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Cela peut arriver

Publié par : cock66 le 12/09/2023

J’ai senti une présence près de moi et j’ai ouvert les yeux. Le serveur venait de déposer un verre plein sur ma table.
Moi: pardon, mais il doit y avoir une erreur, je n’ai pas commandé cela.
Lui: cela vous est offert par ce monsieur, assis là-bas.
Il me désigna un homme jeune assis à quelques tables de la mienne.
Soudain je regardais autour de moi. Ça y est j’y suis pensais-je.
J’étais assis dans cette taverne lieu de rencontres des gays et bisexuels de la ville.
C’est ainsi que je venais de taper dans l’œil d’un mec que je pris le temps d’observer.
Petite trentaine, mince, des lunettes de geek, assez bien sapé.
J’ai attrapé mon verre et laissé ma bière sur la table. Je me suis dirigé vers mon obligé.
Moi: la place est libre?
Lui: je vous attendais, asseyez-vous.
Merci pour le verre lui ai-je dis en posant mon cul sur une des chaises.
Lui: de rien. Il m’a semblé que vous en aviez besoin, je veux dire de quelque chose de plus fort que votre bière.
Moi: merci, c’est très, gentil à vous.
Lui: je m’appelle Stéphane, trente-deux ans et gay!
Moi: Alex, pour Alexandre, vingt-neuf ans et bisexuel qui penche plus vers le côté masculin que féminin, disons 80% gay.
Lui: ça me va Alex. Tu me plais et j’aimerais beaucoup baiser avec toi.
Moi: là, tout de suite?
Lui: si tu n’a rien de mieux à faire, oui!
Moi: laisses moi finir mon verre et on y va!

J’imaginais l’américaine me demandant le lendemain, où diable étiez-vous passer?
Et moi de lui répondre: j’ai juste passé l’après-midi à baiser avec un homme charmant et qui m’avait offert un verre.

Pour l’instant nous n’étions pas au lendemain et j’espérais passer un super moment avec Stéphane.
Il habitait tout près. Une fois chez-lui, il m’offrît un autre verre. Nous avons trinqué à l’amour entre hommes.
Lui: Alex, j’espère te faire dépasser la barre des 90%.
Moi: avec plaisir.
Après avoir vidé nos verres il était temps de nous vider les couilles.
Il me prit par la main et m’entraîna dans sa chambre.
Putain, le lit assez large pour au moins huit personnes.
Moi: impressionnant ton lit! Tu ne t’y perd jamais?
Lui: t’inquiètes, je ne fais pas qu’y dormir.
Moi: ah bon et qu’y fais-tu d’autre?
Lui: approches, je vais te montrer.
Il m’a attrapé par la taille s’est collé à moi un m’a roulé une putain de galoche de première. Sa langue s’est faite un chemin au travers de mes lèvres pour y trouver ma langue. J’en avais le souffle coupé tellement tout cela était arrivé soudainement. No lèvres écartées, nos langues s’entrechoquant, je prenais sa lèvre inférieure dans ma bouche et l’aspirais avec passion.
Pas la peine de vous dire l’effet que cela avait sur nos entres-jambes. Il avait enroulé un de ses bras autour de ma taille et me serrait contre lui. De mon côté, je lui avais mis une main au paquet. Oh putain, l’engin! Énorme. Mon cul en palpitait d’avance. Nos bouches s’étaient séparées, un bras toujours autour de ma taille, sa main libre de tous mouvements me massaient les fesses avec puissance.
Je voulais libérer ce braquemart qui ne demandais qu’à prendre son envol. Côté érection, je n’étais pas en reste. Soudain il s’est arrêté, m’a regardé dans les yeux et m’a dit: je suis versatile. Je donne, je prends.
Moi: bon à savoir, j’ai été longtemps passif mais depuis quelques temps j’ai découvert que j’aimais aussi le côté actif.
Stéphane: donc tout est parfait.
Moi: ouais, il semblerait que oui soyons compatibles.
J’essayais de déboutonner sa braguette, mais il continuait sa pression.
Stéphane: j’en peu plus, j’en ai mal de bander, il me faudrait une bouche accueillante si tu vois ce que je veux dire.
Moi: à vos ordres messire. Foutez-vous à poil et plus vite que çà!
On a pas perdu de temps pour nous débarrasser de nos fringues.
Nous nous faisions face, chacun avec son chibre près à faire feu. Chacun observait le sexe de l’autre. Stéphane avait un très beau sexe magnifiquement dessiné, 18 ou 19 centimètres, belle circonférence. Je n’étais pas en reste.
Le mien épais plus épais et un peu plus court, 17 centimètres. Nous nous sommes rapprochés et collés nos sexes l’un à côté de l’autre.
Stéphane: une dernière chose que tu dois savoir, je suis sous PrEP.
Moi: de même
Je l’ai gentil poussé sur le bord du lit, me suis agenouillé et regardé cette beauté.
Bon, vous je ne sais pas, mais le sexe d’un mec au repos, je trouve cela moche.
Mais quand elle en érection, c’est magnifique…la plupart du temps.
Je me suis agenouillé sur l’épaisse moquette de la chambre et enfin je glissais mes lèvres autour du membre gonflé de désir.
Dans la majorité des cas, sucer pour la première fois une nouvelle bite, est une découverte. La longueur, la grosseur, le goût et bien évidemment chacun réagit différemment à telle ou telle caresse. Sucer une grosse bite comme celle de Stéphane est pour moi un moment délectable. C’est idiot mais je pensais à la décharge de foutre qui allait envahir ma bouche et c’est dans ce but ultime que je me suis appliqué à être très attentif à chaque succion, chaque coups de langue que je prodiguais à ce membre majestueux.
J’adore prodiguer des fellations. Dans ma résidence il y a un tout jeune garçon qui a une toute petite bite. Nous sommes amis et amants. J’adore son petit sexe que je peux enfourner entier dans la bouche. J’aime le faire jouir, deux, trois fois. Lui-même est très habile dans l’art de sucer et j’aime quand il me rend visite.
Je m’activais avec fougue et passion sur la bite de Stéphane. Je l’ai senti proche de la jouissance ce qui eut pour effet de durcir un peu plus mon sexe.
Stéphane: petite pute, tu suces trop bien, tu vas me faire jouir, arrêtes s’il te plaît.
Moi: je veux que tu jouisses dans ma bouche, je veux savourer ta jouissance.
Stéphane: non, stop, arrêtes! Je veux jouir dans ton cul.
Je m’accrochais à sa queue comme un chien à son os, mais il réussit à se dégager de ma bouche.
Stéphane: calme toi, tu auras d’autres occasions de savourer mon jus.
Allez, mets toi en position.
Il attrapa un tube de lubrifiant et en déposa une noix sur la rondelle. Il inséra un doigt et sembla satisfait de la souplesse de mon anus.
Stéphane: dis donc, on dirait que tu as récemment reçu de la visite.
Moi: oui, allez, fourres moi ta bite là dedans!
Il inséra un second doigt, puis un troisième.
Moi: hey mec, t’as pas l’intention de me fister?
Stéphane: l’idée me tente…mais il y en un qui veut faire de la spéléologie.
Il retira ses doigts. J’ai senti le bout de sa queue à l’entrée de mon cul.
En une seule poussée, son sexe me pénétra de toute sa longueur.
Moi: oh putain, c’est trop bon, vraiment trop bon. Vas-y chéri, baises-moi!
Pas la peine de lui demander deux fois. Il commença sur un tempo moyen, ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay, Branle, Fellation, Sodomie