Après des vacances plutôt réussies (voir Eté chaud……) la reprise est très calme. Je n'ai fait aucune rencontre sur le lieu que je fréquente habituellement. Puis un jour il fait très beau, une sorte d'été indien, avec plus de 20 degrés. Je me rends donc sur le parking au bord d'un étang où il y a de quoi s'amuser. Je pars dans le bois vers des coins isolés propices aux rencontres chaudes. Derrière un arbre je vois un gars de taille moyenne, du même âge que moi et un peu rond. Il a le cul à l'air et derrière lui il y a un gars qui le doigte. Le gars me fait un clin d'œil, je les rejoins.
Moi: joli cul, je pense que tu vas te le faire.
Le gars: je ne vais pas me gêner; il est là pour ça, c'est une bonne salope.
Je m'approche de lui et je pose une main sur sa braguette; apparemment il a du monde dedans. Da sa main libre le gars défait sa ceinture et fait tomber son pantalon et son slip. Effectivement il est bien monté. Je lui caresse les couilles et je le branle lentement. Je le décalotte et je me penche vers sa bite. Je lui lèche le gland puis je prends sa bite dans ma bouche et je le suce. Elle gonfle rapidement, elle devient bien dure et me remplit la bouche. J'arrête de le sucer. Sa bite est bien raide et droite à l'horizontal. Il déchire l'emballage d'une capote et se la déroule sur la bite. L'autre se retourne et regarde avec envie le mandrin qu'il va se prendre. Comme il est face à moi je lui caresse les couilles et sa petite bite molle; il ne bande pas. Puis il se retourne et se penche en avant en prenant appui contre un arbre. Je me place à coté de lui et pose mes mains sur ses fesses. Je les écarte. Le gars se présente vers elles la bite à la main et il commence à le pénétrer en douceur. Ils doivent avoir l'habitude (lui la bite rude !) car sa bite rentre sans difficulté.
Je me place derrière le gars et je glisse une main entre ses cuisses et la remonte contre ses couilles que je caresse. Puis j'avance ma main contre les couilles du gros, je les caresse et je le branle. Je reviens à coté d'eux et je me régale du spectacle. Le gros se trémousse contre la bite du gars qui fait des mouvements de va et vient. I accélère le rythme puis soudain il se retire et arrache la capote. Il se branle et jouit rapidement.
Le gros se retourne et voit la bite du gars qui commence à débander. Il lui dit: tu aurais pu jouir dans ma bouche, il me faut ma dose de jus. Il se tourne vers moi. Je comprends son regard et je lui présente ma bite. Il s'agenouille devant moi et se met à ...

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