De retour chez moi après cette balade émaillée de sexe non consenti avec mon voisin, quelques jours sont passés, et même si cela ne m'a pas déplu finalement, puisque je kiffais sur lui, le fait que mon voisin connaisse mon cul, comme il me l'a dit, je ne suis pas tranquille.

Un matin, alors qu'il a quitté le parking de la résidence avant moi, je trouve un papier sur mon pare-brise. Je lis le message bref et clair : "RV 17h chez Robert, sinon..."

Mon cœur bat la chamade, et j'y ai pensé toute ma journée de travail, non sans quelques craintes.

Le journée s'étire trop rapidement à mon goût, car l'heure de quitter mon taf arrive trop vite.

Je reviens chez moi, prend une douche en arrivant, enfile un cuissard et t-shirt et enfourche mon vélo, sans savoir ce qui m'attends.

J'arrive dans la court et je suis une flèche en forme de bite vers le lieu où je dois laisser mon vélo. Là, une caisse m'attends avec un mot : "déshabilles toi et mets toutes tes affaires dans la caisse, puis mets toi le bandeau sur les yeux, quelqu'un va venir te chercher."

Je m'exécute et attends. J'entends marcher vers moi et sens une main se poser sur ma bite et me tirer en avant. Je ne peux m'échapper jusqu'à ce que je sente de l'herbe sous mes pieds. Je n'entends personne parler. Je ne sais pas qui est là, mon cœur bat rapidement.

La main me tire encore jusqu'à ce que je sente à mi-hauteur une barre en bois. La main lâche ma bite, et l'on me fait monter au dessus de la barre qui se trouve être une table basse dont je tâte les contours. L'on me fait m'y mettre à quatre pattes et attendre.

Tout à coup, j'entends la voix de mon voisin : "Super, mon petit cul est arrivé, mais aujourd'hui, je ne suis pas seul, j'ai amené quelques collègues à qui j'ai parlé de tes exploits. Alors on va t'ouvrir les orifices et tu vas aimer recevoir toutes nos bites. Je ne te dis pas combien on est, tu le sentiras de toi-même. C'est parti "

Et là, j'en ai pris plein la bouche et le cul, des grosses, des moins grosses, des poilues, des rasées, je ne sais pas combien ils étaient car je n'ai pas eu de répit. J'ai avalé des litres de foutre, mais mes entrailles ont été préservées par les capotes. Certains étaient si excités qu'ils giclaient rapidement, d'autres n'en finissaient pas de me bourrer, j'avais l'impression d'avoir le conduit en feu, par les frottements, malgré les crachats pour faciliter l'entrée.

Jusqu'à ce qu'enfin, mes deux orifices restent béants, je sentais mon cul ouvert et l'air me rafraîchir l'anneau.

On me fit me lever et enlever le bandeau. J'eus de la peine à ouvrir les yeux pour reconnaître mon voisin, qui riait à gorge déployée. Il me dit : "les collègues ont été contents de se vider. T'es vraiment endurant. Pour finir, tu vas me lécher les couilles et la bite avant que je ne te saillisse une dernière fois pour la journée. Allez viens prendre ton sucre d'orge."
...

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