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Au bureau ....

Publié par : jeanalin le 26/09/2022

J’étais dans cette boite depuis plusieurs moi, et on travaillait dans une ambiance très sympathique et les relations entre nous, hommes et femmes étaient très ouvertes. On flirtait gentiment, sans se prendre la tête. J’eu l’occasion d’avoir des relations avec plusieurs filles, sans conséquences, un peu à la hâte mais très soft, nous étions tous mariés ou en couple. Il y avait, dans le groupe, un jeune gars, très efféminé, très mignon, nouveau dans le service et qui me collait un peu au bureau. Il avait compris que j’étais bi et pas complètement insensible à ses charmes et à cette époque là, gros différent avec ma femme, j’étais assez disponible sentimentalement parlant. Il n’arrêtait pas de me draguer et de faire ses allusions coquines lorsque nous étions seuls, petits attouchements des fesses dans l’ascenseur etc… je le laissais faire ou le rabrouait mollement, cela m’amusait et m’excitait un peu il faut bien le dire.

J’ai eu ma première relation avec lui dans mon bureau, un soir après un apéritif. Nous avions pas mal picolé et bavardé durant l‘apéro en multipliant des sous entendus, des allusion salaces et quelques attouchements qui m’avaient un peu déstabilisé. Je m‘étais laissé faire mais n’avait pas donné suite à ses demandes. J’ai quitté seul l’apéro avant la fin.
En fait, il m’a suivi sans que je m’en rende compte et surpris alors que j’étais seul dans mon bureau à ranger mes affaires pour partir.
- « Tu ne vas pas m’échapper comme ça cette fois ! Nous sommes seuls et je te promets que je ne te ferais pas de mal » dit-il d’un ton malicieux tout en se rapprochant de moi.
Il commence à me peloter les fesses de manière très appuyée. Je fais mine de me dégager mais sans conviction, j’ai compris que je ne pourrais pas résister. Je me laisse embrasser et peloter.
-« Détends toi, laisse moi faire, tu verras, ca va te plaire » me dit-il en dégrafant ma ceinture et mon pantalon.
Effectivement, cela ne me déplaisait pas et je bandais déjà dans mon caleçon.
- « Ho, le joli caleçon en soie, voilà qui ne gâte rien ! » s’exclame t il en finissant de baisser mon pantalon.
AU début je suis entièrement passif mais très excité mais rapidement je me mets à mon tour à le caresser, je fais glisser sa veste et caresse son dos gainé dans le satin de son gilet. C’est chaud et doux.
Il prend le temps de bien me caresser la bite et les couilles à travers la soie du caleçon
Puis el s’agenouilla, prends ma bite dans sa bouche et commença à me sucer. Il est habile et doux et je m’abandonne à ses caresses, sur mes couilles, sur mes fesses, ses doigts dans mon cul.
Cela dure un bon moment, je me retiens de jouir trop vite car c’est trop agréable.
Il s’applique et augmente un peu la cadence. Je sens la jouissance monter et lorsqu’il enfonce ses deux doigts profondément dans mon cul je ne puis plus résister et j’éjacule violemment dans sa bouche. Il ne me lâche pas pendant que je jouis, continuant à sucer et aspirer, avalant tout mon sperme. Il prend ensuite le temps de bien me nettoyer le gland avec sa langue. Je suis en nage dans mon costume cravate, le gilet toujours bien boutonné et serré.

Il se redresse et m’embrasse longuement, sa langue est dure comme une bite dans ma bouche, elle a le gout de mon sperme. Nous échangeons un long baiser.
Il finit pas se dégager et tranquillement à son tour dégrafe et baisse son pantalon :
-« Ca t’a plus ? A ton tour maintenant de me sucer »
Je suis surpris et désorienté de voir une bite énorme bien bandée, je ne m’attendais pas à cela vu que le gars est mince et élancé, et j’ai un petit mouvement de recul. Je la caresse quelques secondes, elle est chaude et douce comme on pouvait s’y attendre, et cela me fait de l’effet. Mais je prends peur, je me sens trop à sa merci, sous sa domination et je sais que je ne pourrais rien lui refuser, mais je ne suis pas prêt à prendre un tel engin dans mon cul.
-« Je suis désolé mais je ne peux pas. Merci pour ce que tu as fait, c’était très bon mais je ne peux pas, je ne eux pas aller plus loin. Pas ce soir»
Je remonte et ferme rapidement mon pantalon, prends ma veste et mon cartable et je le laisse en plan, dans mon bureau, son pantalon sur les chaussures, sa bite toute gonflé, l‘air désemparé.

Je rentre la maison un peu honteux. Ma femme est déjà couchée et dors ou fait semblant de dormeur. Je me déshabille rapidement et me glisse nu dans le lit. Je suis très excité et bande fort. Je mets ma tête entre ses jambes et me mets à la lécher. Elle ne dit rien mais très vite elle se laisse aller et écarte des jambes en me demandant de la prendre ce que je fais immédiatement. Nous faisons l’amour sauvagement, sans un mot et jouissons ensemble.

Le lendemain, je suis allé le trouver et me suis excusé :
-« Je suis vraiment désolé pour hier soir, je n’ai pas été correct et je n’aurais pas du te laisser de cette façon après ce que tu m‘as fait…je passe te prendre à midi, nous irons dans un endroit tranquille. Je dois me faire pardonner »
Il ne dit rien mais acquiesce avec u petit clin d’œil. En partant , je mets ma main dans son entre jambe pour être tout a fait explicite et je comprends qu’il m’a compris en sentant sa demie molle à travers le fin tissus de son pantalon. Je me mets à bander moi aussi, je le quitte rapidement.

La matinée passe vite et à midi pile je passe le prendre dans son bureau. Nous descendons rapidement dans le sous sol pour rejoindre ma voiture. Nous n’échangeons pas un mot durant tout ce temps, juste des caresses furtives et complices sur les fesses.
Je sors de l’immeuble qui est en bordure de la ville et me dirige vers un route de campagne où j’ai l’habitude d’aller pour voir des putes et où je sais qu’il y a des endroits tranquilles pour ce que nous allons faire.

En conduisant, je mets ma main sur sa cuisse et la caresse, il fait de même. Nous ne parlons pas mais nos mains commencent a s’agiter et nous bandons tous les deux.
-« Ouvre ta braguette s’il te plait, je veux mieux te sentir » je m’entends lui demander. Je suis dans un état second d’excitation.
Il le fait bien sur et comme il ne porte pas de sous-vêtement, ce dont je m’étais aperçu hier soir, je peux sortir son engin bander et le caresser.
Je trouve l’endroit idéal, en retrait de la route et des regards indiscrets et je m’arrête.
Aussitôt le moteur arrêté je me penche vers lui :
-« Je vais me faire pardonner pour hier soir si tu n’y vois pas d’inconvénient ! »
-« Ah non absolument aucun… vraiment » réponds-il en riant « Ne te gêne surtout pas. »

Il fini de dégrafer son pantalon, le baisse, recule le siège, s’allonge un peu en présentant son sexe bandé pour que je puisse m’occuper de lui à mon aise.
La position est parfaite. Je me mets à le sucer doucement, en lui malaxant tendrement les couilles. Il est bien dur et commence à juter. Il a bon gout. Ma langue fait des prouesses autour de son gland. Je sens qu’il apprécie. Soudain, il m’appuie sur la tête pour que je le suce à fond, j’étouffe mais ne dis rien. Je ne suis pas un spécialiste de la gorge profonde mais j’ai quelques notions et je m’applique à bien respirer, à bien la prendre au fond de la gorge pour lui donner le maximum de plaisir. La pipe devient un peu violente, je ne m’attendais pas à cela mais je suis sous sa domination et le laisse faire. Je suis de nature soumise et lorsque un partenaire, homme ou femme, veut exercer sa domination sur moi, je cède toujours et j’y prends mon plaisir. Il finit par relâcher la pression et je relève la tête pour respirer un bon coup… sa bite est gonflée et à son attitude je comprends qu’il est prêt à éjaculer aussi je le reprends en bouche et après deux ou trois pressions sur ses couilles, il jouit. De forts jets de spermes sortent de sa bite et remplissent ma bouche. Je suis si surpris de recevoir autant que j’ai du mal à tout avaler mais je m’applique à tout bien avaler comme il m’a fait hier soir.

-« Putain ma salope je te voyais pas comme ca, quelle suceuse ! tu m’as mis dans un sacré état ! Viens par ici. » Dit il en m’attirant à lui pour que je l’embrasse. J’aime sa façon d’embrasser comme la veille à part que cette fois c’est le gout de son sperme que nous avons en bouche. Le baiser s’éternise et ses mains vienne nt e caresser le sexe.
-« Tu v ...

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