La femme du gardien.

Je me prénomme Paul, avec mon épouse Christine, nous vivons dans une vieille résidence d’une quinzaine d’appartements.
Nous sommes mariés depuis une vingtaine d’années et n’avons pas d’enfants. Notre vie est réglée comme celle de nombreux couples au rythme du travail.
Christine est secrétaire administrative, et sous ses airs de femme sérieuse à la maison, elle s’évade dès qu’elle est à son travail avec ses nombreux collègues.

J’ai la cinquantaine, et j’ai fait le tour de la chose avec ma femme. Je voudrais qu’elle soit plus sexy et entreprenante, je me rattrape en la trompant à chaque fois que je le peux.
Notre appartement au troisième étage est un vrai nid d’amour ou on a eu de bons moments, mais la monotonie est maintenant installée au rythme des soirées télévision.
Il aura fallut un accident de la vie pour que de nouveau l’envie et le plaisir ne reviennent !
Le nettoyage et l’entretien de la résidence sont assurés par Tonio le gardien. C’est l’homme à tous faire pour les résidents. Âgé de la quarantaine, il est brusque et bourru, et coléreux, surtout lorsqu’il a bu. Sa brave femme Maria, subit ses humeurs sans rien dire.
C’est une petite femme d’un mètre soixante, au teint halé. Elle a une belle silhouette sans un poil de graisse, ornée par une magnifique poitrine. Ses longs cheveux bruns sont toujours attachés en chignon. Elle ne sourit jamais, pas habituée aux plaisirs de la vie.
Avec son mari, Tonio le rustre, elle n’est pas de câlins. Et lorsqu’il la prend le soir après avoir ingurgité sa bouteille de rouge, il n’existe pas de préliminaire ! Il la baise en l’insultant.
Ils occupent un duplex au RDC.
Ce matin là, Je suis intrigué par le vacarme dans les escaliers. En sortant, j’ aperçois des pompiers qui brancardent Tonio.
Sa femme présente est en pleurs.
Après renseignements, j’ apprends que le concierge, apparemment ivre est tombé de l’escabeau en voulant changer des ampoules.
Vu sa chute, il est hospitalité au CHU, car il a une fracture ouverte à la jambe.
Tous le monde est parti, Maria reste seule, accoudée au garde-fou. Je m’approche d’elle, passe ma main sur son épaule et l’invite à prendre un café à l’appartement pour se remettre. Ma femme est au travail.
Maria accepte, comme d’habitude, elle a sa blouse rose mi longue ouverte jusqu’au genoux.
Je la fais asseoir dans le salon et mets la cafetière en route.
« Ne t’inquiètes pas Maria, ça va aller, il est entre de bonnes mains ! Tu pourras aller le voir cet après midi !»
« Ce n’est pas cela qui m ’inquiète? C’est plutôt quant il reviendra me répond elle en pleurant.
Attristé par ses larmes,, je me rapproche d’elle et la prends dans mes bras. Elle continue à sangloter, se lève et se serre fort contre moi.
Ses seins s’écrasent sur le haut de mon corps, machinalement, je passe ma main dans ses cheveux coiffés en chignon. Je ne sais pas ce qui me prend, mais je défais le lien qui tient ses cheveux.
Là, je passe mes doigts dans ses longs cheveux.
« Tu es plus belle comme cela Maria ! «
Elle me regarde en souriant, je lui caresse ses joues, mes mains descendent sur sa blouse la déboutonne.
J’écarte le pan de sa blouse et découvre sa poitrine enfermée dans un magnifique soutien gorge noir à dentelles.
Je ne peux pas résister plus longtemps, et je l’embrasse.
Elle n’oppose aucune résistance et m’offre sa bouche en me passant sa main dans mes cheveux.
Je sens qu’elle a besoin de tendresse, je lui enlève sa blouse qui tombe au sol et lui caresse son corps en cherchant l’agrafe de son soutien gorge.
Péniblement j’arrive à lui enlever, laissant sa poitrine retomber et s’exhiber devant mes yeux. Deux gros mamelons ornent ses seins ronds.
Je m’empresse de ...

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