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"des ptits trous encore des ptits trous"

Publié par : mathieu0355 le 28/10/2021

Nous sommes en Juin 2021. Le confinement vient de se terminer pour de bon et les saunas ont enfin rouvert. Je suis de passage à Bordeaux et vais au sympathique sauna de l’avenue Thiers. A peine installé dans le jacuzzi, je remarque un joli blondinet d’une vingtaine d’années et le regarde à la dérobée. Il m’ignore ostensiblement puis sors peu après, le sexe mou comme une chique.
Jusque-là, rien que de très normal.
Le temps s’étire, le chou ne transpire pas contrairement à ce que dit Jacques Brel dans un de ces textes.
J’ai quand même eu malgré tout quelques petites aventures pas trop désagréables avec des mecs de mon âge, genre Golf WV en bon état mais qui a quand même du kilométrage. Moteur et carrosserie bien entretenus cependant.
Et puis…Par acquis de conscience (très important la conscience au sauna : il faut toujours penser à son con-fesseur et surtout aux jeunes fesses qui valent tous les cons du monde). Par acquis de conscience disais-je, je me rends dans la « salle du fond » la back room comme on dit en Franglais. Hormis quelques bedonnants ayant du sexe une connaissance à peine digne de la première chèvre venue, je n’avais encore vraiment rien vu d’intéressant ce soir-là.
Et puis…Oui ! Il est là le gentil blondinet ! Appelons le Éric, comme bien des blondinets.
Éric embrasse goulûment un jeune mec de son âge au-dessus duquel il se trouve, m’offrant ses charmantes fesses qui cachent un petit anus dont je crains qu’il ne soit fermé comme un coffre-fort de la Banque Royale de Monaco. Un charmant bruit de succion fait résonner une jolie musique érotique. Je tente le tout pour le tout et met ma main sur sa douce rotondité. Il s’active de plus belle avec son partenaire particulier dont je devine à peine le visage : il fait sombre ! Je m’enhardis sans trop y croire et promène ma paluche sur ses rondes brioches imberbes. Petit à petit, la brioche de gauche s’éloigne doucement -mais avec une détermination à laquelle je contribue- de la brioche de droite. La station de métro « Éric » est en train d’ouvrir et ça sent la braguette bien fraiche. Ce petit mitron sait y faire, c’est clair. Et puis voilà 3 heures que son poireau poiraute : il a envie d’une bitte. Comprenez-le le pauvre ! Toujours très occupé à pratiquer moult french kiss avec l’autre jeune, il me laisse passer son portillon automatique qui ressemble en bien plus cool à celui qui naguère régulait l’accès au métro parisien. Sa billetterie s’ouvre et un peu de ma salive est des plus utiles pour faciliter le passage vers ses profondeurs, au-delà de ses profondes rondeurs. Mon index batifole autour de son sphincter, n’osant pas trop y pénétrer sans billet. Mais son petit tunnel, son « petit orifice » dirait Gainsbourg, mouille. Il mouille pour de bon, comme un joli petit cul tiède à la température règlementaire de 37°. Un souterrain qui mouille, surtout un jeune tunnel post-adolescent encore assez peu fréquenté, ça c’est des transports en commun (même si nous ne sommes que ...

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