Les Beaux Parents ! ( Suite 1. )

Depuis que ma belle mère Ginette m’a réveillé d’une manière inattendue, je ne pense qu’à cela ! Cela fait deux mois que je n’ai pas eu l’occasion de me retrouver seul avec elle.
Aujourd’hui, Vendredi, la petite famille est réunie. Ils sont venus passer le W-E avec nous. J’ai fini ma semaine ce matin et Martine a terminé pour 17 H 00. Nous allons passer un bon W-E ensemble pour une fois.
Nous prenons donc l’apéro. Martine est assise face à moi, lui en bout de table à ma gauche, et Ginette à ma droite. Je laisse Claude me préparer un Ricard. Alors qu’il sert mon verre, je me lève en lui disant :
" Je vais chercher de l’eau fraîche et des glaçons ! «
Martine reste assise. Je m’empresse de pénétrer dans la cuisine ou Ginette est affairée à préparer un rôti qu’elle a amené, et là, sans attendre, je passe ma main sous sa robe et lui caresse son cul.
Elle se tourne vers moi, je lui prends la bouche.
Nos langues s’ entremêlent dans un tournis sans fin.
De sa main gauche, elle me malaxe les bourses.
Je mets fin à ce moment de folie et attrape une carafe d’eau que je remplis.
« J’ai envie que tu me baises, grand fou ! « me dit elle.
Je n’ai pas le temps de répondre qu’ arrive Martine.
« Tu veux un coups de main François ? «
« Non, tu peux aller t’asseoir ma Chérie, je prends des glaçons et j’arrive ! «
Martine retourne à la salle à manger, nous laissant seuls.
J’en profite pour peloter ses fesses en lui disant :
« Tu enlèveras ta culotte pour dîner, je veux toucher ta moule ! «
e repars avec la carafe d’eau et les glaçons vers la salle.
« Hé bien ! T’as été les chercher au Pôle Nord tes glaçons ? « déclare en rigolant le beau père !
« Non , mais il fallait les démouler ! ! «
Nous sommes installés à table, les femmes dégustent leur vin cuit. Je trinque avec le beau père. Ma chaise reculée, je peux voir que Ginette a relevé sa robe à mi cuisses, elle est motivée la belle mère !
J’avance ma chaise, bois une gorgée, pose mon verre, et glisse ma main droite sous la table à la recherche de ses cuisses.
Elle penche son corps vers la table et écarte les jambes.
Ça y est, ma main est au contact de ses cuisses, je remonte lentement vers le point crucial : sa chatte.
Bien écartée, je peux accéder à ses lèvres vaginales qui sont entrouvertes.
Je glisse un doigt dedans, elle est bien mouillée la cochonne ! je lui enfonce au plus loin que je peux et le retire en faisant attention de ne pas perdre au passage sa liqueur.
« Tu as chaud ! « me dit Claude en voyant une goutte de sueur sur mon front !
« Oui, c’est vrai qu’il fait bon chez Nous ! «
J’en profite pour porter le doigt à ma bouche et déguster son jus.
« Tu peux te mettre torse nu si tu veux ! cela ne dérangera personne ! Hein Martine !«
Je le prends aux mots et enlève mon tee short
Il me ressert un deuxième Ricard, je retourne chercher de l’eau fraîche dans la cuisine, Ginette me suit prétextant surveiller la cuisson du rôti !
Là, elle me lèche mes tétons, moi je lui tripote sa poitrine, nous sommes fous !
Le repas se poursuit, nous passons au rôti haricots verts. Par deux fois, je sens la main de ma belle mère qui me malaxent les couilles.
Je sers le vin au beau père.
Ginette s’empresse de lui dire :
« Tu vas encore ronfler avec l’alcool que tu as bu ! Je dormirai dans le salon ! «
"Pas de problème, de toute façons, j’ai plus rien à espérer ! «

Le repas se termine par une glace, Claude me demande un digestif, j’en prends un avec lui, car je veux le finir !
Je sers un bon Cognac que je savoure avec lui.
Ginette débarrasse la table avec sa fille.
Puis, Martine vient me voir en me disant que fatiguée, elle va se coucher et me demande de pas faire de bruit si elle dort !
Voilà, comme Claude, je vais être privé, heureusement qu’ il y a une solution de rechange.
Claude bien alcoolisé se lève, et embrasse Ginette. Celui-ci en profite pour lui passer la main au cul sous sa robe et remarque qu’elle n’a pas de culotte. Il sourit et ne dit rien.
Je me ressers un verre de Cognac pour patienter. Je regarde Ginette qui déplie le canapé et fait son lit. Elle part dans la salle de bain et revient un peu plus tard en nuisette courte de couleur noire.
Elle s’allonge dur le matelas, les jambes entrouvertes et les bras le long de son corps.
Mon verre vide. Je m’assure que Claude est bien couché ! Il dort déjà comme une souche en ronflant !
J’ entrouvre la porte de ma chambre et j’aperçois Martine qui dort ! je lui ferais sa fête une autre fois !
Je passe par la salle de bain, enlève mon pantalon, je me lave les dents, puis mon bas ventre, je décalotte mon sexe et le nettoie, je frictionne mon anus et le rafraîchis.
En slip, je me dirige vers le salon.
Dans l’obscurité, je cherche sur le lit le corps de ma belle mère !
Ça y est, mes mains tombent sur ses fesses, elle est sur le ventre, une invitation ?
J’écarte ses jambes, je lui caresse son cul dodu. Ma main passe dans sa raie culière.
Elle gémit déjà de plaisir, j’ai senti son œillet humide, j’ai envie de le goûter !
Ma langue en avant, je pars à la recherche de son postérieur. Elle a cassé son cul pour mieux me l’offrir.
Ma langue est en contact de son anus, je lui lèche son pourtour avec délectation !
Il est vivant, et sous mes caresses se dilate et se contracte, comme ...

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