Le samedi suivant mon épouse Sophie vient me rejoindre le temps du week-end. Nous avons rendez-vous l’après-midi pour visiter, je l’espère, notre future maison.
Je vais chercher Sophie à la gare et nous nous rendons directement au RDV. Après une semaine sans se toucher, nous avons très envie l’un de l’autre. Pendant tout le trajet nous ne cessons pas de nous caresser. J’ai glissé ma main droite sous sa robe courte et je luis caresse le sexe. Sophie a écarté sa culotte et je peux introduire un doigt dans son vagin ; elle me caresse à travers mon pantalon…je la sens mouiller de plus en plus !! Malheureusement le trajet n’est pas assez long pour que je la fasse jouir…et c’est tout excité que nous arrivons devant la maison !!
Diana, qui représente l’agence immobilière, nous attend. En effet pendant cette phase de négociation toutes les relations avec les propriétaires doivent se faire par l’intermédiaire de l’agence… J’ai cependant fait une légère entorse à cette règle le week-end dernier (voir chapitres précédents).

C’est Sabine, la propriétaire, qui nous ouvre, habillée légèrement sexy, petit short et t-shirt moulant ; tout ce qui faut pour que la bosse de mon pantalon reste bien formée ! En présence de l’agent immobilier je garde mes distances et je lui tends la main… mais intérieurement j’ai une folle envie de l’embrasser, de caresser ses seins et son cul bien rebondi !! Je lui présente mon épouse, que j’imagine encore bien excitée ; elle doit sentir sa mouille couler et inonder sa culotte…
J’ai raconté à mon épouse toute l’histoire avec Sabine, nos échanges dans le train puis dans le parking souterrain de la gare. Mais Sabine ne sait pas que ma femme est au courant. Elle reste sur la réserve et ne s’ouvre pas aussi facilement que lors de ma précédente visite.
Nous débutons cette visite par l’intérieur de la maison. Quand l’occasion le permet je n’hésite pas à frôler Sophie. Dans le cellier qui n’est pas très grand pour quatre, j’arrive même à me coller contre elle pour lui faire sentir mon excitation ; je sens Sophie écarter les cuisses et se pencher légèrement en avant pour bien sentir ma bosse contre ses fesses !! Sabine s’en aperçoit et je peux lire dans ses yeux qu’elle a aussi envie de se coller à moi…
La visite se poursuit ; dans la fameuse chambre la télé est éteinte et il n’y a pas comme la dernière fois un film amateur qui passe en boucle. D’ailleurs Sabine semble seule, son futur ex-mari n’apparaît pas.
A la fin de la visite, Sabine nous propose un rafraîchissement sur la terrasse. Diana s’excuse de ne pas pouvoir rester mais je conviens avec elle d’un RDV à l’agence le vendredi suivant pour remplir tous les documents.

Avant d’aller sur la terrasse, Sophie demande à passer aux toilettes. Si elle a une envie pressante, je pense également qu’elle souhaite assécher son entre-jambe et sa culotte. J’y serai bien allé avec elle pour la nettoyer, après l’avoir bien léché pour la faire jouir….
Je profite alors d’être seul avec Sabine pour l’attirer contre moi. Elle se colle à moi et m’embrasse fougueusement. Nos lèvres s’écrasent l’une contre l’autre, nos langues se mêlent. Comme j’en avais envie depuis le début de la visite, je lui caresse les fesses et la presse contre moi pour qu’elle sente à son tour ma bosse toujours bien dure. Elle se retourne pour la sentir contre ses fesses, je pose mes mains sur ses deux seins et je les malaxe ; j’embrasse Sabine dans le cou. Elle pousse un long soupir de plaisir, tout heureuse de sentir mes mains sur elle !!
Tout en continuant à lui caresser la poitrine d’une main, je descends l’autre vers son sexe. Directement je passe un doigt dans l’échancrure de son short, et je sens sous mon doigt sa fine toison pubienne ; Sabine est nue sous son short !! Je vais finir par penser qu’elle ne porte jamais de culotte ou, comme la fois précédente, elle a prévu qu’elle serait plus à l’aise sans… sans cet obstacle j’arrive à atteindre l’entrée de son sexe et à sentir son clitoris gonflé.

« Ah ça fait du bien » C’est Sophie qui nous rejoint sur la terrasse.

En un éclair Sabine s’écarte de moi, redoutant les foudres de mon épouse à cause de ce moment d’égarement.

« Ne soit pas inquiète Sabine, Sophie est au courant de tout » lui dis-je pour la rassurer.

« Oui tout à fait. Mon mari m’a raconté votre voyage et l’arrivée à la gare dimanche dernier. Il m’a décrit votre plan cul dans les moindres détails » confirme Sophie.

Sabine est un peu contrariée d’entendre qu’il ne s’agit que d’un plan cul, mais je la vois ensuite soulagée que cette situation ne tourne pas en pugilat.

« J’ai moi-même été occupée dimanche soir » ajoute Sophie. « J’avais commandé des sushis et le livreur, un grand black, est resté plus longtemps que prévu. Il avait un sexe ; hummmmm, j’en mouille encore !! »

« Ah bon ? Je vais vérifier ce que tu dis » dis-je à Sophie

« Et moi aussi je suis toujours humide depuis dimanche soir » dit Sabine malicieusement.

Et nous rigolons joyeusement tous les trois ; L’ambiance devient plus coquine !!

«Ça vous dit de vous rafraîchir dans la piscine ? » demande Sabine. « Je viens d’avoir un coup de chaud »

« Mais nous n’avons pas de maillot » répond Sophie

« Pas besoin. Il n’y a aucun vis-à-vis. Je me suis rarement baignée en maillot dans cette piscine »

Et Sabine ôte son t-shirt et son soutien-gorge, puis déboutonne son short qui glisse à ses pieds. Elle apparaît nue devant nous et je la découvre en pleine lumière, un corps ravissant et attirant : de beaux seins biens fermes, un sexe épilé juste comme il faut. Et quand elle va vers la piscine sans nous attendre, je peux admirer ses fesses rebondies. Sophie et moi ne voyons aucune objection à nous baigner nu et nous nous déshabillons. A peine avoir enlevé mon slip mon sexe prend une belle forme.

« Et bien elle te fait de l’effet Sabine » me fait remarquer Sophie en voyant l’état de mon sexe

« Mais non, c’est toi. Je suis dans cet état depuis que tu m’as caressé dans la voiture ».

« Je suis tout autant excitée que toi ; j’ai dû aller aux toilettes enlever ma culotte tellement elle était humide » ajoute Sophie.

Nus tous les deux, je m’approche de Sophie et je l’enlace ; je sens sa peau contre la mienne, je l’embrasse amoureusement. J’aimerai l’allonger sur la table de la terrasse et lui faire l’amour. Mais Sabine nous attend dans la piscine ; nous la rejoignons.
 
Quand j’arrive au bord de la piscine je ne peux pas masquer mon érection. Sophie est debout à côté de moi et pose une main sur mon sexe pour me masturber. Elle décalotte lentement mon gland, bien à fond, puis le recouvre à nouveau avec le prépuce. Mon plaisir augmente et mon sexe est maintenant bien tendu ; mon gland est gonflé. Sabine, déjà dans l’eau, admire le spectacle et se lèche les lèvres, prête à foncer sur mon sexe comme une affamée.
Je passe une main dans le dos de Sophie puis je la descends vers ses fesses…je parcours sa raie avec mon majeur et le glisse entre ses deux fesses. Sophie écarte les jambes pour me faciliter l’accès à son sexe. Je pose mon majeur à l’entrée de son sexe et je m’enfonce en elle. Sophie est humide et j’effectue des vas et viens dans son vagin qui l’a font mouiller de plus en plus. Puis je donne un coup plus fort qui la pousse dans l’eau. Sophie rouspète comme une petite fille à qui on ne lui a pas laissé finir sa sucrerie !!
Je saute à mon tour dans l’eau et les deux femmes viennent me rejoindre. Elles se collent à moi de chaque côté et m’embrassent. Je passe ma main dans leur dos et les caresses, les attirant encore plus contre moi. Je sens leurs tétons durcis contre mon torse. Sabine est la première à poser sa main sur mon sexe et à me masturber. Sophie m’embrasse à pleine bouche ; j’adore sa saveur qui est différente de celle de Sabine. Elle veut aussi embrasse Sabine, mais Sabine se dérobe et vient m’embrasser. A priori Sabine n’est pas bisexuelle, Sophie va être déçue.
Je me penche pour embrasser les seins de Sophie. Comme ils sont légèrement sous l’eau, je passe ma main sous sa taille pour la soulever et pouvoir attraper à peine bouche son téton gauche. Il est bien formé, dur ; je le mordille et je tire dessus. Sophie apprécie car elle pousse des ouiiii de plaisir ; et je peux la voir ...

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