« D’accord petite pute, maintenant je vais te prendre, met-toi à genou sur le bord du lit »
« Oui maître, je veux ta queue dans mon cul ».
Elle se mit à genou, le cul bien tendu en arrière.
« Soulève ta jupe », lui dis-je, « que je vois bien ton petit cul rebondi », ce qu’elle fit direct.
Je lui caressais la croupe bien tendue en arrière, je passais ma main sur son petit trou qui s’ouvrait à chaque passage, je sentais son sphincter palpiter de désir, je descendais ma main sur ses boules pour les caresser et attrapais sa verge bien dure.
Tout en faisant cela de ma main droite, j’approchais ma queue de son cul et posait mon gland à l’entrée de son cul.
« Empale toi doucement dessus, comme une petite chienne en chaleur », lui dis-je.
« Ohhhh, oui maître », fit-elle en reculant son cul pour qu’il s’embroche sur ma queue.
Ma queue rentra dans son cul, tout doucement, son sphincter s’ouvrit petit à petit et fur et à mesure que mon gland rentrait.
Amandine râla tout doucement en disant « hoooooo...maître...elle est bonne ta queue, je la sens bien entrer dans mon cul !!!!»
J’étais toujours en train de lui caresser les boules et la queue pendant que je sentais ma queue entrer dans son petit cul serré, c’était divin.
Arrivé à la moitié je lui dis « Stop !!!!! Arrête toi, esclave !!!!! » ce qu’elle fit dans un râle de dépit.
« T’inquiète pas, je vais te déglinguer maintenant, laisse-moi faire ».
Elle était toujours sur ses genoux sur le bord du lit et moi je lui attrapais la hanche de ma main gauche et la nuque de la main droite.
Tout doucement je l’attira à moi afin qu’elle s’empale entièrement sur ma queue : « Tu aimes ça te faire baiser comme une petite pute, hein !!! »lui chuchotais-je à l’oreille, « tu aimes sentir une grosse queue te limer la rondelle ».
« Hooooooo Ouuuuiiiii…..Maître….met-la moi à fond, j’ai envie de sentir tes boules cogner contre mes fesses !!!!! »
Je commençais à aller et venir dans son cul, doucement d’abord, puis de plus en plus fort.
Elle commença à gémir, puis à crier de plus en plus fort elle même, à chaque fois que mes boules tapaient sur ses fesses. Je sentais bien à quel point ça l’excitais de se faire prendre comme une chienne et ça m’excitait moi, de voir son petit cul bouger sur ma queue pour qu’elle entre encore mieux.
« Arrête-toi chienne braillarde !!!! Je veux pas qu’on t’entende hurler jusqu’au macdo !!! »
Elle s’arrêta, penaude et les yeux révulsés de désir : « Mais je veux encore ta queue, maître », dit-elle dans un gémissement, « je veux que tu me prennes encore comme une chienne avide de bite ».
« T’inquiète pas petite salope, tu vas l’avoir, plutôt 2 fo ...

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