J'ai l'habitude aux beaux jours de sortir à vélo pour emprunter la voie verte entre Carquefou et Ligné. C'est en faux-plat doux et l'on peut prendre un peu de vitesse.

Un jour au détour d'un virage j'aperçois un chien berger allemand seul sans maître en plein milieu. Je tente de l'éviter, mais il saute vers moi, me déséquilibrant et me faisant tomber sur le côté. Le cuissard un peu râpé et déchiré, je me relève et place mon vélo entre le chien et moi, sans savoir ses intentions, jusqu'à ce que j'entende un sifflement. Le chien se tourne et rejoint son maître qui s'approche de moi. Il me demande si ça va, je lui réponds en boitant qu'il aurait du tenir son chien.

Il me propose pour se faire pardonner de panser ma plaie sur la cuisse chez lui à quelques pas. Me voyant hésité, il insiste et me voilà pied à terre pour le suivre.

Arrivé dans une grande cour, il met le chien à l'attache et me demande de poser mon vélo contre le mur. Je m'exécute et le suis vers son jardin. Il me dit de m'asseoir en attendant qu'il revienne avec de l'eau oxygénée et un linge pour m'essuyer.

Il me dit :
- La plaie est pleine de gravillons, il faudrait la laver librement.
- Ok, et comment je fais ?
- Tenez, prenez cette serviette autour de la taille et retirez votre cuissard. Relevez la serviette pour que j'accède au haut de votre cuisse égratignée.

La bienveillance de cet homme plus âgé que moi ne soulève aucun doute sur ses intentions. Je le remercie et m'apprête à lui demander de me redonner mon cuissard pour que je l'enfile et que je reparte.

Il me dit :
- Je vais le chercher, ne bougez pas !
Je n'avais aucunement l'intention de bouger dans la tenue où j'étais, d'autant que la serviette ne couvrait pas toute mon anatomie.

Il revint avec mon cuissard humide en me disant qu'il l'avait rincer et me dit :
- Vous n'allez pas repartir avec un cuissard mouillé. Je le mets au soleil, et quand il sera sec, vous pourrez repartir. Vous voulez boire quelque chose ?
- Je veux bien un verre d'eau.
- Très bien, je vais le chercher.
Tout en disant cela, j'entendis une voiture arrivé dans la cour et quelqu'un qui appelait Robert, mon hôte sans doute.

Puis, je vis revenir mon hôte avec un autre homme de son âge et que je reconnus sans mal, pour être mon voisin de résidence, que je salue régulièrement le matin quand on quitte le parking pour aller au boulot chacun de notre côté. C'est un ouvrier, qui n'est pas très pudique, se baladant souvent torse nu sur le parking de la résidence lors des période de canicule.

J'avoue que sa nonchalance m'a déjà attirée, et que, à poil dans mon appart, j'ai déjà essayé de lui attirer l'oeil discrètement.

Il m'adresse la parole tout de go, et me dit :
- Alors Monsieur ne se contente plus de se montrer à poil, il vient chez l'habitant ?
Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu'il m'avait donc vu m'exhiber.
Je balbutiais un - euh.. ce n'est pas ce que vous croyez, et je n'eus pas le temps de finir ma phrase, qu'il me coupa la parole en me disant :
- Eh bien, j'attends, on l'enlève cette serviette !!
- Mais..
- Y a pas de mais. A poil et que ça saute !!
J'étais gêné, et hésitant.
- Robert, il va falloir prendre les choses en main, parce qu'il est un peu timoré l'oiseau.
- Allez, tire sur sa serviette et je m'occupe de son t-shirt.

Ils s'y sont mis à deux pour m'arracher la serviette et mon t-shirt, et je me suis retrouvé à poil en croisant mes mains devant mon sexe.

Je reçus une baffe pour les écarter, et ils se mirent à rire en me demandant de me tourner et de me trémousser. Puis, ils se sont mis à me peloter brutalement et à me donner des coups de mains sur les fesses en s'invectivant sur la marchandise.

Ils me renvoyaient brutalement l'un vers l'autre et me faisant tourner jusqu'à ce que je titube et m'écroule par terre. Je n'eus pas le droit de me remettre debout mais de rester à hauteur de leurs braguettes. C'est mon ouvrier qui ouvrit sa braguette en premier, alors que mon ...

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