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Baisé en cagoule par 3 inconnus

Publié par : garyc le 28/04/2020

Cela devait être un simple rendez-vous fixé sur ce site, à 40km de chez moi dans un petit bourg de Dordogne, pour un plan à plusieurs annoncé certes comme très chaud, mais je me doutais pas à quel point cela allait tourner à un défonçage extrême. J'arrive donc devant la maison indiquée, frappe à la porte, on m'ouvre, je rentre dans la pièce principale, remplie de désordre, un peu sombre, les volets sont tirés. Pas très engageant. Un gars un peu corpulent, le « chef », ancien militaire, la soixantaine, m'attend avec juste une serviette autour de la taille. Un bonjour rapide et il me dit aussitôt de me déshabiller entièrement. Je m'exécute tout en entendant des bruits derrière une des portes de la pièce. Tout juste à poil, il me met sur la tête une cagoule sans ouverture pour les yeux, avec juste un trou pour la bouche. Puis il pose sa grosse main sur mes fesses et me pousse, j'entends la porte qui s'ouvre et il dit : « voici la salope promise ». J'avance vers l'inconnu, j'entends le son d'une télé qui diffuse un film porno, et d'un coup je sens une claque sur une fesse, puis une deuxième sur l'autre, et un « beau petit cul ». Encore, deux pas, et ils me disent : « à genoux » puis « ouvre ta bouche de salope », et là je dois sucer trois bites étrangères, aux glands déjà poisseux d'excitation, d'abord molles puis qui durcissent rapidement, de bons gros calibres qui me font écarter large les lèvres et bien saliver.

Acquitté de cette tâche, le chef me fait lever, me retourner et me mettre à 4 pattes sur un matelas étendu au sol. « On va bien te travailler le cul d'abord, on a amené nos jouets » et j'entends le bruit d'un sac qu'on déverse sur le lit. Un type me balance une fessée et m'ordonne « écarte tes jambes, met ta tronche contre le matelas, les mains en arrière », mon cul est désormais totalement offert à leurs vices : « Humm, un beau trou bien lisse à remplir ». Je sens un liquide froid mais épais couler sur mon trou, une bonne dose de gel lubrifiant pour le premier gode qu'ils vont m'enfiler. Il doit avoir 3 cm de diamètre, petite taille, pointu et lisse, mais j'ai l'anus encore serré, alors le premier passage imposé est un peu douloureux, puis ils se mettent à vite ramoner mon orifice enculatoire, à le faire aller et venir de plus en plus rapidement, et je sens les parois de mon rectum se distendre et émettre une douce chaleur que j'apprécie bien. Ils s'enhardissent et testent mon trou en rentrant et sortant ce braquemart en plastique. Ils en concluent qu'ils peuvent sans problème passer à la taille supérieure, mais d'abord un des gars vient s'asseoir devant moi, jambes écartées, et m'ordonne de lui sucer la pine et lui lécher les couilles, je me redresse sur les coudes pour être plus confortable tout en gardant bien proéminente ma chatte anale.

Le deuxième godemichet est plus gros, dans les 5 cm de large, en vraie forme de sexe lui, avec un gland bien prononcé. Une nouvelle dose de lubrifiant m'inonde la rondelle et le vieux dit « Vas y tu peux bien la défoncer cette salope, on va voir si elle est aussi docile qu'elle me l'a dit ». Et là, celui qui tient le gode me l'enfonce d'un coup profondément, m'arrachant un cri de douleur étouffé par la bite qui occupe ma bouche, une bouffée de chaleur envahit mon corps qui tremble. Je veux protéger mon cul avec mes mains mais aussitôt deux pieds viennent les bloquer sur le matelas, et une grosse claque sur les fesses me rappelle à l'ordre : « Tu bouges pas, salope, tu es là pour te faire trouer, pas de discussion ». Je me demande si je n'ai pas fait une erreur de me livrer à trois gaillards vicieux, mais le mouvement du gode s'amplifie dans mon rectum, et à nouveau, la même chaleur irradie mes chairs intérieures, ma rondelle s'élargit et s'assouplit, sous les va-et-vient de plus en plus rapides. Cette décharge de plaisir me fait sucer goulûment la queue bien raide qui est devant moi, le premier gars est remplacé par le sexe du vieux que j'avale à son tour. Il demande à l'autre de lui prêter le gode, et je comprends vite que sa spécialité à lui, ce sont les entrées et sorties frénétiques du membre turgide en caoutchouc pour me dilater la grotte anale. Une minute de ce traitement infernal et il appelle les autres pour admirer son œuvre, mon trou bien ouvert et il en profite pour cracher dedans, imité par les deux autres, qui me souillent de leur salive.

Le chef dit alors : « J'ai envie de l'enculer », il se met derrière moi et m'enfile sa verge bien raide dans l'anus, elle est de bonne taille, mais c'est presque du repos avec le gamahuchage précédent, je peux bien m'occuper des 2 bites qui s'alternent dans ma bouche. Le vieux est remplacé par le « bon » gars, plus jeune et vigoureux, bien membré qui me sodomise à son tour, à grands coups de reins, ses cuisses claquent contre mes fesses, son gland tape en cadence rapide au fond de mon rectum, je mets à transpirer à nouveau, il se retire et il vient aussitôt se décharger dans ma gorge. Je pense que c'est désormais au tour du troisième, le bien « pervers » qui m'a forcé au gode, mais en fait j'entends un bruit métallique de chaîne. Il m'ordonne de mettre mes mains dans le dos, entoure la chaîne à un genou, puis il entoure avec mes poignets, fait un tour à l'autre genou, et m'entoure le torse pour la bloquer. Il me retourne alors sur le dos et vient m'enculer dans cette position, de face, les jambes bien écartées par la chaîne, à grands coups de butoir dans ma rondelle, sortant et rentrant frénétiquement, puis il s'approche ses mains de mon cou, se met à serrer en accélérant ses percussions de pine, j'étouffe p ...

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