Avec Amandine, il a été convenu qu’on se retrouve dans la chambre d’hôtel du 1ère Classe, ce mardi à 14h00.
A 13h30, elle m’envoya un petit SMS me précisant le numéro, et me disant qu’elle était en train de se préparer.
Tout excité, il fallu que je me batte pour ne pas me caresser en pensant à elle, s’habillant en petite tenue sexy, culotte échancrée noire, bas arrivant à mi-cuisse, soutenus par un porte-jarretelles, des haut-talons, une petite robe, et un chemisier blanc.
A 14h00, comme convenu, je frappais à sa porte, elle vint m’ouvrir, tout sourire : « Bonjour, maître, me dit-elle, entrez, maître »
Je lui souris : « Tu es magnifique, Amandine, habillée comme une belle petite pute, comme je te l’avais demandé, c’est bien » et j’entrais à sa suite, elle m’amena jusque devant le lit et se retourna.
« Déshabilles-moi », lui dis-je, « doucement et en embrassant chaque partie que tu dénudes ».
Elle s’exécuta, et commença par le haut.
Elle défit les boutons de ma chemise un à un, et la retira, elle embrasse mon cou, mon ventre et mes tétons, s’attardant sur chacun d’eux et les tétant doucement tout en me caressant le dos.
En même temps, je me débarrassais de mes nu-pieds, que je balançais contre le mur de la pièce.
Tout en me léchant, elle défit la boucle de mon ceinture et ouvrit mon pantalon.
Elle passa la main sur mon boxer, pour me faire descendre le pantalon, et direct je senti ma verge gonfler.
« hhhhmmmm, tu aimes ça mon petit cochon » me dit-elle, et elle s’attarda sur mon sexe pour bien le sentir gonfler au travers ma culotte.
Pendant ce temps, je lui caressais la tête et les épaules. D’un coup, je l’attrapa par la nuque et amena sa bouche sur la mienne. Je lui mis ma langue dans la bouche et lui dit « Aspire ma langue, ma petite pute, tu m’excites », ce qu’elle fit direct, tout en continuant de me malaxer la verge et les boules. Sa main était entrée dans ma culotte et je sentis son souffle s’accélérer, comme le mien : « Moi, c’est ta queue qui m’excite maître », me dit-elle, « est-ce que je peu la lécher ».
« Pas tout de suite, ma salope », lui dis-je, « je ne suis pas encore nu, finis le travail ».
Direct elle se mit à genou pour m’enlever le pantalon et le boxer, et en face de ma queue toute raide, elle la prit en bouche et commença un lent va et vient, d’avant en arrière, en gémissant de plaisir.
Je lui attrapais la tête pour lui imprimer le mouvement, lent au début et un peu plus rapide en suivant. « Suces bien ma queue petite cochonne, e ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite