Après cette première soirée, nous en voulions encore... Son départ approchait et nous voulions pouvoir laisser libre cours à nos envies dans un cadre plus discret. Nous nous sommes donné rendez-vous quelques jours plus tard avec l'idée d'investir notre lieu de travail, de nuit, à l'abri des regards...
Ce rendez-vous était excitant à plus d'un titre car, en plus d'assouvir nos pulsions "secrètes", pénétrer de nuit dans le bâtiment a considérablement augmenté notre taux d'adrénaline.
Nous avons commencé les préliminaires dans l’ascenseur pour ensuite élire domicile dans mon bureau.
Seulement éclairés par les lumières de la rue et les lampes indiquant les sorties de secours, l'ambiance était particulièrement enivrante, pleine d'interdits.
Je pu enfin la voir nue, son corps me rappelait énormément celui de Lucie, fine, des seins très petits, mais des hanches et des fesses à se damner (sans parler de ses longues et fines jambes). J'adorais particulièrement son cul, ses fesses s'écartaient toutes seules lorsqu'elle se cambrait dévoilant son petit trou...

Une fois nue, elle s'allongea sur mon bureau, ses fesses reposant sur le rebord. A genou face à sa chatte ainsi offerte : je me mis à table, doucement au début, par petits coups de langues sur ses lèvres et son clitoris (provoquant à chaque fois un petit sursaut de sa part) puis de façon plus volontaire pour goutter le sel de son sexe déjà trempé. Passant mes mains sous ses cuisses je soulevais ses jambes pour accéder à son cul, ses fesses s'écartèrent et je me mis à lui lécher l’anus, enfonçant ma langue de plus en plus fort.

N'en pouvant plus (et elle non plus), je me relevais, la tint par la nuque pour qu'elle se redresse (je voulais voir ses yeux) et une fois de plus j'entrais en elle sans aucun effort, d'un seul grand coup de rein et elle eu cette même expression de satisfaction mêlée d'incrédulité que la première fois...
Nous avons baisé sur ce bureau sans nous quitter des yeux dans cette quasi pénombre, nos gémissements résonnant étrangement au milieu du silence. Nous avions manqué de précautions lors de notre premier rapports (pas de risque d'MST, mais elle ne prenait pas la pilule...), elle m'a demandé de la prévenir et quand j'ai senti l'orgasme arriver je me suis retiré et elle m'a pris en bouche pour finir... Et qu'elle bouche ! Elle a avalé ma queue comme si sa vie en dépendait, je sentais sa langue rouler autour de mon membre, et alors que j'explosais dans sa bouche elle gémit, avalant goulûment mon sperme dans un soupir, comme soulagée, rassasiée...
Regardant mon bureau je vis à l'endroit où ses fesses reposaient quelques instants avant, la marque humide de son excitation...Nous nous sommes rhabillés et avons fait un brin de ménage et de toilette (pour elle, moi elle m'avait rendu une bite parfaitement "nettoyée").

Nous étions début août, tout deux en congés et Laé sur le départ, nous ne devions plus nous revoir...
Nous sommes tout de même restés en contact numérique épisodiquement durant les vacances et quelques jours avant la rentrée, Laé m'annonce qu'elle doit reporter son départ suite à quelques difficultés administratives. Nous allions donc nous retrouver en tant que collègues...
C'était une situation totalement inédite pour nous deux et en même temps très grisante : nous partagions un secret, impossible de la voir sans penser à sa chatte trempée dévorant ma queue. Nous échangions souvent des regards complices et très vite l'envie de rester amants fut évidence. Nous nous sommes vus autant que nous le pouvions, le plus souvent chez elle, je prétextais des rendez-vous durant ses congés et nous passions souvent l'après midi à baiser.
Avec Laé j'ai vraiment eu l'impression de trouver un alter-ego sexuel, nous avions le même gout des longs préliminaires et des caresses buccales mutuelles (nous adorions tous deux le célèbre 69), je garde encore en tête l'image de sa croupe offerte sur mon visage, ses fesses écartées me laissant le loisir de glisser ma langue tantôt en bas, tantôt en haut...

Il serait trop long (et fastidieux) de raconter tous ces moments dans le détail, néanmoins il en est un que j ...

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