, j’ai été invité à me rapprocher, pour me faire malaxer et doigter le cul, par le chanceux qui ne s’attendait pas à avoir deux salopes pour lui seul.
Mon papy pervers en a profiter pour me caresser la bite à travers le string, avant de me la libérer pour la sucer en alternance avec l’autre.
Quelques instants après, Le vieux cochon m’a regardé, les deux bites en main, il m’a fais un sourire et un clin d’œil, et ma demandé de venir profiter de ce bel engin avec lui, avec une idée en tête, quand il m’a dis « on partage ? ».
L’inconnu a retiré ces deux doigts de mon cul, et m’a encouragé en m’appuyant sur les épaules à rejoindre mon papy.
A genoux toute les deux, nous nous sommes embrassé langoureusement et avons commencé à mélanger nos langues autour du gland, on alternait à tour de rôle entre les couilles et cette longue queue. L’inconnu n’en attendait pas tant, on le sentait aux anges, il laissait échapper des râles de plaisir, par moments, nous nous mettions face à face avec mon partenaire, l’inconnu nous maintenait la tête, et prenait un malin plaisir à faire coulisser sa bite entre nos lèvres. Chacun notre tour, l’inconnu nous baisait la bouche et on pompait ce dard avec délice, en l’embouchant au plus profond.
Bien dix minutes après, mon compagnon de suce, m’a demandé de lui garder le jus bien au chaud, il s’est glissé derrière le gars, toujours à genoux, lui a écarté l ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite