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Au service de Monsieur 2

Publié par : hsmur le 23/02/2024

Une fois le lit fait, le majordome inspecte le travail, puis, content visiblement du résultat, il dit :
- Viens me faire voir ton trou du cul, la pédale…
Marcel s'approche, se retourne devant l'homme et se plie en deux, il prend ses fesses à pleine main et les écarte.
- Eh bien ma salope ! Tu dois avoir l'habitude d'en prendre du foutre, ton cul à tout avalé… Allez la fiote, remets ton short, nous retournons à la cuisine.
Les trois personnes sortent de la chambre et Guy les reconduit à la cuisine. Là, un nouvel arrivant est attablé, non pas en livrée, mais dans une tenue vert bouteille de garde-chasse. Ses bottes sont encore toutes crottées.
- Tient ! Benoît, ta promenade matinale s'est bien passée ?
- Oui, rien vu d’exceptionnel.
- Nous on a du nouveau, les deux putes qui sont là pour le service de ce midi…
- Ah ! La femme a de bons gros nichons ! Tu l'as essayée ?
- Non, aujourd'hui, j'ai essayé la tapette, si tu veux tester la pute, vas-y elle est là pour ça…
L'homme se lève d'un bond et vient chercher Sandra. La prenant par la main, il l'emporte devant la grande table, et là, dans le même geste, il la pousse pour l'allonger sur la table en bois, les jambes dépassant du meuble.
La femme se laisse totalement faire, elle aussi, comme son mari un peu plus tôt. Elle se laisse donc aussi retrousser sa robe très courte, écarte les jambes sans résister, pour permettre à l'homme qui vient de sortir son sexe, de se caler contre elle.
- Attends ! S'exclame Guy, et sortant une capote de sa poche, la tend au garde-chasse.
Celui-ci déchire l'emballage à l'aide de ses dents et enfile prestement, l'objet sur son sexe déjà raide. Puis, d'une main experte, il guide sa queue sur l'entrée de la grotte féminine, et ajoute d'une voix rauque qui trahit son excitation :
- Je vais te ramoner le con, salope, tu m'en diras des nouvelles…
Sandra est contrainte de s'accrocher au bord de la table tant les coups de boutoirs sont brusques, à la limite de la violence. Cela dit, prévoyante comme tout le temps, elle n'a pas oublié de se mettre du lubrifiant dans la chatte avant de partir, aussi l'homme qui la prend s'imagine-t-il, qu'elle mouille d'excitation, alors qu'en fait, tout n'est que chimie !
Benoît, le garde-chasse, ahane très vite, sous les encouragements discrets, mais très crus, de la cuisinière et de son commis, qui ne perdent pas une miette du spectacle qui leur est offert.
Guy et Marcel restent debout, eux aussi, à regarder l'homme baiser à la hussarde.
Très vite, le garde-chasse grogne, tant et si bien qu'en quelques minutes, il pousse un cri rauque et jouit dans la capote en s'écroulant presque, sur la femme qui le subit.
- Voilà, la pute, tu es ouverte pour que Monsieur puisse faire ce qu'il a envie de toi… Tout en disant ces quelques mots, il retire la capote en faisant bien attention à ne rien renverser et demande à Bernadette, la cuisinière :
- Donne-moi trente centimètres de ficelle de cuisine, s'il te plaît. Puis, se retournant vers la femme qu'il vient de prendre sans ménagement, il poursuit, très fier de sa prestation :
- Alors ? Je te l'avais bien dit, que ma bite était magique…
- Oh oui monsieur, répond, fine mouche, Sandra qui a bien fait semblant de prendre son pied, un moment plus tôt. Putain à ses heures, elle sait qu'il faut caresser l'homme dans le sens de son ego, et elle sait aussi parfaitement qu'un homme, pour son ego, bien entendu, aime faire jouir une femme, il a ainsi l'impression de prendre le dessus sur celle-ci. Et aujourd'hui, l'objectif n'est pas de s'amuser, mais de ramener un bon pactole, se sera toujours ça de moins à faire, avec les routiers.
Benoît vient de finir de faire un nœud avec la ficelle et de faire un autre nœud avec la capote sur la ficelle, si bien qu'il tient fièrement, une sorte de pendentif, fait avec la capote pleine de foutre, la ficelle de cuisine en guise de chaînette. Il aide la femme à se relever, et, alors qu'il lui passe le collier improvisé autour du cou, dit :
- Il te manquait un bijou, là, je crois que monsieur sera ravi de ta parure !
Marcel sourit franchement dans son coin, il aime bien voir sa femme ainsi humiliée, dégradée. En même temps, il sait qu'elle, elle s'en moque comme d'une guigne ! Et que, si ça peut faire plaisir, elle le fera de bon cœur, cherchant toujours à mettre le client dans les meilleures dispositions.
- Regardez-moi cette pute, comme elle a un joli collier, s’exclame Benoît en la faisant tourner sur elle-même de manière à ce qu'elle soit face à la cuisinière.
- Jolie décoration de noël ! Dit la cuisinière, en rigolant franchement.
- Bon, c'est pas tout ça, mais il va falloir manger maintenant, les invités ne vont pas trop tarder.

Après un repas rapide et simple, mais toutefois parfaitement cuisiné, le majordome, qui règne à la cuisine en maître, ordonne :
- Allez, au boulot maintenant, que chacun s’attelle à sa tâche. Vous, les deux nouveaux, vous allez me suivre, vous ferez le service, je vais vous montrer pour les apéritifs, pour commencer.
Et se levant, sort de la pièce, suivi du couple, pour se rendre dans la pièce nommée la bibliothèque, même si finalement, assez peu de livres y sont rangés.
Guy montre où se trouve la réserve d'alcool, précise le whisky de son patron, qu’il ne faut servir que, sur sa demande express, les autres alcools et liqueurs qui peuvent être proposés. Puis il montre le meuble bas, dans lequel sont rangés les verres, soucoupes et autres vaisselles dédiées à cette partie du repas.
La sonnette de la porte principale retentit, le majordome sort aussitôt de la pièce et va ouvrir, laissant les deux serviteurs sans consigne particulière.
Quelques instants plus tard, entrent dans la pièce une vieille dame, dans les soixante-dix ans, plutôt bien conservée et encore jolie, et un jeune homme, fin, mais très beau, brun, aux yeux verts lumineux, très jeune, moins de trente ans visiblement, mais avec un regard perçant, qui détaille tout de suite Sandra.
Le maître des lieux ferme la marche. Hector De Fontenoi offre un fauteuil au jeune homme et une place à ses côtés à la vieille dame qui n'est autre que sa cousine germaine. Le jeune homme étant l'amant, officiellement médecin personnel de la dame, mais si lui a fait médecine, Landru était chirurgien.
Assez vite, la vieille femme demande un porto à son cousin, qui lui, ordonne :
- Deux doigts de porto, pour Madame la comtesse.
Tout de suite, Marcel, proche du meuble, ouvre le bar, prend un petit verre à pied, sort le flacon de Porto et en verse une petite quantité. Puis il s’empare d’un petit plateau en argent, pose le verre dessus et vient le présenter à la vieille dame.
Chris, le jeune homme, en profite pour demander :
- Pour moi, ce sera un whisky.
Marcel retourne devant le meuble pour prendre un verre carré et le remplir d'un tiers d’alcool d’Écosse. Ensuite, il ramène, toujours sur la même petit plateau d'argent, le verre au jeune homme.
- Merci, dites aussi à votre femme de venir à côté de moi.
Marcel fait un signe de tête à son épouse, qui a entendu, bien sûr.
Sandra se déplace en ondulant de la croupe. « Allez, encore un jeune trou du cul qui va mettre ses doigts partout, sans faire attention, sans précaution. Pourvus qu’il n’est pas les ongles longs, sinon, je suis encore bonne pour me faire griffer l’intérieur de la boîte à plaisirs, et en avoir pour une semaine, à m’en remettre ». Pense-t-elle durant le court trajet. Et elle vient se mettre tout à côté du profond fauteuil, à portée de main du beau jeune homme.
Là, le jeune homme commence à passer sa main sous la jupe et tripote la chatte lisse avec un air de ne pas y toucher. Après quelques instants de ce manège, et alors que ses doigts visitent l’anus à sa disposition, d’une voix douce, mais ferme, il ordonne encore à Sandra :
- Montre-moi tes gros nichons, tu me sembles avoir un sacré matos, ma vieille.
« Ma vieille ! Je t’en foutrai du "ma vieille", jeune con ! Tu as de la chance que la prestation soit très bien payée ! » se dit la brune mature. Elle se penche alors légèrement en avant et défait les boutons de son chemisier pour exhiber ses gros seins au jeune homme. Son pendentif fait avec la capote pleine, trônant entre ses nichons.
Ses seins sont libres de tout soutien-gorge, aussi le jeune homme les palpe, les soupèse et joue avec.
Puis, d'un coup, la vieille femme s'adresse à son jeune amant et lui dit :
- Mais fais-toi sucer, plutôt que de peloter seulement. Elle ne sert qu’à ça !
À ce moment-là, Hector De Fontenoi ordonne à la serveuse :
- À genoux devant ce beau jeune homme. Ce n’est pas tous les jours que tu dois avoir un si beau mec à travailler, hein vieille pute ?
Si les réflexions humiliantes commencent à l’agacer, Sandra n’en fait rien voir. Elle s’accroupit et entreprend de lui ouvrir la braguette.
Chris ne fait aucun effort, et laisse la femme se débrouiller toute seule.
La brune connaît son affaire, et si son client ne bouge pas, elle sait bien comment faire pour sortir, sans coup férir, la pine de son écrin de tissu. Bientôt, le sexe en train de durcir, est mis à l’air. Là, se penchant en avant, la femme le prend en bouche et commence sa fellation.
Le jeune homme ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Bisexuel, Mûrs, Soumission/domination, Au travail