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Tonton Jules.

Publié par : routiers76 le 09/07/2024


Tonton Jules.

Été 1980, Je pars à l’armée pour mon service en Octobre.
J’ai 19ans et j’ai décidé de ne rien glander les deux derniers mois.
Bien sûr, quant tu vis encore chez tes parents, cela ne se passe pas toujours comme tu veux !
En rentrant un soir du travail, mon père qui avait dû arroser la fin de semaine me rend à part et me dit ! :
« François, c’est pas possible que tu restes à ne rien faire pendant que ta mère et moi on est au boulot !
J’ai eu ton oncle, il a besoin d’un manœuvre à sa ferme, il veut bien te prendre pour deux mois, il te paiera, tu ne sera pas malheureux, il t’aime bien ! Tu pars demain, je te conduis à la gare, il te réceptionnera à Caen ! «
Mis au pied du mur sans aucune alternative, je ne peux qu’obéir ! Mon oncle Jules a perdu sa femme il y a deux ans. C’est vrai que pour lui cela ne doit pas être facile.
Le lendemain, comme prévu, mon père me conduit à la gare de Rouen pour mon départ vers Caen. Le trajet est rapide. Je suis aussitôt pris en charge par mon oncle.
Il m’attend sur le quai, avec son vieux costume. C’est un homme âgé de la soixantaine, chauve et légèrement bedonnant. Aussitôt, il me sert dans ses bras et m’embrasse, me remerciant d’avoir accepté son offre, sans savoir que je n’avais aucun choix !
Arrivé à sa petite ferme dans le village avoisinant de Saint André sur Orne, il nous fait cuire un plat de nouilles avec des œufs aux plat. Dès le repas terminé, il me déclare :
« Bon, on ne perd pas de temps, mets toi en tenue de travail, on va dans le jardin faire des propretés !»
Je suis étonné, car on est Samedi, et je pensais me reposer ! Je me change et passe un short large et un Marcel.
En me voyant, l’Oncle Jules rigole de bon cœur !
« Ou tu crois être, on est pas à la plage !
Bon, c’est pas grave, tu pourras même enlever ton Marcel si tu veux prendre des couleurs !»
Nous allons rapidement au jardin, on commence à enlever les mauvaises herbes, mon oncle est derrière moi et vérifie que je ne rate rien. Il est torse nu.
Je fais de même.
Je sens bien qu’il me surveille de près, mais j’ai comme l’impression en faite qu’il me mate le derrière. Accroupi, je fais en sorte de baisser mon short au maximum pour qu’il puisse voir le début de ma raie culière.
Il est plus près de moi, juste au niveau de mon derrière, j’ai vu juste, mon anatomie semble lui plaire. Tonton Jules serait il devenu BI ?
Cela me permet de ralentir la cadence, il est trop occupé à profiter de la vue de mon cul pour me demander d’aller plus vite ! A 18 H 30, le tonton décide d’arrêter. Son visage est rouge par l’excitation. On remet chemise et Marcel. Il se passe un coups de serviette et me dit :
« Bon, on passe à l’apéro tranquillement, puis on ira à la douche ! «
« Super Tonton, ça va nous faire du bien ! «
Je file d’abord au WC, et j’en profite pour enlever mon slip qui me serrait un peu les couilles.
Hum, je me sens mieux !
Lorsque je reviens dans le petit salon, L’oncle a servi deux Ricard bien tassés.
« Tu veux des glaçons François ? «
« Oui, SVP Tonton ! «
« Oh, arrêtes de m’appeler Tonton, Jules ou Juju me suffise ! «
« Ok, je vais essayer ! «
Jules a enlevé sa chemise, pour un homme, il a une bonne poitrine !
Nous buvons notre Ricard avec des petits biscuits. Nous discutons tranquillement en rigolant. Jules nous remet une deuxième tournée.
« Oh, j’ai chaud, j’enlèverai bien mon Marcel ! «
« Vas y, mets toi à l’aise mon François ! «
Son ton est affectif. Ses yeux sont brillants, certainement l’alcool.
« Oh, mais tu as pris des coups de soleil, je te passerai de la pommade spéciale si tu veux bronzer !»
Nous finissons nos verres. L’apéro m’a grisé, je suis gai et heureux d’être chez Tonton, cela me change de la routine chez les parents !
« Allez, à la douche, on reprendra un petit apéro plus tard !»
Je suis Jules jusqu’à la salle ce bain. Sans hésiter, il se déshabille devant moi. Son corps est intégralement bronzé, et son membre décalotté est à l’horizontal !
« Allez, à poils, tu ne vas pas prendre une douche en short ? «
Sans répondre, je baisse mon short et me retrouve nu devant Tonton.»
« Tu n’as pas de slip ? T’as raison, je fais pareil quant je suis seul ! Hé bien, les gonzesses doivent être heureuses avec une si belle queue ? «
Je suis gêné, et en plus, il me mate avec un air vicieux !
« Allez, passes devant, on va économiser de l’eau, on prend la douche ensemble ! «
La fatigue et l’alcool me laisse sans réaction, je rentre en premier dans la douche Italienne, Jules me pousse un peu et a posé sa main sur ma cuisse gauche.
Je règle le mitigeur, l’eau est tiède, je m’arrose, Jules commence à me badigeonner de gel moussant. Ses grosses mains courent sur mes épaules, mon dos, puis descendent sur mes fesses.
Je ne dis rien, ma respiration s’accélère. Tonton masse doucement, puis il passe ses doigts entre mes fesses et me frictionne ma raie effleurant mon anus, qui sous la caresse se contracte.
« ça te fait du bien les frictions de ton oncle, tu ronronne mon cochon ! «
Puis, il passe à ma poitrine et frictionne mes seins. Mon sexe répond à l’appel et se dresse, Jules l’a vu et descend sa main pour l’empoigner. Doucement, il commence à le branler. Grâce au gel moussant, il me décalotte et m’astique sans problème, Je me sens flageolant et sans y faire attention, je m’appuie su Mon oncle.
Lui, plus résistant à l’alcool que moi, profite de la situation. Il me sert dans ses bras et le souffle haletant, se colle contre moi. Je sens son sexe qui frotte contre mes cuisses.
« Allez, à toi de me savonner, tiens le gel.»
Je prends le flacon, en mets une giclée dans le paume de ma main et commence à lui frictionner ses épaules. Il a écarté ses jambes. Ma main descend au bas de son dos, je lui frotte bien celui-ci. Je ne le vois pas, mais je pense qu’il se masturbe en même temps.
« Plus bas, fais aussi mon derrière ! «
J’obéis, et lui frictionne ses fesses, elles sont bien rondes et bronzées totalement. Je fais comme il m’a fait, je glisse mes doigts avec du gel dans sa raie et la frictionne plusieurs fois.
Là, il se retourne en me disant :
« L’autre côté aussi, n’hésites pas ! «
Son sexe dressé m’attire, mais je n’ose pas, c’est mon oncle et si il le disait à mon père !
Je commence donc à lui savonner sa poitrine, elle est digne de celle d’une femme, et pas de poils !
Je descends ensuite sur son ventre, Jules bien qu’enrobé ,’est pas gos, juste un petit ventre bien rond, sans poil et bronzé, j’aime le frictionner !
Lui est impassible, les yeux fermés il profite du moment, sa respiration est forte !
Comme il me l’a fait, j’empoigne son sexe dressé et le fric ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay, Branle, Fellation, Jeunes, Mûrs, Européen(s)