Non loin de Lille, sur le grand parking gardé à l’entrée par deux moulins dont les ailes n’ont pas tourné depuis bien longtemps, je m’engageais vers mon emplacement habituel. Ce bel homme athlétique et svelte était là. Il venait par habitude le vendredi en fin d’après-midi garer sa camionnette devant l’accès principal. Il avait aménagé son utilitaire depuis peu afin de disposer d’un espace confortable pour nos plans coquins. Cet homme que je voyais régulièrement me trouvait fort à son goût. Comme convenu, il allumait ses feux de détresse me signalant qu’il avait hâte de me voir, et comme chaque fois, il me fit monter dans son véhicule par la porte coulissante latérale.
Lorsqu’il se déshabillait, je pouvais admirer son corps musclé, dès qu’il baissa son pantalon, sa bite épaisse jaillissait toute raide comme si elle était montée sur ressort, signe qu’il bandait déjà en me voyant monter avec lui. J’avais trop envie de sa queue.
Assis sur le grand coffre à outils, il se laissa pomper son chibre avec douceur et balança son bassin au rythme de mes succions. J’étais à genoux entre ses jambes. Sa respiration accélérée et ses soupirs témoignaient de l’implication que j’avais à le sucer langoureusement. Je caressais son « service trois pièces » avec ma langue en salivant copieusement le gland violacé et luisant près à exploser. Le massage en dessous de sa queue avec mon pouce l’entraina dans une succession de murmures et de râles. N’en pouvant plus, il se leva, enfila un préservatif et m’obligea à me pencher en avant, les mains à plat sur le coffre.
Mon amant écarta mes jambes en les passant de chaque côté d’un petit banc qu’il avait fixé volontairement sur le plancher de son véhicule. Cette position m’obligeait à lui offrir ma chatte prête à être saillie par sa queue épaisse qu’il força et enfonça lentement au plus profond. Il la ressortit puis renouvela la pénétration plusieurs fois de plus en plus brutalement ; Excitation et domination oblige. Il me limait avec endurance en un rythme soutenu, ses coups de reins ne faiblissaient pas. J’appréciais les mouvements de son bassin pendant qu’il me coïtait. C’était sublime. Mon partenaire enjamba lui aussi l’obstacle qui écartait mes jambes, il saisit mes deux poignets et amena mes bras entre mes cuisses écartées. Mon cul était relevé au maximum, les talons décollés du plancher, mon dos cambré et ma tête plaquée sur le coffre.
Il me présenta dans cette position insolite à la limite de l’inconfort. Il l’appel ...
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