Ah ! Le bois de Vincennes, lieu de tous les délices ! Beaucoup de "parisiens" gays connaissent cet endroit de perdition et je ne fais pas exception. J'ai des quantités de souvenirs de dragues plus ou moins aboutis. Voici une histoire vécue, parmi d'autres, peut-être à suivre…

C'est l'automne, il ne fait pas très beau, le ciel est gris mais il ne fait pas froid. Je me ballade sur les sentiers bien connus comme lieux de rencontres, à l'écart des "autoroutes" empruntées par les familles. J'arrive dans une petite clairière où se trouve, environ à 20m de moi, un gros tronc d'arbre couché sur le sol. Assis sur le tronc, un sportif d'une trentaine d'années portant un genre de caleçon clair, très moulant, qui fait des abdos. Il ne m'a pas encore vu. Je m'arrête et l'observe à distance. Il prend un temps de repos et reste debout, les fesses appuyées sur le tronc et me voit. Son appui sur le tronc fait ressortir une proéminence majestueuse dans son caleçon dont il ne se cache absolument pas. Au contraire, m'ayant vu l'observer, il se caresse doucement, lentement à travers le tissu. Son pénis prend un volume impressionnant. Je ne bouge pas mais je ne le quitte pas des yeux, son corps est magnifiquement dessiné. J'hésite à me rapprocher de lui, la clairière est quand même très dégagée, à la vue de n'importe qui. C'est lui qui vient vers moi, un petit sourire aux lèvres, son visage est très masculin, très séduisant. Mon cœur bat la chamade !

Mais au moment où il se trouve presque devant moi, il bifurque brusquement pour m'éviter et s'éloigne. Je me dis que c'était trop beau pour être vrai, que c'est foutu, "encore un connard d'allumeur !" Mon regard reste hypnotisé par lui, sur ses fesses musclées, et je le regarde s'éloigner, la mort dans l'âme.

Mais il ne va pas loin : il se dirige vers un bosquet un peu plus à l'abri des regards, se retourne vers moi puis baisse son caleçon et me fait signe. Mon cœur repars de plus belle !
Je m'approche de lui, saisis son sexe de mes deux mains qui ne suffisent pas ! Je m'agenouille et commence à le sucer avec des haut-le-cœur tellement son engin m'étouffe. Il me relève, se retourne et se penche en avant, me présentant s ...

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