L’aire de repos.

Je prends régulièrement la voie rapide entre Neuchâtel en Bray et Rouen pour des raisons professionnelles.
En ce mois de juin, il fait super beau et c’est bien agréable. Il me reste une vingtaine de kilomètres à effectuer, je suis pris d’une envie d ’uriner !
Je ne pourrai pas attendre l’arrivée à mon domicile. Heureusement, je ne suis pas loin de l’aire de repos de Quincampoix. Je vais y faire une halte !
Je mets le clignotant et m’apprête à me garer. Il n’y a pas trop de monde, juste deux ou trois attelages routiers, et quatre à cinq véhicules de tourisme.
Alors que je me dirige à pieds vers les toilettes, mon attention est attirée par une femme âgée de la soixantaine. Elle est assise sur un petit siège pliant entre un vieux camping-car et un VL. Elle est occupée à tricoter.
A mon passage, elle relève la tête et me sourit en me disant :
« Bonjour Monsieur ! «
Je fais de même en lui rendant son sourire.
Bien vêtue, elle porte une petite robe en tissu à fleurs. Ses sandales ajourées laissent passer ses doigts de pieds ornés d’un rouge vif excitant.
J’ai juste eu le temps d’apercevoir ses petits yeux verts derrière ses lunettes rondes. Avec ses petites bouclettes blondes, elle est bien excitante, même pour son âge !
Je pars donc effectuer ma mission aux toilettes, tout en pensant à cette charmante dame. J’en ai même un début d’érection.
Après m'être soulagé et m'être lavé mes mains, je reste dans l’entrée des toilettes et j’observe la petite dame. Après un moment, je la vois discuter avec un chauffeur et monter ensuite dans sa cabine.
Il se passe un bon quart d’heure avant qu’elle ne redescende et reprenne son ouvrage.
Je décide enfin de quitter les toilettes, je me dirige vers elle en sifflotant.
Elle me sourit sans rien dire, et je continue mon chemin, comme un con.
Le lendemain, faisant de nouveau la route, je suis remonté comme un coucou, je décide de nouveau de m’arrêter à l’aire à mon retour. Je suis comme un puceau qui doit aller se vider.
J’arrive sur l’aire et reconnais le vieux camping-car. Je décide de me garer au plus près. La dame est là, occupée à son tricot
Je m’approche d’elle, bien décidé à prendre contact.
« Bonjour Monsieur, vous allez bien ? «
" Oui ,super la journée est finie ! .»
« Déjà, il est tôt, à peine quinze heures ? «
« Je ne travaille plus, je suis retraité ! «
« Vous avez de la chance, en retraite si jeune ! «
" Oui, merci, bonne journée ! «
« Si vous avez le temps, nous pouvons prendre un verre ou un café ensemble ? «
" Avec plaisir, je ne suis pas pressé ! «
La dame se lève et m’invite à la suivre. Tout en la suivant jusqu’à l’entrée du camping-car, je ne fais que mater son derrière et par transparence, j’imagine ses fesses.
Elle, tout en roulant du cul, se tient à la hanche avec sa main droite.
« Nous y voilà, je passe devant vous ! «
Je la suis, avec déjà une trique. Elle m’invite à m’asseoir et me propose un café que j’accepte.
" Moi, c’est Monique, et vous ? «
« François, j’ai un boulot à mi-temps à Neuchâtel ! «
Elle est assise face à moi, sa robe remontée au dessus du genou donne en spectacle ses cuisses. Ses jambes légèrement écartées me laissent un accès visuel sur sa culotte noire.
Tout en me parlant, elle commence à me caresser la main. Je suis hypnotisé. Je ne dis rien et m’approche d’elle.
Là, elle me prend la bouche. Sa langue pénètre dans ma bouche, et sans ménagement la fouille. Que c’est bon cette impression d’être possédé, je me laisse faire.
De sa main droite, elle commence à ouvrir ma braguette, je l’aide en baissant mon pantalon. Là, elle plonge sa tête vers mon sexe et l’avale.
Sa bouche va et vient sur mon membre. A chaque passage, sa langue caresse mon gland.
Mes couilles claquent sur son menton, je suis au paradis.
J’ai envie de toucher son sexe, d’y introduire mes doigts, mais là, violemment, elle me rejette.
Tenant mon membre à la main, elle lèche ses lèvres et me dit :
" Tu ne dois pas toucher ma chatte, si tu reviens demain, tu pourras me prendre pas derrière si tu en as envie mon Chéri ! «
« Pas de problème, ce sera un plaisir pour moi ! «
Elle reprend sa fellation normalement jusqu’à mon éjaculation. Là, elle se délecte de mon jus et me tête jusqu’à la dernière goutte.
Après un baiser fougueux, je reprends la route, j’ai le temps de me doucher avant l’arrivée de mon épouse Martine.
J’ai la chance que Martine soit bien chaude, et le soir dans la chambre, je peux lui dévorer sa chatte et la faire gémir ! Une bonne journée, je bande déjà en pensant à demain !
J’ai passé une bonne nuit, il est vrai que l’on dort mieux les couilles vides !
Avec de nombreux rêves érotiques, cela a été un plaisir.
J’ai le temps d’observer Martine dans la salle de bain, après sa douche et ses divers massages avec ses lotions, elle passe une petite culotte transparente et un soutien-gorge à balconnets.
Puis, Elle enfile une robe rouge à pois blancs en tissu léger et transparent.
C’est ensuite sa séance de maquillage, une vraie speakerine !
Avant de partir, elle me fait juste une petite bise pour ne pas abimer son maquillage.
« Je rentrerai plus tard ce soir, j’ai une réunion importante, bisous !
Je la regarde marcher dans l'allée pour aller à la voiture. Par transparence, on peut deviner son corps et voir ses sous vêtements. Ses collègues de bureau vont ...

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