J'ai toujours été un grand timide, et le premier surpris de plaire aux femmes, incapable que je suis de décrypter ces signes parfois si évidents. Ma première "copine", c'est à 20 ans que je l'ai rencontré, 1 ans et demi et une rupture après, je rencontrais celle qui partage toujours ma vie aujourd'hui.
Comble de l'ironie, c'est au moment où je me retrouve "casé" que les "occasions" se présentent...
Ma première sortie de route fut Lucie (j'ai modifié le prénom...au cas où). J'avais 23 ans.
C'était pour moi la fille inaccessible, 10 ans de plus, sûre d'elle, sexy, une vraie femme fatale. Elle faisait partie de mon cercle d'amis, j'évoluais dans le milieu de la techno et c'était la reine du dancefloor.
Un été nous étions dans une rave dans les landes, alcool et drogue a foison... la routine.
A un moment dans la nuit, profitant d'une pause clope, elle me lance "Putain si seulement t'étais pas maqué, j'te violerais!"
Autant vous dire que je n'y croyais pas ! "Trop de coke..." me suis-je dis. Malgré ses avances, je n'ai rien fais.
Plus tard, le jour s'étant levé, elle m'a proposé (avec 1 autre amie) d'aller se poser à la plage. J'avais encore en tête ce qu'elle m'avait dis quelques heures plus tôt... Sur la plage, toutes 2 se sont mises seins nus (une situation somme toute inhabituelle pour moi, me retrouver avec 2 filles les seins à l'air...). Ses seins n'étaient pas très gros (pour ne pas dire minuscules) mais elle avait un cul d'enfer mis en valeur par son string...
Plus le temps passais et plus l'envie de saisir l'occasion s’immisçait. Ma copine était absente une semaine, l'occasion était trop belle...
A la fin de l'après midi, je proposais donc que l'on mange chez moi... Nous avons mangé, bu un peu de vin et notre amie parti après le dessert mais je vis que Lucie s'attardait.
Ce fut pour moi un signe que ce qu'elle m'avait dit était sincère et qu'elle attendait quelque chose.
Un fois seuls, je la rejoins sur le canapé et sans réfléchir je l'ai embrassé et là, je senti cette fille, que je voyais comme une croqueuse d'homme, trembler en poussant un petit gémissement...
Cela provoqua chez moi un sentiment nouveau, bestial, je passais une main derrière sa tête pour lui saisir les cheveux tout en l'embrassant tandis que mon autre bras entourait fermement ses hanches. Autre petit gémissement, ce n'était plus une femme fatale mais une fille fragile, soumise. Autant dire que ma virilité pris un coup de boost! Je bandais comme un âne. Je lui ai enlevé ses vêtements, elle se laissait faire, ce mélange de soumission et d'envie qu'elle me renvoyait m’excitait de plus en plus.
Après avoir retiré son string, je découvrait un sexe entièrement épilé (je m'y attendais, connaissant le "personnage"). Glissant ma tête entre ses cuisses, j'ai commencé à lui manger la chatte. Elle était déjà trempée, je l'en ...

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