.Le fantasme de la chambre 520.

Pierre a attendu ce moment avec excitation. Le voilà qui s’approche enfin de la chambre 520 dont les chiffres résonnent dans sa tête comme un refrain sans fin.
« 520, 520, 520… », murmure-t-il au rythme de ses pas.
Perdu dans ses pensées coquines, Pierre manque de percuter un homme en costume dans le couloir. Celui-ci le toise alors avec un petit sourire en coin puis le dépasse.

Enfin… plus que quelques mètres avant la porte de la chambre, dernier rempart vers un moment d’intense plaisir.
Pierre jette un coup d’œil à gauche puis à droite. L’homme en costume le fixe une dernière fois, puis pénètre dans l’ascenseur. Etrange mais qu’importe car l’enjeu du moment est ailleurs.
Devant la porte, la main sur la poignée, Pierre est immédiatement saisi par les gémissements qui émanent de la chambre. Il croit reconnaître les petits cris cristallins de Marie, partiellement recouverts de bruits plus rauques.
Etonné, Pierre pousse la porte entrebâillée.

La scène qui s’offre à Pierre le saisit immédiatement.
Dans la chambre que la nuit tombante commence à obscurcir, Marie trône là, sur le lit, à quatre pattes.
Les lampes de chevet posées près du lit diffusent une fine mais chaude lumière qui enveloppe son corps offert.
Les petits cris étaient bien les siens. Car Marie agite sur sa culotte en dentelle un petit vibro violet, charmante attention de Pierre lors d’un précédent rendez-vous.
Pierre admire sa femme en action. Elle a les cuisses écartées et les fesses bien relevées. Son menton repose sur un oreiller. La cambrure qui part de ses reins et glisse jusqu’à ses épaules délicates dessine une vague divine.
Trop accaparé par le spectacle offert par Marie, Pierre ne s’aperçoit pas tout de suite que le téléviseur de la chambre est allumé. Les images qui défilent montrent d’abord une femme au look BCBG se faire caresser par les mains d’un bel homme black à la carrure musculeuse, puis des plans de plus en plus resserrés sur son entrejambe que son amant semble convoiter avec envie et gourmandise. La fente de la femme paraît si trempée qu’elle a surement dû déjà se faire prendre avec force par l’homme.
Pierre comprend alors que les bruits sourds qu’il entendait devant la porte n’étaient rien d’autre que les expressions de plaisir de cet acteur à la silhouette taillée dans l’ébène.
Et que l’homme en costume au regard insistant aperçu dans le couloir avait dû lui aussi entendre les râlements lorsqu’il passa de ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite