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Au service de Monsieur 3

Publié par : hsmur le 23/02/2024

Jeune homme acquiesce d’un signe de tête et reçoit la semence du cousin de sa maîtresse en bouche. Pas tant qu’il aime ce vieux sperme, mais il sait qu’en faisant tous leurs caprices, ces vieux nobles pervers lui permettrons d’avoir une vie aisée, sans être obligé de trouver un travail ou de se prostituer.
- Tu es vraiment un petit salaud, mais qu'est-ce que tu suces bien ! Et Hector De Fontenoi lui donne une claque affectueuse, en refermant sa braguette. Puis, il retourne s'asseoir à côté de sa cousine.
Le jeune homme rappelle la serveuse et, alors qu'elle se penche en avant, lui tripote les mamelles en lui demandant :
- Toi, tu travailles où habituellement ?
Alors Sandra, sans démonter, de lui répondre :
- Sur le parking de routiers, après le centre commercial, sur la route de Paris, le plus souvent. Mais, parfois, je fais aussi ce genre d’extra dans un petit restaurant. Et il m’arrive de recevoir à la maison.
Philippe, qui est resté debout, depuis qu'il est rentré dans la pièce et après avoir salué de loin, un peu tout le monde, regarde le nouveau serviteur, puis il l’appelle à lui :
- Je veux savoir comment tu suces, alors hop, viens prendre ma pine dans ta bouche.
Marcel vient s’agenouiller devant le nouveau venu, ouvre la braguette du nouvel arrivant et happe le sexe. Très vite, il fait une sorte de moue, car le membre sent la merde.
Ce qui amuse d'ailleurs beaucoup Philippe, qui lui dit :
- Elle a le bon goût du cul de Guy, n'est-ce pas ?
Un signe de la tête en même temps qu'il suce, et l’homme continue sa pipe. Quelle bande de pervers dépravés, pense-t-il. Il ne sait pas de quoi ils sont finalement capables, mais il n’est pas sûr, non plus, de vouloir le savoir, du moins, pas d’expérience.
La pipe dure trois quatre minutes à peine et Philippe ne veut toujours pas jouir trop tôt. Il repousse, sans brutalité, le serviteur et lui dit :
- Merci de m'avoir bien nettoyé la bite, j'espère que maintenant, elle ne sent plus le cul !
À ce moment-là, Marcel se dit : « si je peux te rendre la monnaie de ta pièce, crois bien que je n’hésiterai pas ».
C'est à cette occasion, qu’Hector De Fontenoi, avec un grand sourire, propose de passer à la salle à manger.
Tout ce petit monde termine son verre avant de rejoindre la pièce dans laquelle trône une grande table déjà dressée, avec de petits cartons portant le nom de chaque convive.
Une fois toutes les personnes attablées, les discussions reprennent et vont bon train. Il est d’ailleurs beaucoup question de sexe, de vice et de luxure. Quand les entrées sont servies par le couple nouvellement loué, le silence se fait, chacun goûtant son plat d’asperges tièdes avec une sauce mousseline à la ciboulette.
Le maître des lieux, pour montrer que toutes les petites fantaisies sont les bienvenues, ordonne à Sandra de venir à côté de lui. Et quand elle se présente face à lui, il demande :
- Retourne-toi et penche-toi en avant. Attrape tes chevilles et écarte bien tes jambes.
Là, il remonte la jupe bien haut et, de deux doigts habiles, il écarte les lèvres. De l'autre main, il prend une asperge et vient enduire le légume de la cyprine qui suinte de cette chatte.
La femme mûre se demande bien ce que peut encore inventer ce drôle de baron et elle se dit que, finalement, la révolution avait du bon.
Le bonhomme prend tout son temps pour bien passer le légume, dans toute la vulve, puis, le portant à ses lèvres, déclare d’un ton badin :
- Mes amis, si vous voulez goûter aux asperges sauce femme, n’hésitez pas à demander.
Tout le monde rit de bon cœur, même le majordome et le mari
La comtesse, quant à elle, fait un signe à son jeune amant pour lui intimer l'ordre de venir à ses côtés. Une fois que Chris s’est approché, elle ouvre sa braguette, sort la queue déjà raidie et la porte à sa bouche. Devant tout le monde, elle commence une fellation digne des meilleures professionnelles.
Comme à l’accoutumée, le jeune homme se laisse faire, sachant pertinemment qu’il n’est qu’un jouet de luxe entre les mains de cette femme perverse.
Catherine De Fontenoi suce cette bite qui sent encore un peu le foutre. Elle connaît très bien son jeune amant et sait que très vite, si elle dégrade son corsage, le jeune mignon jouira. Aussi, défait-elle son beau chemisier pour découvrir ses vieilles mamelles encore fort jolies.
Ce qui devait arriver, arrive, et le jeune homme donne les signes d’une éjaculation prochaine.
Là, de sa main libre, elle s’empare de son assiette, et fait gicle le sexe dessus. Puis, se tournant vers son cousin, lui répond :
- Moi je préfère les asperges à la crème de bite, plutôt qu'à la sauce femme. C'est à ce moment-là, lâchant le jeune sexe, qu’elle prend délicatement une asperge entre deux doigts, et qu’elle la passe dans le foutre tiède.
À la fin de l’entrée, alors que Sandra desserre les assiettes et que le majordome et la cuisinière, vêtue d’une très belle tenue de soubrette, viennent pour servir le faisan, le baron demande à Marcel :
- Retire-ton short, on dirait un gamin ! Reste cul nu avec tes bas, ce sera mieux.
Puis il se tourne vers Sandra, jette un regard salace du haut en bas, et commande :
- Toi, tu retires ta jupe et ton chemisier, que tout le monde puisse admirer ton collier de prostituée.
Le couple, sans un mot, se déshabille comme on vient de leur demander, ensuite, ils vont poser leurs vêtements sur une chaise, au coin du grand vaisselier.
- La pute, tu t’occupes de servir le vin, enjoint encore le vieux baron lubrique.
Quand tous les convives sont servies, et avant qu’il ne donne le signal du départ, le vieil original vicieux ordonne encore à Marcel de venir près de lui.
L’homme sait bien qu’il va encore se passer quelque chose de bizarre, mais avec un bref regard échangé avec son épouse, semblant lui dire, pense au fric, l’homme vient où il lui est demandé.
Le maître des lieux s’empare du pilon qui lui a été servi. Il dit encore à son serviteur d’un jour de se pencher en avant et d’écarter ses fesses. C'est à cet instant, que, sans douceur, il introduit le pilon, dans l’anus déjà ouvert, par ce qu’il a subi plus tôt. Ensuite, et alors qu’il affiche un grand sourire, il lui signifie :
- Maintenant, tu fais le poulet.
Si l’humiliation commence à agacer sérieusement le pauvre Marcel, il se ravise, pensant au prix de ses souffrances, plie ses bras, les relève et les claque contre ses flancs, en faisant :
- Cocorico !
Rire général.
- Fais le tour de la table, gentil coq !
Et l'homme fait le tour de la table en battant toujours des coudes contre son flan et faisant cocorico.
Cela amuse beaucoup cette folle assemblée.
Au troisième tour de table, quand le pauvre animal passe à sa hauteur, Philippe l’attrape par la pine et ordonne à son tour :
- Viens me sucer, j’adore le mélange des plaisirs, une bonne chaire, une bonne pipe, voilà bien de quoi contenter ton bon gentilhomme !
L’ambiance est électrique, terriblement excitante, bien que restant amusante. Un subtil amalgame, l’humiliation de ces putains, mâle comme femelle, des situations scabreuses, du sexe et de la luxure, il ne manquerait plus que ce divin marquis pour compléter cet aréopage.
Ensuite, c'est la vieille comtesse qui décide de se faire lécher le con, mais par la salope, pour varier les plaisirs. Elle se cale dans le fond de sa chaise et la pousse bien en arrière, tout en s’adressant à Sandra :
- Toi, la pute, viens me lécher l’abricot…
Et, alors que son mari s’est mis à genoux devant le frère de leur patron, la brune vient se placer devant la vieille femme, s’agenouille, et applique sa bouche contre la vulve offerte. Elle se fait la même réflexion que son mari concernant l’odeur délicieuse de cette chatte, bien que cela soit un tantinet écœurant.
- Mets-toi à quatre pattes, comme une chienne, pour me laper la chatte, s’exclame la vieille comtesse.
Et Sandra obéit et se retrouve le cul légèrement relevé à lécher comme une bonne chienne vicieuse. Si, en général, elle n’est pas contre lécher la moule de ses copines, surtout celle de ses collègues quand elles proposent des plans à eux femmes, aujourd'hui c'est très particulier. C'est la première fois qu’elle lèche une sa vieille chatte, et le parfum que porte cette vieille salope gâche un peu le goût si particulier d’une chatte qui ronronne et transpire de bonheur.
- Alors, elle n’est pas belle la vie, se réjouit le baron.
Chris, reprenant de l’énergie, a de nouveau une grosse envie de jouir, dans un cul, aussi, il se lève et vient derrière la brune. Là, il se dit qu’une pute, de toute façon, c'est fait pour servir de boîte à bite, et que le gros cul de cette traînée, le changera du petit cul de mémé, de sa maîtresse attitrée.
Philippe, quant à lui, excitée par tant de vice et de folie, ne peut se retenir trop longtemps, et finalement, un peu contre son gré, il jouit dans la bouche de son suceur.
Marcel, qui bien que marié, a une bonne connaissance des hommes et de leur plaisir, serre la queue qu’il a en bouche avec ses lèvres et aspire en même temps. Il sait que tant que l’homme est au septième ciel, il peut en jouer, mais quand il sera redescendu sur terre, il devra arrêter sa prestation, toutefois, il veut laisser la sensation, d’être un maître de la pipe, à ce sacré bonhomme. On ne sait jamais, s’il pouvait en faire un client régulier, ce serait tout bénéfi ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Bisexuel, Mûrs, Soumission/domination, Au travail